Les données fournies par l'Office statistique européen (Eurostat) ont fait état d'une augmentation de 72 % due à la situation interne en Afghanistan, tout en faisant remarquer que le nombre de mineurs marocains ayant demandé l'asile a atteint 250 personnes la saison dernière.
Selon la même source, la plupart des demandes d'asile appartiennent à des mineurs afghans avec 53 %, suivis des Syriens avec 16 % et des Bangladais avec 6 %. Les Somaliens et les Pakistanais arrivent, quant à eux, en quatrième position avec 5 %.
De leur côté, les mineurs égyptiens et irakiens représentent 2%, tandis que les Guinéens et les Marocains représentent seulement 1 % chacun. Les demandes restantes sont dues à des ressortissants d'autres pays de la région avec 8 %, a indiqué Europstat.
Cette dernière a révélé que le nombre de mineurs non accompagnés qui ont demandé l'asile a atteint 23.255 au cours de l'année écoulée, dont la plupart sont des hommes (93 %). La tranche d'âge des 16-17 ans représente près de 68 % des demandes d'asile.
Il est à noter que Rabat devrait accueillir une réunion à laquelle devraient participer des responsables de haut niveau des parties marocaine et espagnole, notamment des ministères de l'Intérieur et des Affaires étrangères afin de discuter des questions bilatérales liées à la migration régulière et irrégulière.
SM le Roi Mohammed VI avait réitéré, en 2021, ses instructions pour que la question des mineurs marocains non accompagnés et en situation irrégulière dans des pays européens soit définitivement réglée.
Un communiqué des ministères de l’Intérieur et des Affaires étrangères avait indiqué que le souverain avait souligné, à plusieurs reprises, y compris à des chefs d’État étrangers, « l’engagement clair et ferme » du Maroc à « accepter le retour des mineurs non accompagnés dûment identifiés ».
« Des mécanismes de coopération ont été mis en place à cet effet avec certains pays, notamment la France et l’Espagne et qui ont abouti au retour au Maroc de plusieurs dizaines de mineurs », avait précisé la même source.
« Le Maroc est disposé à collaborer, comme il l’a toujours fait, avec les pays européens et l’Union européenne (UE), pour le règlement de cette question », a ajouté le communiqué, relevant que le Royaume espère que l’UE et les pays concernés « sauront dépasser les contraintes procédurales pour faciliter cette opération ».
Selon la même source, la plupart des demandes d'asile appartiennent à des mineurs afghans avec 53 %, suivis des Syriens avec 16 % et des Bangladais avec 6 %. Les Somaliens et les Pakistanais arrivent, quant à eux, en quatrième position avec 5 %.
De leur côté, les mineurs égyptiens et irakiens représentent 2%, tandis que les Guinéens et les Marocains représentent seulement 1 % chacun. Les demandes restantes sont dues à des ressortissants d'autres pays de la région avec 8 %, a indiqué Europstat.
Cette dernière a révélé que le nombre de mineurs non accompagnés qui ont demandé l'asile a atteint 23.255 au cours de l'année écoulée, dont la plupart sont des hommes (93 %). La tranche d'âge des 16-17 ans représente près de 68 % des demandes d'asile.
Il est à noter que Rabat devrait accueillir une réunion à laquelle devraient participer des responsables de haut niveau des parties marocaine et espagnole, notamment des ministères de l'Intérieur et des Affaires étrangères afin de discuter des questions bilatérales liées à la migration régulière et irrégulière.
SM le Roi Mohammed VI avait réitéré, en 2021, ses instructions pour que la question des mineurs marocains non accompagnés et en situation irrégulière dans des pays européens soit définitivement réglée.
Un communiqué des ministères de l’Intérieur et des Affaires étrangères avait indiqué que le souverain avait souligné, à plusieurs reprises, y compris à des chefs d’État étrangers, « l’engagement clair et ferme » du Maroc à « accepter le retour des mineurs non accompagnés dûment identifiés ».
« Des mécanismes de coopération ont été mis en place à cet effet avec certains pays, notamment la France et l’Espagne et qui ont abouti au retour au Maroc de plusieurs dizaines de mineurs », avait précisé la même source.
« Le Maroc est disposé à collaborer, comme il l’a toujours fait, avec les pays européens et l’Union européenne (UE), pour le règlement de cette question », a ajouté le communiqué, relevant que le Royaume espère que l’UE et les pays concernés « sauront dépasser les contraintes procédurales pour faciliter cette opération ».