Les fans de cet art ancestral ont été transportés dans un véritable voyage artistique à travers la magie des sonorités, rythmes et danses de cet art ancestral, inscrit par l’UNESCO depuis 2019, dans la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.
Ainsi, le public avait rendez-vous avec 6 Maâlems et artistes gnaouis issus des villes de Rabat, Casablanca, Essaouira et Marrakech, qui ont réussi à illuminer cette emblématique place et à créer la sensation en cette fin de semaine.
Cette soirée féérique a débuté par un show artistique collectif animé par les différents artistes participants qui ont gratifié le public venu en masse, par des danses et chants représentatifs de cet art qui a réussi à acquérir un rayonnement à l'international.
Par la suite, plusieurs maâlems se sont relayés sur la scène, dont la troupe du Maalem Aziz Baqbou (Rabat), celle du Maâlem Othmane Hmitti (Marrakech) en plus de celle Abdeslam Alikane, qui ont réussi à enchanter le public, prouvant ainsi la popularité grandissante ainsi que l’ancrage historique de ce genre artistique au sein des arts populaires du Royaume.
Dans une déclaration à M24, la chaine télévisée de l’info en continu de la MAP, Maâlem Aziz Baqbou, a mis l’accent sur l’importance de l’organisation de ce genre de festivals pour la revivification et la préservation de ce genre musical, qui a acquis la célébrité mondiale grâce au travail soutenu de maâlems et d’artistes ayant voué leur vie à la promotion et la sauvegarde de ce patrimoine immatériel.
Et d’appeler à garantir la pérennité à ce festival afin de léguer ce patrimoine aux générations montantes, relevant que la cité ocre dispose d’un style gnaoui propre qui la caractérise des autres villes, et de générations de maâlems, qui ont marqué de leurs empreintes cet art ancestral.
Dans une déclaration similaire, le vice-président de l’association Hmitti pour la Culture et la Création Artistique, Othmane Hmitti, a indiqué que cette édition a connu un saut qualitatif du point de vue de l’organisation qui s’est professionnalisée et la participation de marque de plusieurs maâlems issus de différentes villes marocaines.
"Le festival Gnaoua Show pour le Monde représente une occasion pour les générations montantes pour prendre la relève afin de garantir la pérennité à ce patrimoine, et contribuer au renouvellement de cet art et son rayonnement à l’international", a-t-il soutenu.
Organisé durant deux jours, par l'association Le Grand Atlas et l'association Hmitti pour la Culture et la Création Artistique, ce festival connait la participation de six troupes représentant les villes de Rabat, Casablanca, Essaouira et Marrakech, dirigées par des maâlems chevronnés de l’art Gnaoua, tels que Aziz Baqbou, Hassan Boussou et Houssam Gania.
A rappeler que le Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO a procédé, en 2019, à l’inscription de l'art Gnaoua à la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.
Ainsi, le public avait rendez-vous avec 6 Maâlems et artistes gnaouis issus des villes de Rabat, Casablanca, Essaouira et Marrakech, qui ont réussi à illuminer cette emblématique place et à créer la sensation en cette fin de semaine.
Cette soirée féérique a débuté par un show artistique collectif animé par les différents artistes participants qui ont gratifié le public venu en masse, par des danses et chants représentatifs de cet art qui a réussi à acquérir un rayonnement à l'international.
Par la suite, plusieurs maâlems se sont relayés sur la scène, dont la troupe du Maalem Aziz Baqbou (Rabat), celle du Maâlem Othmane Hmitti (Marrakech) en plus de celle Abdeslam Alikane, qui ont réussi à enchanter le public, prouvant ainsi la popularité grandissante ainsi que l’ancrage historique de ce genre artistique au sein des arts populaires du Royaume.
Dans une déclaration à M24, la chaine télévisée de l’info en continu de la MAP, Maâlem Aziz Baqbou, a mis l’accent sur l’importance de l’organisation de ce genre de festivals pour la revivification et la préservation de ce genre musical, qui a acquis la célébrité mondiale grâce au travail soutenu de maâlems et d’artistes ayant voué leur vie à la promotion et la sauvegarde de ce patrimoine immatériel.
Et d’appeler à garantir la pérennité à ce festival afin de léguer ce patrimoine aux générations montantes, relevant que la cité ocre dispose d’un style gnaoui propre qui la caractérise des autres villes, et de générations de maâlems, qui ont marqué de leurs empreintes cet art ancestral.
Dans une déclaration similaire, le vice-président de l’association Hmitti pour la Culture et la Création Artistique, Othmane Hmitti, a indiqué que cette édition a connu un saut qualitatif du point de vue de l’organisation qui s’est professionnalisée et la participation de marque de plusieurs maâlems issus de différentes villes marocaines.
"Le festival Gnaoua Show pour le Monde représente une occasion pour les générations montantes pour prendre la relève afin de garantir la pérennité à ce patrimoine, et contribuer au renouvellement de cet art et son rayonnement à l’international", a-t-il soutenu.
Organisé durant deux jours, par l'association Le Grand Atlas et l'association Hmitti pour la Culture et la Création Artistique, ce festival connait la participation de six troupes représentant les villes de Rabat, Casablanca, Essaouira et Marrakech, dirigées par des maâlems chevronnés de l’art Gnaoua, tels que Aziz Baqbou, Hassan Boussou et Houssam Gania.
A rappeler que le Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO a procédé, en 2019, à l’inscription de l'art Gnaoua à la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.