Le projet de loi relatif à la cybersécurité, qui a été approuvé en marge de la réunion ministérielle tenue lundi, vise à renforcer la sécurité des systèmes d’information dans les administrations publiques, les collectivités territoriales, les institutions et les marchés publics, ainsi que les entreprises de télécommunications. Il envisage également de renforcer la confiance et soutenir l’économie numérique, et plus généralement à assurer la continuité des activités économiques et sociales.
Le projet de loi définit les normes et les dispositions de sécurité applicables aux systèmes d’information des administrations de l’État, des collectivités territoriales, des établissements et entreprises publics, ainsi qu’à toute autre personne morale soumise à la loi publique. Le projet détermine également le cadre national de la gouvernance de la cybersécurité, le cadre de coopération et d’échange d’informations entre l’autorité nationale de la cybersécurité défini par une loi organique et les services de l’Etat chargés du traitement des crimes contre les systèmes automatisés de traitement des données. Il concerne, par ailleurs, la contribution qu’accorde l’Autorité nationale aux organismes nationaux compétents pour renforcer la confiance numérique et développer la dématérialisation des services offerts par l’Etat et la protection des données à caractère personnel.
Le Royaume, conscient des dangers de la cybercriminalité
La cybercriminalité est considérée comme toute infraction commise par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Aujourd’hui, elle présente un danger majeur pour la stabilité de tous les Etats du monde, puisqu’elle s’alimente de l’évolution exponentielle des technologies de l’information.
Le Maroc est conscient du fait qu’il est classé parmi les pays les plus exposés à la menace électronique. Dans ce sens, une stratégie nationale de cybersécurité et de sécurité des systèmes d’information a été mise en place. Plusieurs mesures ont été entreprises sur le plan organisationnel et réglementaire en matière de lutte contre la cybercriminalité. Sur le plan organisationnel, le Maroc a mis en place la Direction Générale de la Sécurité des Systèmes d’Information (DGSSI), le Centre Marocain d’Alerte et de Gestion des Incidents Informatiques (MA-CERT) relevant de la Direction de la Défense Nationale, des Laboratoires Régionaux d’Analyse de Traces Numériques et Anti-cybercriminalité, relevant de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN), et également la Commission Nationale de Contrôle de la Protection des Données Personnelles (CNDP), qui vient d’être réorganisée.
Sur le plan réglementaire, le projet de loi n° 05.20 relatif à la cybersécurité s’avère un élément important pour se protéger davantage des dangers de la cybercriminalité.
Le projet de loi définit les normes et les dispositions de sécurité applicables aux systèmes d’information des administrations de l’État, des collectivités territoriales, des établissements et entreprises publics, ainsi qu’à toute autre personne morale soumise à la loi publique. Le projet détermine également le cadre national de la gouvernance de la cybersécurité, le cadre de coopération et d’échange d’informations entre l’autorité nationale de la cybersécurité défini par une loi organique et les services de l’Etat chargés du traitement des crimes contre les systèmes automatisés de traitement des données. Il concerne, par ailleurs, la contribution qu’accorde l’Autorité nationale aux organismes nationaux compétents pour renforcer la confiance numérique et développer la dématérialisation des services offerts par l’Etat et la protection des données à caractère personnel.
Le Royaume, conscient des dangers de la cybercriminalité
La cybercriminalité est considérée comme toute infraction commise par l’utilisation des technologies de l’information et de la communication. Aujourd’hui, elle présente un danger majeur pour la stabilité de tous les Etats du monde, puisqu’elle s’alimente de l’évolution exponentielle des technologies de l’information.
Le Maroc est conscient du fait qu’il est classé parmi les pays les plus exposés à la menace électronique. Dans ce sens, une stratégie nationale de cybersécurité et de sécurité des systèmes d’information a été mise en place. Plusieurs mesures ont été entreprises sur le plan organisationnel et réglementaire en matière de lutte contre la cybercriminalité. Sur le plan organisationnel, le Maroc a mis en place la Direction Générale de la Sécurité des Systèmes d’Information (DGSSI), le Centre Marocain d’Alerte et de Gestion des Incidents Informatiques (MA-CERT) relevant de la Direction de la Défense Nationale, des Laboratoires Régionaux d’Analyse de Traces Numériques et Anti-cybercriminalité, relevant de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN), et également la Commission Nationale de Contrôle de la Protection des Données Personnelles (CNDP), qui vient d’être réorganisée.
Sur le plan réglementaire, le projet de loi n° 05.20 relatif à la cybersécurité s’avère un élément important pour se protéger davantage des dangers de la cybercriminalité.
Hajar LEBABI