Le tourisme, sur les pas d’Ibn Battouta
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Pour célébrer la Journée arabe du tourisme le 25 février de chaque année, par ailleurs date de naissance du grand voyageur marocain Ibn Battouta, l'Organisation arabe du tourisme a exhorté les pays de la région à impliquer les communautés locales et à les associer au processus de développement du secteur touristique.
A l’image de l’aspect fédérateur de cette revendication, cette journée pourrait dynamiser le secteur et améliorer les revenus des citoyens, surtout que ce tremplin vers l’autosuffisance génère plus de 10% des retombées économiques par an. Les protagonistes, aux niveaux gouvernemental et privé, sont donc appelés à redoubler d’efforts pour affronter ce challenge de haut calibre. Et puisque les temps sont aux grandes gageures, ministères concernés et particuliers pourraient investir massivement dans l'innovation et l'introduction de technologies modernes dans les services et produits touristiques.
Mieux encore, cette année, l'Organisation a fait sienne l'initiative «Integrating Modern Destinations», censée développer des destinations touristiques en phase avec les exigences de la société moderne. En termes plus concrets, il s'agit de développer les infrastructures et de maximiser les contributions économiques du tourisme afin de stimuler la main-d'œuvre locale et l'égalité des chances dans les emplois qu'offre le secteur, maintenir la compétitivité et attirer divers segments de touristes pour obtenir une part équitable du tourisme mondial.
Mais quoi que l'on espère et indépendamment de ce qui est attendu par les hautes sphères du secteur touristique du monde arabe, le seuil de 100 MMDH de recettes touristiques convoité par la tutelle en ce début d’année reste la plus grande motivation pour le Royaume. Puisse le symbole iconique du premier globe-trotter du monde arabe, Ibn Battouta, réputé pour sa persévérance et son ouverture sur l’autre, nous porter chance dans l’atteinte de cet objectif.
A l’image de l’aspect fédérateur de cette revendication, cette journée pourrait dynamiser le secteur et améliorer les revenus des citoyens, surtout que ce tremplin vers l’autosuffisance génère plus de 10% des retombées économiques par an. Les protagonistes, aux niveaux gouvernemental et privé, sont donc appelés à redoubler d’efforts pour affronter ce challenge de haut calibre. Et puisque les temps sont aux grandes gageures, ministères concernés et particuliers pourraient investir massivement dans l'innovation et l'introduction de technologies modernes dans les services et produits touristiques.
Mieux encore, cette année, l'Organisation a fait sienne l'initiative «Integrating Modern Destinations», censée développer des destinations touristiques en phase avec les exigences de la société moderne. En termes plus concrets, il s'agit de développer les infrastructures et de maximiser les contributions économiques du tourisme afin de stimuler la main-d'œuvre locale et l'égalité des chances dans les emplois qu'offre le secteur, maintenir la compétitivité et attirer divers segments de touristes pour obtenir une part équitable du tourisme mondial.
Mais quoi que l'on espère et indépendamment de ce qui est attendu par les hautes sphères du secteur touristique du monde arabe, le seuil de 100 MMDH de recettes touristiques convoité par la tutelle en ce début d’année reste la plus grande motivation pour le Royaume. Puisse le symbole iconique du premier globe-trotter du monde arabe, Ibn Battouta, réputé pour sa persévérance et son ouverture sur l’autre, nous porter chance dans l’atteinte de cet objectif.
Houda BELABD