A cette occasion, M. Fayot a souligné la nécessité de renforcer les relations entre les deux pays à tous les niveaux, particulièrement dans les secteurs de l'automobile, de l'économie de la santé, des nouvelles technologies et des énergies renouvelables.
"Nous sommes ici pour explorer les moyens d'approfondir encore cette coopération économique mais aussi pour présenter le Luxembourg avec tout ce que nous développant de notre côté, notamment sur le niveau numérique et de la finance verte", a-t-il dit, insistant sur le fait que le Luxembourg est un endroit multiculturel et "business friendly" pour tout investisseur souhaitant y investir.
Le Luxembourg, a poursuivi le ministre, est entrain de verdir son économie et son industrie comme plusieurs autres pays européens, faisant savoir que celui-ci regarde avec beaucoup d'intérêt ce qui se développe au Maroc, notamment en matière d'énergies renouvelables.
De son côté, M. Alj a salué les avancées réalisées au Luxembourg en matière de finance, d'industrie et de digital, tout en rappelant que les deux pays entretiennent des liens exemplaires empreints de respect et d'amitié.
S'attardant sur la coopération économique, le président de la CGEM a mis en avant les moult réalisations effectuées entre les deux pays, émettant le souhait d'aller encore plus loin, aussi bien en matière d'investissement qu'en termes de commerce.
"Les échanges commerciaux entre nos deux pays n'ont pas dépassé les 30 millions d'euros en 2021. Notre ambition est de doubler voire tripler ce chiffre d’ici 2025", a-t-il espéré.
M. Alj a, dans le même sillage, relevé que le Maroc peut être pour les entreprises luxembourgeoises, une porte d'entrée vers l'Afrique et le Luxembourg, une porte d'entrée en Europe pour des entreprises marocaines.
Connu pour sa stabilité politique et son pluralisme, a-t-il rappelé, le Maroc a réalisé, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, des avancées remarquables ces vingt dernières années, que ce soit en matière de modernisation de ses structures économiques, institutionnelles et financières, qu'en termes d'infrastructures et de connectivité, notamment avec la construction du port de Tanger Med et de deux autres ports majeurs qui seront bientôt lancés. Et d'ajouter: "Le Maroc a aussi adopté une politique d'ouverture économique et financière pour une plus grande intégration de l'économie marocaine dans l'économie continentale et mondiale, en plus d'avoir considérablement investi dans son capital humain, reconnu actuellement par sa grande qualité".
Il s'agit de réalisations qui ont permis au Maroc d'être reconnu comme une destination intéressante et fiable, a-t-il affirmé, notant que les deux pays peuvent désormais consolider davantage ce partenariat, pour faire face ensemble aux mutations économiques mondiales et aux perturbations que connaissent les chaînes de valeurs.
"Nous sommes ici pour explorer les moyens d'approfondir encore cette coopération économique mais aussi pour présenter le Luxembourg avec tout ce que nous développant de notre côté, notamment sur le niveau numérique et de la finance verte", a-t-il dit, insistant sur le fait que le Luxembourg est un endroit multiculturel et "business friendly" pour tout investisseur souhaitant y investir.
Le Luxembourg, a poursuivi le ministre, est entrain de verdir son économie et son industrie comme plusieurs autres pays européens, faisant savoir que celui-ci regarde avec beaucoup d'intérêt ce qui se développe au Maroc, notamment en matière d'énergies renouvelables.
De son côté, M. Alj a salué les avancées réalisées au Luxembourg en matière de finance, d'industrie et de digital, tout en rappelant que les deux pays entretiennent des liens exemplaires empreints de respect et d'amitié.
S'attardant sur la coopération économique, le président de la CGEM a mis en avant les moult réalisations effectuées entre les deux pays, émettant le souhait d'aller encore plus loin, aussi bien en matière d'investissement qu'en termes de commerce.
"Les échanges commerciaux entre nos deux pays n'ont pas dépassé les 30 millions d'euros en 2021. Notre ambition est de doubler voire tripler ce chiffre d’ici 2025", a-t-il espéré.
M. Alj a, dans le même sillage, relevé que le Maroc peut être pour les entreprises luxembourgeoises, une porte d'entrée vers l'Afrique et le Luxembourg, une porte d'entrée en Europe pour des entreprises marocaines.
Connu pour sa stabilité politique et son pluralisme, a-t-il rappelé, le Maroc a réalisé, sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, des avancées remarquables ces vingt dernières années, que ce soit en matière de modernisation de ses structures économiques, institutionnelles et financières, qu'en termes d'infrastructures et de connectivité, notamment avec la construction du port de Tanger Med et de deux autres ports majeurs qui seront bientôt lancés. Et d'ajouter: "Le Maroc a aussi adopté une politique d'ouverture économique et financière pour une plus grande intégration de l'économie marocaine dans l'économie continentale et mondiale, en plus d'avoir considérablement investi dans son capital humain, reconnu actuellement par sa grande qualité".
Il s'agit de réalisations qui ont permis au Maroc d'être reconnu comme une destination intéressante et fiable, a-t-il affirmé, notant que les deux pays peuvent désormais consolider davantage ce partenariat, pour faire face ensemble aux mutations économiques mondiales et aux perturbations que connaissent les chaînes de valeurs.