Enaâm Mayara, Secrétaire général de l'UGTM
L’Union marocaine du travail (UMT), l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM) et la Confédération démocratique du travail (CDT) ont mis en avant, lors du premier round du dialogue social tenu jeudi et vendredi avec le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, la nécessité de parvenir à un accord sur un "contrat social" qui répond aux revendications principales des fonctionnaires, des salariés et des citoyens en général.
A cet égard, le secrétaire général de l’UMT, Miloudi Moukharik a indiqué que sa centrale a présenté à cette occasion "un mémorandum global sur la démarche du dialogue, les revendications des secteurs public et privé outre la situation de certaines caisses sociales". Le syndicat a également appelé le gouvernement à "lancer des négociations sectorielles afin de parvenir à des consensus en vue d'augmenter les salaires, d'améliorer le système de rémunération et de promotion interne ainsi que d’autres revendications urgentes exigées par la classe ouvrière", a ajouté M. Moukharik dans une déclaration à la presse à l'issue de cette réunion.
De son côté, le secrétaire général de l’UGTM, Naama Mayara, a relevé dans une déclaration similaire, qu’il a été décidé, à cette occasion, "d'entamer l'élaboration d'une vision commune entre les centrales syndicales les plus représentatives, les chefs d’entreprises et le gouvernement en vue de mettre en place un programme spécifique concernant l'institutionnalisation du dialogue social". M. Mayara a également exprimé son souhait que ce dialogue débouche sur "des résultats positifs en faveur de la classe ouvrière, de la paix sociale, de la stabilité et du développement socio-économique", qualifiant sa rencontre avec le chef du gouvernement de "fructueuse".
Pour sa part, le vice-secrétaire général de la CDT, Khalid houir Alami a noté que "le contexte général oblige toutes les institutions, notamment dans le cadre du dialogue social, à prêter attention à la hausse des prix et à la nécessité de préserver le pouvoir d'achat des citoyens". Il a évoqué, lors de cette rencontre, la question de l'augmentation des salaires et l'allègement de la pression fiscale sur les salariés et les fonctionnaires, exprimant son souhait d’aboutir à un "contrat social" et à "l'institutionnalisation du dialogue social".
A cet égard, le secrétaire général de l’UMT, Miloudi Moukharik a indiqué que sa centrale a présenté à cette occasion "un mémorandum global sur la démarche du dialogue, les revendications des secteurs public et privé outre la situation de certaines caisses sociales". Le syndicat a également appelé le gouvernement à "lancer des négociations sectorielles afin de parvenir à des consensus en vue d'augmenter les salaires, d'améliorer le système de rémunération et de promotion interne ainsi que d’autres revendications urgentes exigées par la classe ouvrière", a ajouté M. Moukharik dans une déclaration à la presse à l'issue de cette réunion.
De son côté, le secrétaire général de l’UGTM, Naama Mayara, a relevé dans une déclaration similaire, qu’il a été décidé, à cette occasion, "d'entamer l'élaboration d'une vision commune entre les centrales syndicales les plus représentatives, les chefs d’entreprises et le gouvernement en vue de mettre en place un programme spécifique concernant l'institutionnalisation du dialogue social". M. Mayara a également exprimé son souhait que ce dialogue débouche sur "des résultats positifs en faveur de la classe ouvrière, de la paix sociale, de la stabilité et du développement socio-économique", qualifiant sa rencontre avec le chef du gouvernement de "fructueuse".
Pour sa part, le vice-secrétaire général de la CDT, Khalid houir Alami a noté que "le contexte général oblige toutes les institutions, notamment dans le cadre du dialogue social, à prêter attention à la hausse des prix et à la nécessité de préserver le pouvoir d'achat des citoyens". Il a évoqué, lors de cette rencontre, la question de l'augmentation des salaires et l'allègement de la pression fiscale sur les salariés et les fonctionnaires, exprimant son souhait d’aboutir à un "contrat social" et à "l'institutionnalisation du dialogue social".