Le Maroc a accueilli jeudi et dimanche derniers des séances de dialogue entre deux délégations du Conseil suprême d’État et du Parlement Tobrouk-Anatolie.
Un membre du Conseil suprême d’État libyen a déclaré mercredi que les séances de dialogue libyen reprendraient au Maroc dimanche prochain, et qu’un nouveau conseil présidentiel serait choisi «dans les prochains jours».
Le Royaume a accueilli, entre jeudi et dimanche dernier, des séances de dialogue entre deux délégations du Conseil suprême d’État et du Parlement de Tobrouk (est), qui soutient les forces du général de division à la retraite Khalifa Haftar.
Un membre du Conseil, qui a requis l’anonymat, a ajouté, selon l’Agence turque Anadolu, que «les membres du Comité de dialogue, représentants du Conseil suprême libyen, quitteront vendredi la capitale, Tripoli, en direction du Maroc».
Il a ajouté que «les membres du comité de dialogue discuteront, lors des négociations, des mécanismes de sélection des personnes qui assumeront les positions souveraines», affirmant s’attendre à ce que les mécanismes de désignation des membres du nouveau Conseil de Présidence, qui sera composé d’un président, de deux vices présidents et d’un Premier ministre séparé, seront discutés».
Vers un nouveau Conseil de la Présidence ?
La même source a souligné que «dans le cas où il y aurait entente sur les mécanismes des positions souveraines et du Conseil présidentiel, les membres du Comité de dialogue se rendront chacun dans son fief pour œuvrer à la mise en œuvre de ce qui a été convenu».
Il a ajouté que «les membres du comité de dialogue ont surmonté lors de leurs sessions précédentes la plupart des difficultés qui peuvent entraver les négociations, et il est très probable qu’un nouveau conseil présidentiel sera choisi dans les prochains jours». Le chef du Conseil de la présidence libyenne, Fayez Al-Sarraj, a annoncé jeudi sa «sincère volonté» de remettre ses fonctions à la prochaine autorité exécutive, au plus tard fin octobre prochain, à condition que le comité de dialogue ait achevé ses travaux. Depuis des années, ce pays riche en pétrole souffre d’un conflit armé.
Avec le soutien des pays arabes et occidentaux, la milice de Haftar se bat contre le gouvernement libyen internationalement reconnu pour sa légitimité et son autorité, causant des morts et des blessés parmi les civils, ainsi que d’énormes dégâts matériels. Depuis le 21 août dernier, la Libye a maintenu un cessez-le-feu, que la milice de Haftar viole de temps à autre.
Un membre du Conseil suprême d’État libyen a déclaré mercredi que les séances de dialogue libyen reprendraient au Maroc dimanche prochain, et qu’un nouveau conseil présidentiel serait choisi «dans les prochains jours».
Le Royaume a accueilli, entre jeudi et dimanche dernier, des séances de dialogue entre deux délégations du Conseil suprême d’État et du Parlement de Tobrouk (est), qui soutient les forces du général de division à la retraite Khalifa Haftar.
Un membre du Conseil, qui a requis l’anonymat, a ajouté, selon l’Agence turque Anadolu, que «les membres du Comité de dialogue, représentants du Conseil suprême libyen, quitteront vendredi la capitale, Tripoli, en direction du Maroc».
Il a ajouté que «les membres du comité de dialogue discuteront, lors des négociations, des mécanismes de sélection des personnes qui assumeront les positions souveraines», affirmant s’attendre à ce que les mécanismes de désignation des membres du nouveau Conseil de Présidence, qui sera composé d’un président, de deux vices présidents et d’un Premier ministre séparé, seront discutés».
Vers un nouveau Conseil de la Présidence ?
La même source a souligné que «dans le cas où il y aurait entente sur les mécanismes des positions souveraines et du Conseil présidentiel, les membres du Comité de dialogue se rendront chacun dans son fief pour œuvrer à la mise en œuvre de ce qui a été convenu».
Il a ajouté que «les membres du comité de dialogue ont surmonté lors de leurs sessions précédentes la plupart des difficultés qui peuvent entraver les négociations, et il est très probable qu’un nouveau conseil présidentiel sera choisi dans les prochains jours». Le chef du Conseil de la présidence libyenne, Fayez Al-Sarraj, a annoncé jeudi sa «sincère volonté» de remettre ses fonctions à la prochaine autorité exécutive, au plus tard fin octobre prochain, à condition que le comité de dialogue ait achevé ses travaux. Depuis des années, ce pays riche en pétrole souffre d’un conflit armé.
Avec le soutien des pays arabes et occidentaux, la milice de Haftar se bat contre le gouvernement libyen internationalement reconnu pour sa légitimité et son autorité, causant des morts et des blessés parmi les civils, ainsi que d’énormes dégâts matériels. Depuis le 21 août dernier, la Libye a maintenu un cessez-le-feu, que la milice de Haftar viole de temps à autre.