Dans ce cadre, Bank Al-Maghrib (BAM) a réduit le volume de ses injections de liquidité qui s'est établi en moyenne hebdomadaire à 74,9 MMDH, après 82,8 MMDH en décembre 2021, indique la DEPF dans sa note de conjoncture de janvier 2022.
Les interventions de la Banque Centrale ont porté, essentiellement, sur les avances à 7 jours sur appels d’offre (32,3 MMDH), les opérations de pensions livrées (22,7 MMDH) et les prêts garantis accordés dans le cadre des programmes de soutien au financement de la TPME (19,9 MMDH).
Quant au taux interbancaire moyen pondéré au jour le jour (TIMPJJ), il s'est maintenu, depuis le 18 juin 2020, en évolution quasi- stable, alignée sur le taux directeur à 1,50%. S’agissant du volume moyen des transactions interbancaires, il s’est accru par rapport au mois précédent de 10,8% pour atteindre 4,3 MMDH.
Concernant l’évolution des taux débiteurs, le taux moyen pondéré global a enregistré une hausse, en glissement trimestriel, de 9 points de base pour atteindre 4,44% au quatrième trimestre 2021. Cet accroissement a concerné les taux des crédits de trésorerie (+11 pbs à 4,11%) et l’immobilier (+10 pbs à 4,82%), alors que ceux des crédits à l’équipement et à la consommation ont reculé respectivement à 4,56% et 6,47%.
Les interventions de la Banque Centrale ont porté, essentiellement, sur les avances à 7 jours sur appels d’offre (32,3 MMDH), les opérations de pensions livrées (22,7 MMDH) et les prêts garantis accordés dans le cadre des programmes de soutien au financement de la TPME (19,9 MMDH).
Quant au taux interbancaire moyen pondéré au jour le jour (TIMPJJ), il s'est maintenu, depuis le 18 juin 2020, en évolution quasi- stable, alignée sur le taux directeur à 1,50%. S’agissant du volume moyen des transactions interbancaires, il s’est accru par rapport au mois précédent de 10,8% pour atteindre 4,3 MMDH.
Concernant l’évolution des taux débiteurs, le taux moyen pondéré global a enregistré une hausse, en glissement trimestriel, de 9 points de base pour atteindre 4,44% au quatrième trimestre 2021. Cet accroissement a concerné les taux des crédits de trésorerie (+11 pbs à 4,11%) et l’immobilier (+10 pbs à 4,82%), alors que ceux des crédits à l’équipement et à la consommation ont reculé respectivement à 4,56% et 6,47%.