Cette dernière proportion varie entre 24% dans "l'agro-alimentaire" et 39% dans le "textile et cuir" alors que l’ensemble des industriels de l'électrique et électronique indiquent un climat des affaires "normal", ressort-il des résultats trimestriels de l'enquête de conjoncture de BAM.
Les conditions d’approvisionnement, au T4-2021, auraient de leur côté été "normales" selon 68% des industriels et "difficiles" selon 27% d’entre eux, fait savoir la même source.
Par branche, elles auraient été "normales" selon 87% des entreprises de '"électrique et électronique", 76% de la "chimie et parachimie", 75% du "textile et cuir", 65% de l'"agro-alimentaire" et 48% de la "mécanique et métallurgie", précise BAM.
Cependant, les conditions d’approvisionnement sont qualifiées de "difficiles" par 52% des entreprises de la "mécanique et métallurgie", 25% du "textile et cuir", 24% de la "chimie et parachimie", 18 % de l'"agro-alimentaire" et 13% de l'"électrique et électronique".
S’agissant du stock des matières premières et demi-produits, il aurait été à un niveau normal dans l’ensemble des branches d’activité.
Concernant l’évolution des effectifs employés durant les trois derniers mois, 56% des industriels déclarent une stagnation et 33% une baisse. Ces proportions s’établissent respectivement à 56% et 36% dans la "chimie et parachimie", à 32% et 54% dans la "mécanique et métallurgie" et à 31% et 69% dans l'"électrique et électronique".
En revanche, plus des trois quarts des entreprises du "textile et cuir" et de l'"agro-alimentaire" indiquent une stagnation des effectifs et 15% d’entre elles une hausse. Pour les trois prochains mois, la majorité des industriels anticipent une stagnation des effectifs employés.
Au quatrième trimestre 2021, les coûts unitaires de production auraient, quant à eux, augmenté selon 59% des industriels et stagné selon 31%. Ces parts sont respectivement de 81% et de 19% dans la "chimie et parachimie" , de 71% et de 29% dans l'"agro-alimentaire", et de 46% et de 54% dans le "textile et cuir".
En revanche, 44% des entreprises de la "mécanique et métallurgie" évoquent une baisse des coûts et 26% une stagnation. Dans l'"électrique et électronique", la quasi-totalité des chefs d’entreprises déclarent une stagnation des coûts unitaires de production par rapport au trimestre précédent.
En ce qui concerne la situation de la trésorerie, elle aurait été jugée "normale" par 77% des industriels et "difficile" par 16% d’entre eux, relève Bank Al-Maghrib.
Par branche, ces proportions sont respectivement de 78% et de 18% dans l'"agro-alimentaire", de 75% et de 19% dans la "chimie et parachimie" et de 66% et de 34% dans le "textile et cuir".
Pour ce qui est de la "mécanique et métallurgie", la situation de la trésorerie aurait été normale selon 72% des industriels et aisée selon 21%. En revanche, elle aurait été qualifiée de "normale" par la totalité des entreprises de l'"électrique et électronique".
Les conditions d’approvisionnement, au T4-2021, auraient de leur côté été "normales" selon 68% des industriels et "difficiles" selon 27% d’entre eux, fait savoir la même source.
Par branche, elles auraient été "normales" selon 87% des entreprises de '"électrique et électronique", 76% de la "chimie et parachimie", 75% du "textile et cuir", 65% de l'"agro-alimentaire" et 48% de la "mécanique et métallurgie", précise BAM.
Cependant, les conditions d’approvisionnement sont qualifiées de "difficiles" par 52% des entreprises de la "mécanique et métallurgie", 25% du "textile et cuir", 24% de la "chimie et parachimie", 18 % de l'"agro-alimentaire" et 13% de l'"électrique et électronique".
S’agissant du stock des matières premières et demi-produits, il aurait été à un niveau normal dans l’ensemble des branches d’activité.
Concernant l’évolution des effectifs employés durant les trois derniers mois, 56% des industriels déclarent une stagnation et 33% une baisse. Ces proportions s’établissent respectivement à 56% et 36% dans la "chimie et parachimie", à 32% et 54% dans la "mécanique et métallurgie" et à 31% et 69% dans l'"électrique et électronique".
En revanche, plus des trois quarts des entreprises du "textile et cuir" et de l'"agro-alimentaire" indiquent une stagnation des effectifs et 15% d’entre elles une hausse. Pour les trois prochains mois, la majorité des industriels anticipent une stagnation des effectifs employés.
Au quatrième trimestre 2021, les coûts unitaires de production auraient, quant à eux, augmenté selon 59% des industriels et stagné selon 31%. Ces parts sont respectivement de 81% et de 19% dans la "chimie et parachimie" , de 71% et de 29% dans l'"agro-alimentaire", et de 46% et de 54% dans le "textile et cuir".
En revanche, 44% des entreprises de la "mécanique et métallurgie" évoquent une baisse des coûts et 26% une stagnation. Dans l'"électrique et électronique", la quasi-totalité des chefs d’entreprises déclarent une stagnation des coûts unitaires de production par rapport au trimestre précédent.
En ce qui concerne la situation de la trésorerie, elle aurait été jugée "normale" par 77% des industriels et "difficile" par 16% d’entre eux, relève Bank Al-Maghrib.
Par branche, ces proportions sont respectivement de 78% et de 18% dans l'"agro-alimentaire", de 75% et de 19% dans la "chimie et parachimie" et de 66% et de 34% dans le "textile et cuir".
Pour ce qui est de la "mécanique et métallurgie", la situation de la trésorerie aurait été normale selon 72% des industriels et aisée selon 21%. En revanche, elle aurait été qualifiée de "normale" par la totalité des entreprises de l'"électrique et électronique".