Cet écart résulte de la hausse de 3,0% de l’indice des produits alimentaires et de 0,9% de l’indice des produits non alimentaires, explique le HCP.
Les hausses des produits alimentaires observées entre mars et avril 2022 concernent principalement les « Fruits » avec 12,3%, les « Poissons et fruits de mer » avec 9,8%, les « Huiles et graisses » avec 5,0%, les « Légumes » avec 2,9%, les « Viandes » avec 1,8%, le « Pain et céréales » avec 1,4% et le « Café, thé et cacao » avec 0,3%, fait savoir le HCP, notant que les prix ont, en revanche, diminué de 0,5% pour les « Lait, fromage et œufs ».
Pour les produits non alimentaires, la hausse a concerné principalement les prix des « Carburants » avec 13,2%.
Par villes, les hausses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Al-hoceima avec 3,6%, à Fès avec 3,3%, à Dakhla avec 2,3%, à Oujda, Rabat, Safi et Errachidia avec 2,0%, à Kénitra et Tanger avec 1,9%, à Marrakech, Meknès et Laâyoune avec 1,6%, à Tétouan avec 1,5%, à Casablanca et Béni Mellal avec 1,3% et à Agadir avec 1,2%.
Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 5,9% au cours du mois d’avril 2022 conséquence de la hausse de l’indice des produits alimentaires de 9,1% et de celui des produits non alimentaires de 3,7%, souligne le HCP, ajoutant que pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une stagnation pour la « Santé » à une hausse de 12,4% pour le « Transport ».
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois d’avril 2022 une hausse de 0,8% par rapport au mois de mars 2022 et de 4,4% par rapport au mois d’avril 2021, conclut le HCP.
L'exécutif a réagi aux inquiétudes des citoyens concernant la hausse des prix des denrées alimentaires et d'autres produits essentiels. Le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, avait commenté la hausse des prix des produits de base, affirmant que la situation est imposée par le contexte mondial, et que le gouvernement avait mis en place des mesures socio-économiques pour "alléger" la pression sur les consommateurs marocains.
Les hausses des produits alimentaires observées entre mars et avril 2022 concernent principalement les « Fruits » avec 12,3%, les « Poissons et fruits de mer » avec 9,8%, les « Huiles et graisses » avec 5,0%, les « Légumes » avec 2,9%, les « Viandes » avec 1,8%, le « Pain et céréales » avec 1,4% et le « Café, thé et cacao » avec 0,3%, fait savoir le HCP, notant que les prix ont, en revanche, diminué de 0,5% pour les « Lait, fromage et œufs ».
Pour les produits non alimentaires, la hausse a concerné principalement les prix des « Carburants » avec 13,2%.
Par villes, les hausses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Al-hoceima avec 3,6%, à Fès avec 3,3%, à Dakhla avec 2,3%, à Oujda, Rabat, Safi et Errachidia avec 2,0%, à Kénitra et Tanger avec 1,9%, à Marrakech, Meknès et Laâyoune avec 1,6%, à Tétouan avec 1,5%, à Casablanca et Béni Mellal avec 1,3% et à Agadir avec 1,2%.
Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 5,9% au cours du mois d’avril 2022 conséquence de la hausse de l’indice des produits alimentaires de 9,1% et de celui des produits non alimentaires de 3,7%, souligne le HCP, ajoutant que pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une stagnation pour la « Santé » à une hausse de 12,4% pour le « Transport ».
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois d’avril 2022 une hausse de 0,8% par rapport au mois de mars 2022 et de 4,4% par rapport au mois d’avril 2021, conclut le HCP.
L'exécutif a réagi aux inquiétudes des citoyens concernant la hausse des prix des denrées alimentaires et d'autres produits essentiels. Le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, avait commenté la hausse des prix des produits de base, affirmant que la situation est imposée par le contexte mondial, et que le gouvernement avait mis en place des mesures socio-économiques pour "alléger" la pression sur les consommateurs marocains.