L'avion transportant environ 100 personnes a décollé le matin de Tel-Aviv pour Marrakech a déclaré à l'AFP la porte-parole d'Israir, Tali Leibovitz, ajoutant que deux à trois vols commerciaux entre les deux villes sont prévus par semaine.
Le Maroc a été le quatrième pays arabe à reprendre, en décembre 2020, ses relations avec Israël, après les Emirats arabes unis, Bahreïn et le Soudan, sous l'impulsion de l'administration de l'ancien président américain Donald Trump.
Un premier vol direct transportant des officiels israéliens a eu lieu en décembre 2020 entre Tel-Aviv et Rabat. Des accords bilatéraux ont été signés dans la foulée notamment sur l'exemption de visas pour les diplomates et les liaisons aériennes directes.
La semaine dernière, le ministre israélien des Affaires étrangères Yaïr Lapid a annoncé qu'il se rendrait au Maroc, après l'ouverture de la ligne aérienne directe vers ce pays, sans toutefois annoncer de date précise.
L'annonce de M. Lapid est intervenue peu après la diffusion par un consortium de médias internationaux d'une enquête dans laquelle les services de renseignement marocains sont accusés d'avoir eu recours à un logiciel israélien pour espionner notamment des journalistes.
Le gouvernement marocain a fermement démenti le recours par ses services au logiciel israélien Pegasus pour espionner journalistes ou personnalités nationales ou étrangères.
Le Maroc a été le quatrième pays arabe à reprendre, en décembre 2020, ses relations avec Israël, après les Emirats arabes unis, Bahreïn et le Soudan, sous l'impulsion de l'administration de l'ancien président américain Donald Trump.
Un premier vol direct transportant des officiels israéliens a eu lieu en décembre 2020 entre Tel-Aviv et Rabat. Des accords bilatéraux ont été signés dans la foulée notamment sur l'exemption de visas pour les diplomates et les liaisons aériennes directes.
La semaine dernière, le ministre israélien des Affaires étrangères Yaïr Lapid a annoncé qu'il se rendrait au Maroc, après l'ouverture de la ligne aérienne directe vers ce pays, sans toutefois annoncer de date précise.
L'annonce de M. Lapid est intervenue peu après la diffusion par un consortium de médias internationaux d'une enquête dans laquelle les services de renseignement marocains sont accusés d'avoir eu recours à un logiciel israélien pour espionner notamment des journalistes.
Le gouvernement marocain a fermement démenti le recours par ses services au logiciel israélien Pegasus pour espionner journalistes ou personnalités nationales ou étrangères.