Le Groupe Istiqlalien pour “l’unité et l’égalitarisme” à la Chambre des représentants a appelé dans une lettre, le Ministre d’Etat chargé des droits de l’homme et des relations avec le parlement, El Mostafa Ramid de dévoiler les mesures prises par le gouvernement pour répondre aux revendications des détenus des événements d’Al Hoceima et de la région du Rif, communément appelé “Hirak” et mettre un terme à une grève de la faim qui perdure depuis trois semaines.
Les députés istiqlaliens ont fait part de leur inquiétude quant à la gravité de la situation soulignant que le prolongement de la grève de la faim pourrait s’avérer préjudiciable à la santé de Nasser Zefzafi et ses codétenus et porter atteinte à l’image du Royaume en remettant en cause les acquis accumulés par le Maroc en matière des droits de l’homme.
Les héritiers d'Allal EL Fassi ont également critiqué l’absence d’une démarche volontariste du gouvernement pour répondre de manière urgente et favorable aux demandes « légitimes » des détenus. Ils reprochent par ailleurs au gouvernement un manque d’engagement et de communication dans ce dossier dont la gestion a été marquée jusqu’ici par une étonnante passivité de l’exécutif.
Sept détenus du Hirak s’obstinent jusqu’à maintenant de continuer leur grève de la faim qu’ils ont entamé depuis vingt-deux jours, ils demandent l’amélioration de leurs conditions de détention et plaident pour avoir la possibilité de mieux communiquer avec leurs proches.
Par ailleurs, un groupe d'une vingtaine de députés européens ont écrit au chef du gouvernement Saâd Dine El Othmani ainsi qu’à la présidente du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), Amina Bouayach afin d’exprimer leur préoccupation vis-à-vis des conditions de détention de détenus du Hirak dans le contexte de la pandémie Covid-19.
Les députés istiqlaliens ont fait part de leur inquiétude quant à la gravité de la situation soulignant que le prolongement de la grève de la faim pourrait s’avérer préjudiciable à la santé de Nasser Zefzafi et ses codétenus et porter atteinte à l’image du Royaume en remettant en cause les acquis accumulés par le Maroc en matière des droits de l’homme.
Les héritiers d'Allal EL Fassi ont également critiqué l’absence d’une démarche volontariste du gouvernement pour répondre de manière urgente et favorable aux demandes « légitimes » des détenus. Ils reprochent par ailleurs au gouvernement un manque d’engagement et de communication dans ce dossier dont la gestion a été marquée jusqu’ici par une étonnante passivité de l’exécutif.
Sept détenus du Hirak s’obstinent jusqu’à maintenant de continuer leur grève de la faim qu’ils ont entamé depuis vingt-deux jours, ils demandent l’amélioration de leurs conditions de détention et plaident pour avoir la possibilité de mieux communiquer avec leurs proches.
Par ailleurs, un groupe d'une vingtaine de députés européens ont écrit au chef du gouvernement Saâd Dine El Othmani ainsi qu’à la présidente du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH), Amina Bouayach afin d’exprimer leur préoccupation vis-à-vis des conditions de détention de détenus du Hirak dans le contexte de la pandémie Covid-19.