Organisée par le secrétariat général du gouvernement dans le cadre la célébration de la Journée internationale de la femme, cette rencontre a été l’occasion de passer en revue le progrès réalisé au Maroc en matière d’accès des femmes aux postes de responsabilité au sein de l’administration publique, les perspectives et les défis en lien avec cette thématique.
S’exprimant à cette occasion, le directeur général de la législation, des investissements et des études juridiques au secrétariat général du gouvernement, Bensalem Belkourati, a indiqué que cette rencontre vise à mettre en exergue le rôle de la femme dans l'administration et à évaluer le degré de développement quant à leur accès aux postes de responsabilité, vu l'importance capitale qu'accorde Sa Majesté le Roi Mohammed VI à la participation des femmes dans la gestion des affaires publiques et à leur contribution active au développement du pays.
"Malgré les progrès accomplis, la proportion de femmes occupant des postes de direction reste en deçà des attentes, comme en témoignent les statistiques révélant qu'elles sont peu représentées dans la haute fonction publique", a-t-il relevé, ajoutant que cette disparité constitue un défi nécessitant la conjugaison des efforts pour promouvoir la parité et l'égalité des chances en tant qu'éléments essentiels visant à améliorer les performances administratives et consolider la bonne gouvernance.
Par la même occasion, le secrétaire général de l'Observatoire national du développement humain, Noureddine El Azrak, a présenté un exposé sur l'état des lieux concernant l'accès des femmes aux postes supérieurs au sein de l'administration publique, notant que nonobstant les progrès notables en matière d'accès des femmes marocaines à la fonction publique, leur impact reste limité.
Selon les derniers chiffres, la représentation des femmes dans les administrations publiques ne dépasse pas 36,3 %, contre 63,7 % pour les hommes, a-t-il expliqué, notant que ce taux s'est inscrit en baisse à cause notamment du choix de près de 74 % des femmes soit de créer leur propre entreprise ou de partir en retraite anticipée.
Dans une déclaration à la presse, la conseillère juridique auprès des administrations et coordinatrice du comité sur le genre au secrétariat général du gouvernement, Faten Chaouati, a passé en revue les principales réalisations du secrétariat général dans le domaine de la promotion et de la consécration des droits des femmes, y compris la création du comité sur le genre au niveau de cette institution.
À cet égard, elle a souligné que la représentation du Secrétariat général du gouvernement a été activée au sein du comité interministériel chargé de l'approche genre créé au sein du ministère de la Solidarité, de la Famille et de l'Intégration sociale, ainsi qu'au sein du réseau de concertation interministériel pour l'égalité entre les sexes.
Dans un esprit d'ouverture sur des expériences enrichissantes, cette rencontre a vu la présentation de l'expérience pionnière du professeur et experte en gouvernance publique, Rabha Zeidguy, qui s'est arrêtée sur son parcours professionnel, en évoquant les étapes phares de sa carrière et les défis auxquels elle a été confrontée.
La conférence a également été l'occasion de présenter des témoignages inspirants de femmes retraitées du Secrétariat général du gouvernement avec un parcours professionnel distingué, en signe de reconnaissance des services qu'elles ont rendus tout au long de leur carrière professionnelle.
S’exprimant à cette occasion, le directeur général de la législation, des investissements et des études juridiques au secrétariat général du gouvernement, Bensalem Belkourati, a indiqué que cette rencontre vise à mettre en exergue le rôle de la femme dans l'administration et à évaluer le degré de développement quant à leur accès aux postes de responsabilité, vu l'importance capitale qu'accorde Sa Majesté le Roi Mohammed VI à la participation des femmes dans la gestion des affaires publiques et à leur contribution active au développement du pays.
"Malgré les progrès accomplis, la proportion de femmes occupant des postes de direction reste en deçà des attentes, comme en témoignent les statistiques révélant qu'elles sont peu représentées dans la haute fonction publique", a-t-il relevé, ajoutant que cette disparité constitue un défi nécessitant la conjugaison des efforts pour promouvoir la parité et l'égalité des chances en tant qu'éléments essentiels visant à améliorer les performances administratives et consolider la bonne gouvernance.
Par la même occasion, le secrétaire général de l'Observatoire national du développement humain, Noureddine El Azrak, a présenté un exposé sur l'état des lieux concernant l'accès des femmes aux postes supérieurs au sein de l'administration publique, notant que nonobstant les progrès notables en matière d'accès des femmes marocaines à la fonction publique, leur impact reste limité.
Selon les derniers chiffres, la représentation des femmes dans les administrations publiques ne dépasse pas 36,3 %, contre 63,7 % pour les hommes, a-t-il expliqué, notant que ce taux s'est inscrit en baisse à cause notamment du choix de près de 74 % des femmes soit de créer leur propre entreprise ou de partir en retraite anticipée.
Dans une déclaration à la presse, la conseillère juridique auprès des administrations et coordinatrice du comité sur le genre au secrétariat général du gouvernement, Faten Chaouati, a passé en revue les principales réalisations du secrétariat général dans le domaine de la promotion et de la consécration des droits des femmes, y compris la création du comité sur le genre au niveau de cette institution.
À cet égard, elle a souligné que la représentation du Secrétariat général du gouvernement a été activée au sein du comité interministériel chargé de l'approche genre créé au sein du ministère de la Solidarité, de la Famille et de l'Intégration sociale, ainsi qu'au sein du réseau de concertation interministériel pour l'égalité entre les sexes.
Dans un esprit d'ouverture sur des expériences enrichissantes, cette rencontre a vu la présentation de l'expérience pionnière du professeur et experte en gouvernance publique, Rabha Zeidguy, qui s'est arrêtée sur son parcours professionnel, en évoquant les étapes phares de sa carrière et les défis auxquels elle a été confrontée.
La conférence a également été l'occasion de présenter des témoignages inspirants de femmes retraitées du Secrétariat général du gouvernement avec un parcours professionnel distingué, en signe de reconnaissance des services qu'elles ont rendus tout au long de leur carrière professionnelle.
