Mandla Mandela, le personnage exhibé vendredi, lors de la cérémonie d’ouverture du CHAN 2022 en Algérie, pour haranguer les foules en proférant des propos attentatoires à l’intégrité territoriale du Royaume, ne doit pas nous faire perdre notre sang froid car il n’est simplement pas digne de notre colère. Il s’agit en effet d’un vulgaire avatar du régime des généraux en tête desquels l’inénarrable Chengriha, qui lui ont bien fait apprendre leur bobine propagandiste usée sur notre pays, avant de le lâcher pour la réciter devant un public chauffé à blanc car conditionné depuis des décennies à la détestation de tout ce qui est marocain.
Après avoir craché son venin et s’être acquitté de sa prestation, certainement monnayée, Mandla qui ne mérite aucunement de porter le nom de son illustre aïeul qu’il ne fait que souiller depuis sa tendre adolescence, s’en est sans doute allé vaquer à ses habituelles frasques conjugales qui font les choux gras de la presse à scandale sud-africaine.
Au risque d’en choquer plus d’un, Mandla mériterait plutôt notre gratitude. Oui, notre gratitude ! Car en appelant à porter les armes contre un pays membre de la CAF lors de la cérémonie d’ouverture d’une compétition officielle dont ce pays est de surcroît le double champion en titre, le tout sous les yeux médusés de Patrice Motsepe, le Président de la CAF, et de Gianni Infantino, le Président de la FIFA, le petit-fils indigne de Madiba s’est certes prostitué politiquement. Mais il a en même temps rendu un fier service au dossier de candidature du Maroc pour l’organisation de la CAN 2025 pour laquelle l’Algérie demeure son principal, sinon son seul challenger.
Au passage, Mandla a révélé aux yeux du monde les pratiques révolues et scandaleuses d’une junte militaire algérienne que l’on n’avait pas vues depuis les jeux Olympiques de Berlin en 1936. Nous lui sommes pour cela grandement reconnaissants.
Maintenant, quelques mises au point historiques s’imposent. Le nom de Mandela que le régime algérien tente d’accaparer au profit de sa propagande, au même titre que celui de la Palestine dont il essaie de convaincre le monde, son monde, qu’il en est l’unique défenseur, appartient à toute l’humanité. Et le Royaume du Maroc, où le chef mythique de la lutte contre l’apartheid a obtenu de son propre aveu en 1962 soutien politique, logistique et financier, avec supervision d’entraînements militaires et livraisons d’armes et d’argent, est de loin mieux placé que l’actuel gouvernement algérien pour en revendiquer l’aura et l’amitié.
Après avoir craché son venin et s’être acquitté de sa prestation, certainement monnayée, Mandla qui ne mérite aucunement de porter le nom de son illustre aïeul qu’il ne fait que souiller depuis sa tendre adolescence, s’en est sans doute allé vaquer à ses habituelles frasques conjugales qui font les choux gras de la presse à scandale sud-africaine.
Au risque d’en choquer plus d’un, Mandla mériterait plutôt notre gratitude. Oui, notre gratitude ! Car en appelant à porter les armes contre un pays membre de la CAF lors de la cérémonie d’ouverture d’une compétition officielle dont ce pays est de surcroît le double champion en titre, le tout sous les yeux médusés de Patrice Motsepe, le Président de la CAF, et de Gianni Infantino, le Président de la FIFA, le petit-fils indigne de Madiba s’est certes prostitué politiquement. Mais il a en même temps rendu un fier service au dossier de candidature du Maroc pour l’organisation de la CAN 2025 pour laquelle l’Algérie demeure son principal, sinon son seul challenger.
Au passage, Mandla a révélé aux yeux du monde les pratiques révolues et scandaleuses d’une junte militaire algérienne que l’on n’avait pas vues depuis les jeux Olympiques de Berlin en 1936. Nous lui sommes pour cela grandement reconnaissants.
Maintenant, quelques mises au point historiques s’imposent. Le nom de Mandela que le régime algérien tente d’accaparer au profit de sa propagande, au même titre que celui de la Palestine dont il essaie de convaincre le monde, son monde, qu’il en est l’unique défenseur, appartient à toute l’humanité. Et le Royaume du Maroc, où le chef mythique de la lutte contre l’apartheid a obtenu de son propre aveu en 1962 soutien politique, logistique et financier, avec supervision d’entraînements militaires et livraisons d’armes et d’argent, est de loin mieux placé que l’actuel gouvernement algérien pour en revendiquer l’aura et l’amitié.
Majd El Atouabi