Le ministère brésilien des Affaires étrangères, cité par l’agence de presse ANBA, a indiqué qu'« à travers son ambassade à Rabat, il consulte les autorités marocaines sur la possibilité de reprendre les négociations commerciales avec le Mercosur, interrompu en 2018».
« Le gouvernement brésilien souhaite reprendre les négociations sur les accords de libre-échange entre le Mercosur et les pays arabes comme le Maroc, la Tunisie et le Liban», ajoute la même source. Les négociations avec ces pays ont commencé, mais ne sont pas encore conclues pour différentes raisons, notamment à cause des restrictions liées à la pandémie du nouveau coronavirus et à l’absence de consensus sur cette question au sein du bloc.
Le Brésil avait déjà souligné, en octobre 2020, l’importance de conclure des accords avec des Etat arabes. «Le Brésil cherche à accélérer la signature d’accords de libre-échange entre le Marché commun du Sud (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) et plusieurs pays arabes, dont le Maroc», avait alors assuré le secrétaire spécial du commerce extérieur et des affaires internationales du ministère de l’Economie, Roberto Fendt, lors du Forum économique Brésil-Pays arabes.
Le bloc sud-américain n'a conclu qu’un seul accord de libre-échange avec les Etats arabes, celui scellé avec l'Egypte et entré en vigueur en septembre 2017, après une longue période de négociations. Le Brésil est également désireux de poursuivre les pourparlers avec un autre pays arabe, la Tunisie. «Les négociations de l'accord de libre-échange entre le Mercosur et la Tunisie ont été suspendues en 2017», selon le ministère brésilien.
D’après l’agence ANBA, le Mercosur a également entamé des négociations pour un accord de libre-échange avec le Liban. Les pourparlers ont été interrompus en raison de la pandémie, mais ont repris en décembre de l'année dernière. Le Brésil a l'intention d'organiser un nouveau cycle de négociations en ligne ce semestre et prévoit de conclure l'accord en 2022.
D’autre part, un accord avait été signé en 2011 entre le Mercosur et la Palestine, mais sa non ratification par tous les membres du bloc retarde son entrée en vigueur, malgré son approbation par le Congrès brésilien en septembre 2018.
Pour rappel, Le Maroc était le premier exportateur arabe vers le Brésil en janvier 2021, avec un plus de 100 millions de dollars de produits exportés, selon la Chambre de commerce arabo-brésilienne. En effet, sur toute l’année 2020, les exportations marocaines vers le Brésil ont atteint 1,2 milliard de dollars, faisant du Brésil le 3e client du Royaume, juste derrière la France et l’Espagne.
« Le gouvernement brésilien souhaite reprendre les négociations sur les accords de libre-échange entre le Mercosur et les pays arabes comme le Maroc, la Tunisie et le Liban», ajoute la même source. Les négociations avec ces pays ont commencé, mais ne sont pas encore conclues pour différentes raisons, notamment à cause des restrictions liées à la pandémie du nouveau coronavirus et à l’absence de consensus sur cette question au sein du bloc.
Le Brésil avait déjà souligné, en octobre 2020, l’importance de conclure des accords avec des Etat arabes. «Le Brésil cherche à accélérer la signature d’accords de libre-échange entre le Marché commun du Sud (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay) et plusieurs pays arabes, dont le Maroc», avait alors assuré le secrétaire spécial du commerce extérieur et des affaires internationales du ministère de l’Economie, Roberto Fendt, lors du Forum économique Brésil-Pays arabes.
Le bloc sud-américain n'a conclu qu’un seul accord de libre-échange avec les Etats arabes, celui scellé avec l'Egypte et entré en vigueur en septembre 2017, après une longue période de négociations. Le Brésil est également désireux de poursuivre les pourparlers avec un autre pays arabe, la Tunisie. «Les négociations de l'accord de libre-échange entre le Mercosur et la Tunisie ont été suspendues en 2017», selon le ministère brésilien.
D’après l’agence ANBA, le Mercosur a également entamé des négociations pour un accord de libre-échange avec le Liban. Les pourparlers ont été interrompus en raison de la pandémie, mais ont repris en décembre de l'année dernière. Le Brésil a l'intention d'organiser un nouveau cycle de négociations en ligne ce semestre et prévoit de conclure l'accord en 2022.
D’autre part, un accord avait été signé en 2011 entre le Mercosur et la Palestine, mais sa non ratification par tous les membres du bloc retarde son entrée en vigueur, malgré son approbation par le Congrès brésilien en septembre 2018.
Pour rappel, Le Maroc était le premier exportateur arabe vers le Brésil en janvier 2021, avec un plus de 100 millions de dollars de produits exportés, selon la Chambre de commerce arabo-brésilienne. En effet, sur toute l’année 2020, les exportations marocaines vers le Brésil ont atteint 1,2 milliard de dollars, faisant du Brésil le 3e client du Royaume, juste derrière la France et l’Espagne.