Les intentions du Raja étaient claires : trouver les poteaux Sétifiens. Poussés par les clameurs des gradins, les Rajaouis ont pressé dès le début. Cela a été payant même si il a tardé à se concrétiser. L’absence de Metoualli a beaucoup pesé. Le Raja de Metoualli est différent du Raja sans Metoualli !
Une seule occasion du Raja mais ratée en première mi-temps (0-0)
Un penalty à la 7ème minute mais la transversale a repoussé le ballon tiré à la panenka par Ahadad.
Malgré cet échec, le spectacle offert sur les tribunes ne s'est pas arrêté pour autant et non plus la pression des Verts.
Les Sétifiens sous l'emprise des Rajaouis, joueurs et supporters, n'arrivaient ni à construire ni à transiter tellement la ligne médiane du Raja était dense et difficile à percer.
Il a fallu attendre la 15ème puis la 18ème minutes pour que Sétif crée le danger sur un corner et suite à une bourde de Hadhoudi qui s’est immédiatement repris pour sauver la situation.
Des déchets, de la précipitation, de l’imprécision, des lignes trop espacées, sans meneur, un seul attaquant isolé, et sans soutien sur le 2e ballon. C’était le Raja en quelques mots.
Les Rajaouis, pressés pour bien faire, rataient tout malgré la maîtrise de la possession et du rythme. Seulement sans création ni solution pour faire la différence. Le Raja a dominé mais impuissamment et stérilement : une seule occasion sur un penalty en première mi-temps.
Hadhoudi sauveur en deuxième mi-temps (1-0)
Après la pause, la ligne médiane du Raja s’est positionnée très haut pour s'approcher du seul attaquant, Ahadad, mais toujours sans solution. Le Raja avait la maîtrise totale du match devant un adversaire exclusivement attentiste, jouant très bas, subissant le jeu, sans réaction, attendant d’encaisser un but et refusant de faire le jeu.
52’. Ngoma a trouvé le poteau sur une frappe de loin.
70’. Benjdida et Farah ont rejoint le jeu pour apporter un plus en attaque et du soutien à Ahadad, trop esseulé, et pour créer une supériorité numérique offensive dans la zone des opérations.
74’. Sur un corner tiré par Nahiri, Hadhoudi était à la réception pour ouvrir le score, libérer ses coéquipiers de la tension et la pression et donner l’occasion aux milliers des supporters de jubiler et exprimer leur joie.
Malgré le but encaissé, les Sétifiens sont restés sans réaction subissant le jeu jusqu’au sifflet final devant un Raja impuissant à concrétiser sa domination.
L’essentiel a été accompli: finir premier du groupe.
Une seule occasion du Raja mais ratée en première mi-temps (0-0)
Un penalty à la 7ème minute mais la transversale a repoussé le ballon tiré à la panenka par Ahadad.
Malgré cet échec, le spectacle offert sur les tribunes ne s'est pas arrêté pour autant et non plus la pression des Verts.
Les Sétifiens sous l'emprise des Rajaouis, joueurs et supporters, n'arrivaient ni à construire ni à transiter tellement la ligne médiane du Raja était dense et difficile à percer.
Il a fallu attendre la 15ème puis la 18ème minutes pour que Sétif crée le danger sur un corner et suite à une bourde de Hadhoudi qui s’est immédiatement repris pour sauver la situation.
Des déchets, de la précipitation, de l’imprécision, des lignes trop espacées, sans meneur, un seul attaquant isolé, et sans soutien sur le 2e ballon. C’était le Raja en quelques mots.
Les Rajaouis, pressés pour bien faire, rataient tout malgré la maîtrise de la possession et du rythme. Seulement sans création ni solution pour faire la différence. Le Raja a dominé mais impuissamment et stérilement : une seule occasion sur un penalty en première mi-temps.
Hadhoudi sauveur en deuxième mi-temps (1-0)
Après la pause, la ligne médiane du Raja s’est positionnée très haut pour s'approcher du seul attaquant, Ahadad, mais toujours sans solution. Le Raja avait la maîtrise totale du match devant un adversaire exclusivement attentiste, jouant très bas, subissant le jeu, sans réaction, attendant d’encaisser un but et refusant de faire le jeu.
52’. Ngoma a trouvé le poteau sur une frappe de loin.
70’. Benjdida et Farah ont rejoint le jeu pour apporter un plus en attaque et du soutien à Ahadad, trop esseulé, et pour créer une supériorité numérique offensive dans la zone des opérations.
74’. Sur un corner tiré par Nahiri, Hadhoudi était à la réception pour ouvrir le score, libérer ses coéquipiers de la tension et la pression et donner l’occasion aux milliers des supporters de jubiler et exprimer leur joie.
Malgré le but encaissé, les Sétifiens sont restés sans réaction subissant le jeu jusqu’au sifflet final devant un Raja impuissant à concrétiser sa domination.
L’essentiel a été accompli: finir premier du groupe.