Le périlleux déploiement dans l’espace du télescope James-Webb, qui s’est terminé samedi 8 janvier par son miroir principal, est « 100 % réussi », s’est félicitée la NASA. Une prouesse qui rapproche un peu plus l’observatoire du début de son exploration du cosmos, dans cinq mois et demi.
« Je suis tellement ému, a déclaré en direct depuis le centre de contrôle Thomas Zurbuchen, responsable des missions scientifiques à la NASA, l’agence spatiale américaine. Nous avons un télescope déployé en orbite ! »
L’emblématique miroir primaire du télescope mesure environ 6,5 mètres de diamètre, et était donc trop grand pour entrer tel quel dans une fusée lors de son décollage, il y a deux semaines. Ses deux côtés avaient dû être repliés vers l’arrière. La première de ces deux ailes a été déployée vendredi, et la seconde s’est ouverte samedi matin, comme prévu. Les équipes de l’agence spatiale ont ensuite passé plusieurs heures à la verrouiller en place, afin de la sécuriser de façon définitive.
L’opération était pilotée depuis le Space Telescope Science Institute, situé à Baltimore, sur la côte est américaine. Des dizaines d’ingénieurs ont explosé de joie une fois cette dernière étape confirmée, selon les images retransmises en direct. Le patron de la NASA, Bill Nelson, s’est ensuite exprimé par liaison vidéo. « Quelle journée formidable, a-t-il déclaré, visiblement très ému. La NASA est un endroit où l’impossible devient possible. »
Le déploiement dans l’espace d’un objet d’une telle envergure, non seulement de ses miroirs mais aussi de son bouclier thermique, plus tôt cette semaine, n’avait jamais été tenté par le passé. « Nous pouvons confirmer que les déploiements qui viennent d’avoir lieu ont réussi à 100 % », a déclaré samedi, lors d’une conférence de presse, John Durning, chef de projet adjoint pour James-Webb.
Les astronomes du monde entier, qui utiliseront cet observatoire spatial, peuvent ainsi pousser un grand soupir de soulagement, la mission semblant désormais en très bonne voie de réussite. « Les deux dernières semaines ont été géniales, a de son côté déclaré Bill Ochs, chef de projet. C’était probablement la partie de la mission à plus haut risque, mais cela ne veut pas dire que tout risque s’envole. »
« Je suis tellement ému, a déclaré en direct depuis le centre de contrôle Thomas Zurbuchen, responsable des missions scientifiques à la NASA, l’agence spatiale américaine. Nous avons un télescope déployé en orbite ! »
L’emblématique miroir primaire du télescope mesure environ 6,5 mètres de diamètre, et était donc trop grand pour entrer tel quel dans une fusée lors de son décollage, il y a deux semaines. Ses deux côtés avaient dû être repliés vers l’arrière. La première de ces deux ailes a été déployée vendredi, et la seconde s’est ouverte samedi matin, comme prévu. Les équipes de l’agence spatiale ont ensuite passé plusieurs heures à la verrouiller en place, afin de la sécuriser de façon définitive.
L’opération était pilotée depuis le Space Telescope Science Institute, situé à Baltimore, sur la côte est américaine. Des dizaines d’ingénieurs ont explosé de joie une fois cette dernière étape confirmée, selon les images retransmises en direct. Le patron de la NASA, Bill Nelson, s’est ensuite exprimé par liaison vidéo. « Quelle journée formidable, a-t-il déclaré, visiblement très ému. La NASA est un endroit où l’impossible devient possible. »
Le déploiement dans l’espace d’un objet d’une telle envergure, non seulement de ses miroirs mais aussi de son bouclier thermique, plus tôt cette semaine, n’avait jamais été tenté par le passé. « Nous pouvons confirmer que les déploiements qui viennent d’avoir lieu ont réussi à 100 % », a déclaré samedi, lors d’une conférence de presse, John Durning, chef de projet adjoint pour James-Webb.
Les astronomes du monde entier, qui utiliseront cet observatoire spatial, peuvent ainsi pousser un grand soupir de soulagement, la mission semblant désormais en très bonne voie de réussite. « Les deux dernières semaines ont été géniales, a de son côté déclaré Bill Ochs, chef de projet. C’était probablement la partie de la mission à plus haut risque, mais cela ne veut pas dire que tout risque s’envole. »