S’exprimant dans le cadre de la 48ème session du Conseil des Droits de l’homme de l’ONU, M. Zniber a mis en avant la dynamique de croissance que connaît la région du Sahara marocain, à la faveur d’un élan de développement global visant la promotion et la consécration des droits économiques, politiques et sociaux de la population locale, et la réalisation de ses aspirations dans le cadre de l’unité nationale.
Usant d’un droit de réponse aux allégations mensongères du représentant de l’Algérie, l’ambassadeur a relevé que la région du Sahara, jadis un désert aride, est devenue aujourd’hui un véritable hub économique disposant d’infrastructures des plus modernes dans les différents domaines : ports, aéroports, hôpitaux et universités, outre une économie dynamique et diversifiée.
« En matière de droits politiques et civils, les dernières élections du 8 septembre ont apporté une nouvelle preuve de l’adhésion inébranlable de la population locale au processus démocratique et aux institutions nationales », a-t-il poursuivi.
« Dans les provinces du sud du Maroc, la participation des citoyens aux élections a été, comme d’habitude, massive, ce qui constitue une preuve irréfutable de l’attachement des citoyens de ces provinces à leur identité marocaine et de leur implication effective dans les institutions du pays et dans le développement du processus démocratique », a-t-il enchainé, notant que le modèle démocratique du Maroc est reconnu et salué à l’échelle internationale.
Il a fait observer que, « de l’autre côté des frontières, le régime algérien maintient les populations de Tindouf dans des camps, où elles sont privées de leurs droits les plus élémentaires ».
Il a relevé dans ce sens qu’il « n’y a jamais eu, ni dans l’histoire ni dans la réalité, un peuple connu sous le nom de population du Sahara occidental pour que le droit à l’autodétermination puisse être appliqué par détournement d’un principe noble et qui est ainsi exploité et instrumentalisé à des fins hégémoniques contre l’intégrité territoriale du Maroc, principe fondamental également des Nations Unies ».
Les dirigeants algériens, comme cela est aujourd’hui documenté et reconnu au plan mondial, n’ont pas hésité à proposer officiellement aux Nations Unies de diviser les populations du Sahara juste pour satisfaire leurs intentions de créer une entité permettant à ce régime, non seulement de déstabiliser le Maroc, mais également toute la région pour parvenir à leur objectif d’avoir un accès à l’atlantique par l’intermédiaire de supposé inféode.
« Ce sont là des vérités qui constituent une violation flagrante par le régime algérien des Droits de l’Homme et du Droit Humain », a-t-il dit, relevant que « c’est ce même régime qui s’est permis en 1975 d’expulser des dizaines de milliers de familles marocaines de son territoire, séparant enfants et parents comme le prouvent les témoignages inhumains, tout cela en réplique uniquement à la Marche Verte qui a abouti à la libération des territoires marocains et conduit à des accords entre le Maroc et l’ancienne puissance coloniale, en l’occurrence l’Espagne comme l’attestent les documents à la portée de tous et enregistrés dûment par les Nations Unies ».
« Ce sont ces mêmes gouvernants qui ferment la frontière terrestre avec le Maroc depuis 1994, encore une fois sans aucune justification valable, aucune autre que celle de vouloir nuire et entraver le développement économique et social et la stabilité par laquelle se distingue le Maroc », a-t-il dit, notant que la fermeture des frontières ainsi pratiquée, constitue un précédant sans égal de par le monde, d’autant plus que c’est une pratique des régimes totalitaires les plus accablés et les plus irrespectueux des droits de l’homme dans le monde.
Lors de cette session, M. Zniber, présentant la déclaration du Maroc, a donné un aperçu des avancées et des réalisations accomplies par le Royaume en matière de promotion des droits de l’Homme à l’échelle nationale et internationale.
Il a souligné que le Maroc continue de gérer, de son propre chef, avec succès la réponse à la pandémie de la Covid-19 en optant pour l’anticipation dans l’atténuation de ses impacts socioéconomiques et l’engagement précoce dans la vaccination.
Il a noté de même que le Maroc a donné, une fois de plus, l’exemple vivant de sa capacité à relever des défis majeurs, en consolidant l’édifice de ses institutions démocratiques, à travers l’organisation, le 08 septembre, d’élections générales ayant conduit à une alternance démocratique, avec une participation très active des populations et ayant en particulier aussi atteint des niveaux de vote très hauts dans les provinces du Sahara marocain.
Le Maroc, en coopération avec le Secrétariat Général des Nations Unies et la décision des Etats membres, a ouvert en juin dernier à Rabat, le siège du Bureau Africain de l’ONU pour la lutte contre le terrorisme, à l’échelle du continent. Ce bureau œuvrera au renforcement de capacités et le développement de compétences dans le domaine de la lutte antiterroriste, la radicalisation et l’extrémisme, a-t-il rappelé.
