62 blessés ont été enregistrés parmi les forces de l'ordre (39 en province et 23 à Paris), a précisé dimanche le ministère.
Plusieurs vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ont montré des policiers tabassés par des manifestants.
Deux manifestants, qui ont fait un signalement auprès de l'Inspection générale de la police (IGPN), ont été blessés en outre en province, selon la police.
A Paris, un bilan des blessés du côté des manifestants n'était pas encore réalisé.
Un photographe syrien indépendant, Ameer al Halbi, 24 ans, qui couvrait la manifestation a été blessé au visage. Le secrétaire général de RSF, Christophe Deloire, a dénoncé samedi soir sur twitter, des violences policières "inacceptables" contre le collaborateur de Polka Magazine et de l'AFP.
Au total, ces manifestations ont rassemblé, selon l'Intérieur, 133.000 personnes dont 46.000 à Paris, les organisateurs annonçant pour leur part 500.000 participants dont 200.000 dans la capitale.
La forte mobilisation contre la proposition de loi "Sécurité Globale", de nature notamment à entraver la liberté d'informer selon ses détracteurs, est intervenue après deux scandales de violences policières en quelques jours, qui ont porté le sujet à ébullition et contraint le président Emmanuel Macron à s'impliquer dans le dossier.
Plusieurs vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ont montré des policiers tabassés par des manifestants.
Deux manifestants, qui ont fait un signalement auprès de l'Inspection générale de la police (IGPN), ont été blessés en outre en province, selon la police.
A Paris, un bilan des blessés du côté des manifestants n'était pas encore réalisé.
Un photographe syrien indépendant, Ameer al Halbi, 24 ans, qui couvrait la manifestation a été blessé au visage. Le secrétaire général de RSF, Christophe Deloire, a dénoncé samedi soir sur twitter, des violences policières "inacceptables" contre le collaborateur de Polka Magazine et de l'AFP.
Au total, ces manifestations ont rassemblé, selon l'Intérieur, 133.000 personnes dont 46.000 à Paris, les organisateurs annonçant pour leur part 500.000 participants dont 200.000 dans la capitale.
La forte mobilisation contre la proposition de loi "Sécurité Globale", de nature notamment à entraver la liberté d'informer selon ses détracteurs, est intervenue après deux scandales de violences policières en quelques jours, qui ont porté le sujet à ébullition et contraint le président Emmanuel Macron à s'impliquer dans le dossier.