Le mouvement Amal et le Hezbollah indiquent que leurs ministres respectifs participeront aux réunions du gouvernement Mikati III qui ne s’était pas réuni depuis début novembre, exigeant le déssaisissement du juge d’instruction Tarek Bitar en charge de l’enquête du port de Beyrouth après que ce dernier a publié un mandat d’arrêt à l’encontre de l’ancien ministre des Finances Ali Hassan Khalil, bras-droit du président de la Chambre Nabih Berri.
Ils indiquent motiver cette décision pour ne pas être accusés d’obstruction et pour la sauvegarde “du Liban, de son peuple et de la sécurité”.
Mercredi dernier, le Premier ministre Najib Mikati a réitéré la position qu'il avait annoncée à l'issue de sa dernière rencontre avec le président Michel Aoun, et qui consiste à convoquer une session du gouvernement après réception du projet du budget.
Il a ajouté : « Il n'a pas encore discuté avec le duo chiite de la question de la présence des ministres chiites présents à la session », considérant en même temps « que personne ne peut supporter de retarder l'approbation du budget, et que la question sera résolue au bon moment ».
Une décision accueillie favorablement par Mikati
Samedi dans la soirée, une déclaration publiée par le mouvement Amal et le Hezbollah, annonce l'approbation des deux mouvements chiites pour participer aux séances du cabinet consacrées à l'adoption du budget général de l'État et à la discussion du plan de relance économique et de tout ce qui concerne l'amélioration du cadre de vie.
Ce revirement de situation s’explique par le fait que, contrairement à ce qui a été véhiculé par des médias, les contacts entre le Premier ministre et le duo chiite n'ont pas cessé durant la période qui a suivi la déclaration publiée par le président Mikati en réponse au discours du secrétaire général du Hezbollah. Sayed Hassan Nasrallah.
Mais surtout par l’attitude de Mikati qui n’a pas succombé à la tentation de convoquer une réunion du conseil des ministres en l'absence de la composante chiite. Des données qui ont précipité la décision du « duo chiite », accueillie favorablement par le Premier ministre.
Cette information concernant le déblocage de l’action gouvernementale, intervient alors que se multiplient les dossiers critiques sur la table du cabinet, notamment concernant les réformes préalables à mettre en place pour le déblocage de l’aide économique de la communauté internationale, impérative pour faire face à la crise financière que traverse le pays au moment où l’effondrement de la lire libanaise semble ne pas finir.
Ils indiquent motiver cette décision pour ne pas être accusés d’obstruction et pour la sauvegarde “du Liban, de son peuple et de la sécurité”.
Mercredi dernier, le Premier ministre Najib Mikati a réitéré la position qu'il avait annoncée à l'issue de sa dernière rencontre avec le président Michel Aoun, et qui consiste à convoquer une session du gouvernement après réception du projet du budget.
Il a ajouté : « Il n'a pas encore discuté avec le duo chiite de la question de la présence des ministres chiites présents à la session », considérant en même temps « que personne ne peut supporter de retarder l'approbation du budget, et que la question sera résolue au bon moment ».
Une décision accueillie favorablement par Mikati
Samedi dans la soirée, une déclaration publiée par le mouvement Amal et le Hezbollah, annonce l'approbation des deux mouvements chiites pour participer aux séances du cabinet consacrées à l'adoption du budget général de l'État et à la discussion du plan de relance économique et de tout ce qui concerne l'amélioration du cadre de vie.
Ce revirement de situation s’explique par le fait que, contrairement à ce qui a été véhiculé par des médias, les contacts entre le Premier ministre et le duo chiite n'ont pas cessé durant la période qui a suivi la déclaration publiée par le président Mikati en réponse au discours du secrétaire général du Hezbollah. Sayed Hassan Nasrallah.
Mais surtout par l’attitude de Mikati qui n’a pas succombé à la tentation de convoquer une réunion du conseil des ministres en l'absence de la composante chiite. Des données qui ont précipité la décision du « duo chiite », accueillie favorablement par le Premier ministre.
Cette information concernant le déblocage de l’action gouvernementale, intervient alors que se multiplient les dossiers critiques sur la table du cabinet, notamment concernant les réformes préalables à mettre en place pour le déblocage de l’aide économique de la communauté internationale, impérative pour faire face à la crise financière que traverse le pays au moment où l’effondrement de la lire libanaise semble ne pas finir.