Dans un contexte mondial marqué par les vicissitudes, le Maroc s'affirme comme un partenaire stratégique incontournable pour l'Union européenne. Cette conviction a été exprimée avec force par Nizar Baraka, secrétaire général du parti de l'Istiqlal, lors de son allocution devant l'assemblée du Parti Populaire Européen (PPE).
Mettant en exergue les atouts du Royaume, Baraka a souligné sa capacité à apporter des réponses concrètes à des enjeux cruciaux : la sécurité, l'énergie, la compétitivité et la paix.
Sur le plan sécuritaire, le Maroc se présente comme un allié de premier ordre dans la lutte contre le terrorisme et l'immigration clandestine. La coordination opérationnelle "sans précédent" établie avec l'Espagne est citée comme un exemple probant de l'efficacité de cette coopération, ayant permis une réduction significative des flux migratoires irréguliers à travers le détroit de Gibraltar, a-t-il noté.
Le domaine énergétique a également été mis en lumière. L'interconnexion électrique avec l'Espagne a démontré la contribution actuelle du Maroc à l'approvisionnement européen. L'avenir s'annonce prometteur avec le développement du potentiel du Royaume en matière d'hydrogène vert, s'appuyant sur ses ressources solaires et éoliennes compétitives, son gazoduc existant et ses futurs ports écologiques.
L'intérêt manifesté par des entreprises européennes, notamment allemandes, espagnoles et françaises, atteste de cette dynamique. Par ailleurs, le projet de gazoduc Maroc-Nigeria, initié par Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le président nigérian, est présenté comme une nouvelle source d'approvisionnement essentielle pour l'Europe et un vecteur de développement pour l'Afrique de l'Ouest.
En matière de compétitivité, le SG du PI a souligné l'attractivité croissante du Maroc pour les industries européennes. Les gigafactories de batteries, l'écosystème automobile, le pôle aéronautique, les plateformes logistiques de dimension mondiale, la connectivité avancée et la qualité des ressources humaines, conjugués à l'abondance des énergies renouvelables, confèrent aux entreprises européennes implantées au Maroc un avantage compétitif et une empreinte environnementale réduite, a-t-il affirmé.
L'organisation conjointe de la Coupe du monde de football 2030 avec l'Espagne et le Portugal est présentée comme un symbole de complémentarité et de partenariat entre l'Afrique et l'Europe.
Enfin, la question de la paix régionale a occupé une place prépondérante dans le discours de Baraka. Il a plaidé avec vigueur pour un soutien à l'initiative marocaine d'autonomie pour le Sahara, la qualifiant de "seule voie réaliste pour mettre fin à un conflit qui entrave le développement de toute une région depuis plus de cinq décennies".
Rappelant le soutien croissant à cette solution politique, notamment de la part des États-Unis et de 22 États membres de l'Union européenne, il a insisté sur le fait qu'il ne s'agit pas seulement de résoudre un différend ancien, mais de bâtir un avenir de stabilité et de prospérité partagée pour les deux rives de la Méditerranée.
En conclusion, Nizar Baraka a clairement posé l'équation : soutenir un partenariat stratégique avec le Maroc n'est pas un simple acte de courtoisie, mais un investissement dans un avenir euro-méditerranéen plus sûr et plus prospère. Le choix, a-t-il affirmé, est sans équivoque.
Mettant en exergue les atouts du Royaume, Baraka a souligné sa capacité à apporter des réponses concrètes à des enjeux cruciaux : la sécurité, l'énergie, la compétitivité et la paix.
Sur le plan sécuritaire, le Maroc se présente comme un allié de premier ordre dans la lutte contre le terrorisme et l'immigration clandestine. La coordination opérationnelle "sans précédent" établie avec l'Espagne est citée comme un exemple probant de l'efficacité de cette coopération, ayant permis une réduction significative des flux migratoires irréguliers à travers le détroit de Gibraltar, a-t-il noté.
Le domaine énergétique a également été mis en lumière. L'interconnexion électrique avec l'Espagne a démontré la contribution actuelle du Maroc à l'approvisionnement européen. L'avenir s'annonce prometteur avec le développement du potentiel du Royaume en matière d'hydrogène vert, s'appuyant sur ses ressources solaires et éoliennes compétitives, son gazoduc existant et ses futurs ports écologiques.
L'intérêt manifesté par des entreprises européennes, notamment allemandes, espagnoles et françaises, atteste de cette dynamique. Par ailleurs, le projet de gazoduc Maroc-Nigeria, initié par Sa Majesté le Roi Mohammed VI et le président nigérian, est présenté comme une nouvelle source d'approvisionnement essentielle pour l'Europe et un vecteur de développement pour l'Afrique de l'Ouest.
En matière de compétitivité, le SG du PI a souligné l'attractivité croissante du Maroc pour les industries européennes. Les gigafactories de batteries, l'écosystème automobile, le pôle aéronautique, les plateformes logistiques de dimension mondiale, la connectivité avancée et la qualité des ressources humaines, conjugués à l'abondance des énergies renouvelables, confèrent aux entreprises européennes implantées au Maroc un avantage compétitif et une empreinte environnementale réduite, a-t-il affirmé.
L'organisation conjointe de la Coupe du monde de football 2030 avec l'Espagne et le Portugal est présentée comme un symbole de complémentarité et de partenariat entre l'Afrique et l'Europe.
Enfin, la question de la paix régionale a occupé une place prépondérante dans le discours de Baraka. Il a plaidé avec vigueur pour un soutien à l'initiative marocaine d'autonomie pour le Sahara, la qualifiant de "seule voie réaliste pour mettre fin à un conflit qui entrave le développement de toute une région depuis plus de cinq décennies".
Rappelant le soutien croissant à cette solution politique, notamment de la part des États-Unis et de 22 États membres de l'Union européenne, il a insisté sur le fait qu'il ne s'agit pas seulement de résoudre un différend ancien, mais de bâtir un avenir de stabilité et de prospérité partagée pour les deux rives de la Méditerranée.
En conclusion, Nizar Baraka a clairement posé l'équation : soutenir un partenariat stratégique avec le Maroc n'est pas un simple acte de courtoisie, mais un investissement dans un avenir euro-méditerranéen plus sûr et plus prospère. Le choix, a-t-il affirmé, est sans équivoque.