Si l’actualité politique a dominé les esprits cette semaine au Maroc, principalement suite à la visite d’Etat du président français Emmanuel Macron, porteuse de grandes bonnes nouvelles pour le Maroc, c’est désormais le ciel qui fait parler de lui, pour le plus grand bonheur des Marocains. Les précipitations qui s’abattent sur plusieurs régions du pays font naître un sentiment d’euphorie collective, particulièrement dans les zones les plus touchées par le déficit hydrique. Les chutes de neige spectaculaires enregistrées dans le Grand et le Moyen Atlas ont également réjoui les populations locales, qui s’apprêtent à en tirer bénéfice.
En tête de liste se trouve la «petite Suisse» du Maroc qui retrouve enfin son manteau blanc, marquant ainsi le début tant attendu de la saison hivernale. Les flocons qui tombent abondamment sur la station Michlifen et ses environs ravivent les professionnels du tourisme, qui y voient les prémices d’une saison touristique prometteuse, contrairement à l’hiver dernier où il a fallu attendre la dernière semaine du mois de mars avant que la neige ne fasse son grand retour. Et si les drames d’inondations qu’a connus le Royaume durant ces derniers jours sèment quelques réticences dans les esprits de certains potentiels visiteurs, les services régionaux du ministère de tutelle sont déjà à pied d’œuvre pour assurer la sécurité des axes routiers entourant ces destinations qui connaissent chaque année un afflux massif de touristes nationaux et étrangers.
Reste, par contre, le défi de l’offre touristique appelée à se renouveler, de sorte à pouvoir concurrencer les destinations étrangères et surtout européennes, fortement prisées par les Marocains de la classe moyenne dite supérieure.
Si tous les ingrédients naturels sont réunis pour faire de nos montagnes une destination de premier choix, l’enjeu serait d’établir des circuits et d’aménager des activités touristiques au-delà des sports d’hiver et de la restauration. L’idée serait également d’accompagner les populations locales dans la structuration et la création de leurs propres offres et produits pour que toutes les composantes de ces zones puissent bénéficier de l’aubaine hivernale. La clémence et générosité du ciel aura ainsi un impact bénéfique non seulement sur le secteur touristique, mais aussi sur plusieurs autres domaines, tels que l’artisanat, les marchés des produits du terroir, et bien d’autres encore.
En tête de liste se trouve la «petite Suisse» du Maroc qui retrouve enfin son manteau blanc, marquant ainsi le début tant attendu de la saison hivernale. Les flocons qui tombent abondamment sur la station Michlifen et ses environs ravivent les professionnels du tourisme, qui y voient les prémices d’une saison touristique prometteuse, contrairement à l’hiver dernier où il a fallu attendre la dernière semaine du mois de mars avant que la neige ne fasse son grand retour. Et si les drames d’inondations qu’a connus le Royaume durant ces derniers jours sèment quelques réticences dans les esprits de certains potentiels visiteurs, les services régionaux du ministère de tutelle sont déjà à pied d’œuvre pour assurer la sécurité des axes routiers entourant ces destinations qui connaissent chaque année un afflux massif de touristes nationaux et étrangers.
Reste, par contre, le défi de l’offre touristique appelée à se renouveler, de sorte à pouvoir concurrencer les destinations étrangères et surtout européennes, fortement prisées par les Marocains de la classe moyenne dite supérieure.
Si tous les ingrédients naturels sont réunis pour faire de nos montagnes une destination de premier choix, l’enjeu serait d’établir des circuits et d’aménager des activités touristiques au-delà des sports d’hiver et de la restauration. L’idée serait également d’accompagner les populations locales dans la structuration et la création de leurs propres offres et produits pour que toutes les composantes de ces zones puissent bénéficier de l’aubaine hivernale. La clémence et générosité du ciel aura ainsi un impact bénéfique non seulement sur le secteur touristique, mais aussi sur plusieurs autres domaines, tels que l’artisanat, les marchés des produits du terroir, et bien d’autres encore.