Ce littoral est considéré comme la destination privilégiée des Marocains sur la côte méditerranéenne, compte tenu de sa proximité avec de grandes villes marocaines, ainsi que ses nombreux atours naturels, notamment son climat frais, son sable doré et ses eaux tièdes, en plus des unités hôtelières, résidences balnéaires et des espaces de divertissements dont il regorge. La région se distingue également par la richesse et la diversité de l’offre culturelle, qui reflète la dimension méditerranéenne du Maroc. En effet, Tamuda Bay se situe non loin de la ville de Tétouan, dont la médina est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, ainsi que Chefchaouen, la perle bleue, et Tanger, la capitale du Nord.
Les préparatifs au niveau de ce littoral comprennent 17 axes relatifs à l’aménagement des façades, routes et signalisation, en plus des espaces verts, places publiques et du réseau d’électrification, a indiqué le chef de la division des affaires économiques et de la coordination à la préfecture, Lahbib Azeriah, précisant qu’il s’agit également de la lutte contre les insectes, ainsi que l’aménagement des plages pour accueillir les estivants.
Le littoral de la préfecture s’étend sur quelque 35 kilomètres, de Martil à Belyounech, et comprend de magnifiques plages pour les amoureux de natation, des rochers sousmarins pour les férus de plongée, et deux ports de plaisances pour les propriétaires de bateaux et de yachts.
Parmi ces plages figurent celles de “Martil’, “Cabo Negro”, “Tres Piedras”, “Sania Torres”, “M’diq”, “Rifiyine”, “Kabila”, “Smir” et de “Belyounech”.
M. Azeriah, également coordinateur du programme “Plages propres”, initié par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, a fait savoir que la période estivale est le moteur de l’activité économique dans cette région, qui repose sur le tourisme, caractérisé par son aspect saisonnier. Une circulaire commune des ministères de l’Intérieur et de l’Equipement, du transport, de la logistique et de l’eau, publiée en 2018, encadre l’organisation des plages, a-t-il noté, ajoutant que conformément aux dispositions de ladite circulaire, 20% de l’espace des plages est dédié aux activités commerciales, tandis que l’espace restant demeure propriété maritime publique.
Par ailleurs, nombre de plages ont été équipées de parasols gratuits au profit des estivants, tout en veillant à préserver la propreté de ces lieux 24h/24 et 7j/7. Selon M. Azeriah, la préfecture de M’diq-Fnideq entend être un modèle en gestion des plages et en aménagement des espaces de manière générale.
Le littoral «Tamuda Bay» est connu pour la limpidité de ses eaux, la plage de M’diq ayant déjà obtenu le label “Pavillon bleu” durant la période allant de 2007 à 2015, tandis que la plage de Fnideq a décroché le même label de 2008 à 2015, puis en 2020.
Les efforts sont désormais orientés vers la nécessité de dépasser la saisonnalité de l’activité touristique, en organisant des manifestations culturelles et sportives, tout en exploitant les zones de montagne relevant de la préfecture à des fins touristiques, a-t-il conclu.
Les préparatifs au niveau de ce littoral comprennent 17 axes relatifs à l’aménagement des façades, routes et signalisation, en plus des espaces verts, places publiques et du réseau d’électrification, a indiqué le chef de la division des affaires économiques et de la coordination à la préfecture, Lahbib Azeriah, précisant qu’il s’agit également de la lutte contre les insectes, ainsi que l’aménagement des plages pour accueillir les estivants.
Le littoral de la préfecture s’étend sur quelque 35 kilomètres, de Martil à Belyounech, et comprend de magnifiques plages pour les amoureux de natation, des rochers sousmarins pour les férus de plongée, et deux ports de plaisances pour les propriétaires de bateaux et de yachts.
Parmi ces plages figurent celles de “Martil’, “Cabo Negro”, “Tres Piedras”, “Sania Torres”, “M’diq”, “Rifiyine”, “Kabila”, “Smir” et de “Belyounech”.
M. Azeriah, également coordinateur du programme “Plages propres”, initié par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, a fait savoir que la période estivale est le moteur de l’activité économique dans cette région, qui repose sur le tourisme, caractérisé par son aspect saisonnier. Une circulaire commune des ministères de l’Intérieur et de l’Equipement, du transport, de la logistique et de l’eau, publiée en 2018, encadre l’organisation des plages, a-t-il noté, ajoutant que conformément aux dispositions de ladite circulaire, 20% de l’espace des plages est dédié aux activités commerciales, tandis que l’espace restant demeure propriété maritime publique.
Par ailleurs, nombre de plages ont été équipées de parasols gratuits au profit des estivants, tout en veillant à préserver la propreté de ces lieux 24h/24 et 7j/7. Selon M. Azeriah, la préfecture de M’diq-Fnideq entend être un modèle en gestion des plages et en aménagement des espaces de manière générale.
Le littoral «Tamuda Bay» est connu pour la limpidité de ses eaux, la plage de M’diq ayant déjà obtenu le label “Pavillon bleu” durant la période allant de 2007 à 2015, tandis que la plage de Fnideq a décroché le même label de 2008 à 2015, puis en 2020.
Les efforts sont désormais orientés vers la nécessité de dépasser la saisonnalité de l’activité touristique, en organisant des manifestations culturelles et sportives, tout en exploitant les zones de montagne relevant de la préfecture à des fins touristiques, a-t-il conclu.