«Ce programme exceptionnel témoigne de la Haute Sollicitude de SM le Roi et de l’intérêt tout particulier que le Souverain ne cesse d’accorder au monde rural», a déclaré Abdelaziz Bousraref, Directeur Régional de l’Agriculture.
«Pour concrétiser ce chantier, la Direction Régionale de l’Agriculture (DRA) et les différents services déconcentrés du ministère de l’Agriculture, en parfaite concertation avec les autorités locales, ainsi que les professionnels de la Chambre d’Agriculture et les élus, oeuvrent afin de décliner ce programme et de l’opérationnaliser dans les meilleures conditions», a-t-il poursuivi, précisant que «ce programme exceptionnel est articulé autour de trois principaux axes, dont le premier concerne l’appui direct aux éleveurs et agriculteurs, le deuxième se rapporte à l’assurance multirisque climatique, et le troisième porte sur le soutien financier des agriculteurs».
Interrogé sur les mesures à adopter pour assurer une véritable déclinaison régionale des dispositions de ce programme exceptionnel, M. Bousraref a souligné que les travaux ont déjà démarré, à travers une Commission régionale et provinciale, et par le biais d’une mise en place d’un procédé de gouvernance et de suivi rigoureux.
La finalité, a-t-il expliqué, est que cette opération puisse se dérouler dans de bonnes conditions, de manière à atteindre les vrais bénéficiaires, éleveurs et agriculteurs. Au sujet des solutions alternatives déjà en cours pour atténuer l’impact des effets climatiques, il a tenu à rappeler que la région Marrakech-Safi est une zone à vocation agricole par excellence, avec un potentiel important en termes de production agricole, et une superficie agricole utile (SAU) de 2 millions ha.
La région compte 250.000 ha irrigués, dont 150.000 en grande hydraulique, outre l’adoption auparavant, d’une kyrielle de mesures dans le cadre du Plan Maroc Vert, en vue d’une meilleure adaptation aux changements climatiques, a-t-il poursuivi, rappelant que parmi ces mesures phares du Plan Maroc Vert, qui sont poursuivies dans le cadre du programme «Génération Green», figure l’économie de l’eau à tous les niveaux. «Nous avons un programme ambitieux qui a été réalisé et qui se poursuit dans le cadre de Génération Green, celui de reconversion des systèmes d’irrigation traditionnels en système de goutte à goutte. Nous sommes à 120.000 ha de superficie convertis en goutte à goutte, ce qui permettra une économie importante d’eau allant de 30% à 35%, par rapport aux systèmes d’irrigation conventionnels», s’est-il félicité.
Et M. Bousraref de poursuivre qu’au niveau régional, il y a également l’orientation des cultures au niveau des zones Bour vers des cultures adaptées à la sécheresse comme l’olivier, l’amandier, le caroubier, le cactus... etc. «Nous travaillons sur les deux, au niveau des zones Bour en termes du choix des cultures adaptées aux conditions climatiques de la région et au niveau des zones irriguées en matière d’économie d’eau, à travers le système du goutte à goutte mais aussi, grâce à la maintenance et à la réhabilitation des réseaux d’irrigation de la grande hydraulique pour minimaliser les pertes’’, a-t-il expliqué.
«Pour concrétiser ce chantier, la Direction Régionale de l’Agriculture (DRA) et les différents services déconcentrés du ministère de l’Agriculture, en parfaite concertation avec les autorités locales, ainsi que les professionnels de la Chambre d’Agriculture et les élus, oeuvrent afin de décliner ce programme et de l’opérationnaliser dans les meilleures conditions», a-t-il poursuivi, précisant que «ce programme exceptionnel est articulé autour de trois principaux axes, dont le premier concerne l’appui direct aux éleveurs et agriculteurs, le deuxième se rapporte à l’assurance multirisque climatique, et le troisième porte sur le soutien financier des agriculteurs».
Interrogé sur les mesures à adopter pour assurer une véritable déclinaison régionale des dispositions de ce programme exceptionnel, M. Bousraref a souligné que les travaux ont déjà démarré, à travers une Commission régionale et provinciale, et par le biais d’une mise en place d’un procédé de gouvernance et de suivi rigoureux.
La finalité, a-t-il expliqué, est que cette opération puisse se dérouler dans de bonnes conditions, de manière à atteindre les vrais bénéficiaires, éleveurs et agriculteurs. Au sujet des solutions alternatives déjà en cours pour atténuer l’impact des effets climatiques, il a tenu à rappeler que la région Marrakech-Safi est une zone à vocation agricole par excellence, avec un potentiel important en termes de production agricole, et une superficie agricole utile (SAU) de 2 millions ha.
La région compte 250.000 ha irrigués, dont 150.000 en grande hydraulique, outre l’adoption auparavant, d’une kyrielle de mesures dans le cadre du Plan Maroc Vert, en vue d’une meilleure adaptation aux changements climatiques, a-t-il poursuivi, rappelant que parmi ces mesures phares du Plan Maroc Vert, qui sont poursuivies dans le cadre du programme «Génération Green», figure l’économie de l’eau à tous les niveaux. «Nous avons un programme ambitieux qui a été réalisé et qui se poursuit dans le cadre de Génération Green, celui de reconversion des systèmes d’irrigation traditionnels en système de goutte à goutte. Nous sommes à 120.000 ha de superficie convertis en goutte à goutte, ce qui permettra une économie importante d’eau allant de 30% à 35%, par rapport aux systèmes d’irrigation conventionnels», s’est-il félicité.
Et M. Bousraref de poursuivre qu’au niveau régional, il y a également l’orientation des cultures au niveau des zones Bour vers des cultures adaptées à la sécheresse comme l’olivier, l’amandier, le caroubier, le cactus... etc. «Nous travaillons sur les deux, au niveau des zones Bour en termes du choix des cultures adaptées aux conditions climatiques de la région et au niveau des zones irriguées en matière d’économie d’eau, à travers le système du goutte à goutte mais aussi, grâce à la maintenance et à la réhabilitation des réseaux d’irrigation de la grande hydraulique pour minimaliser les pertes’’, a-t-il expliqué.