Usant d’un droit de réponse aux allégations mensongères du représentant de l’Algérie, l’ambassadeur a relevé que la région du Sahara, jadis un désert aride, est devenue aujourd’hui un véritable hub économique disposant d’infrastructures des plus modernes dans les différents domaines : ports, aéroports, hôpitaux et universités, outre une économie dynamique et diversifiée.
« En matière de droits politiques et civils, les dernières élections du 8 septembre ont apporté une nouvelle preuve de l’adhésion inébranlable de la population locale au processus démocratique et aux institutions nationales », a-t-il poursuivi.
« Dans les provinces du sud du Maroc, la participation des citoyens aux élections a été, comme d’habitude, massive, ce qui constitue une preuve irréfutable de l’attachement des citoyens de ces provinces à leur identité marocaine et de leur implication effective dans les institutions du pays et dans le développement du processus démocratique », a-t-il enchainé, notant que le modèle démocratique du Maroc est reconnu et salué à l’échelle internationale.
Il a fait observer que, « de l’autre côté des frontières, le régime algérien maintient les populations de Tindouf dans des camps, où elles sont privées de leurs droits les plus élémentaires ».
Il a relevé dans ce sens qu’il « n’y a jamais eu, ni dans l’histoire ni dans la réalité, un peuple connu sous le nom de population du Sahara occidental pour que le droit à l’autodétermination puisse être appliqué par détournement d’un principe noble et qui est ainsi exploité et instrumentalisé à des fins hégémoniques contre l’intégrité territoriale du Maroc, principe fondamental également des Nations Unies ».
Les dirigeants algériens, comme cela est aujourd’hui documenté et reconnu au plan mondial, n’ont pas hésité à proposer officiellement aux Nations Unies de diviser les populations du Sahara juste pour satisfaire leurs intentions de créer une entité permettant à ce régime, non seulement de déstabiliser le Maroc, mais également toute la région pour parvenir à leur objectif d’avoir un accès à l’atlantique par l’intermédiaire de supposé inféode.
« Ce sont là des vérités qui constituent une violation flagrante par le régime algérien des Droits de l’Homme et du Droit Humain », a-t-il dit, relevant que « c’est ce même régime qui s’est permis en 1975 d’expulser des dizaines de milliers de familles marocaines de son territoire, séparant enfants et parents comme le prouvent les témoignages inhumains, tout cela en réplique uniquement à la Marche Verte qui a abouti à la libération des territoires marocains et conduit à des accords entre le Maroc et l’ancienne puissance coloniale, en l’occurrence l’Espagne comme l’attestent les documents à la portée de tous et enregistrés dûment par les Nations Unies ».
« Ce sont ces mêmes gouvernants qui ferment la frontière terrestre avec le Maroc depuis 1994, encore une fois sans aucune justification valable, aucune autre que celle de vouloir nuire et entraver le développement économique et social et la stabilité par laquelle se distingue le Maroc », a-t-il dit, notant que la fermeture des frontières ainsi pratiquée, constitue un précédant sans égal de par le monde, d’autant plus que c’est une pratique des régimes totalitaires les plus accablés et les plus irrespectueux des droits de l’homme dans le monde.
Lors de cette session, M. Zniber, présentant la déclaration du Maroc, a donné un aperçu des avancées et des réalisations accomplies par le Royaume en matière de promotion des droits de l’Homme à l’échelle nationale et internationale.
Il a souligné que le Maroc continue de gérer, de son propre chef, avec succès la réponse à la pandémie de la Covid-19 en optant pour l’anticipation dans l’atténuation de ses impacts socioéconomiques et l’engagement précoce dans la vaccination.
Il a noté de même que le Maroc a donné, une fois de plus, l’exemple vivant de sa capacité à relever des défis majeurs, en consolidant l’édifice de ses institutions démocratiques, à travers l’organisation, le 08 septembre, d’élections générales ayant conduit à une alternance démocratique, avec une participation très active des populations et ayant en particulier aussi atteint des niveaux de vote très hauts dans les provinces du Sahara marocain.
Le Maroc, en coopération avec le Secrétariat Général des Nations Unies et la décision des Etats membres, a ouvert en juin dernier à Rabat, le siège du Bureau Africain de l’ONU pour la lutte contre le terrorisme, à l’échelle du continent. Ce bureau œuvrera au renforcement de capacités et le développement de compétences dans le domaine de la lutte antiterroriste, la radicalisation et l’extrémisme, a-t-il rappelé.