L'intérêt accordé à la promotion de la culture et des arts, leur valorisation, leur préservation et leur transmission aux générations montantes ne date pas d'aujourd'hui et n'est plus à démontrer. La preuve en est : le nom de la région se trouve intrinsèquement lié à une histoire rayonnante et à une richesse culturelle et artistique inégalable, à même de faire la fierté de tout le Royaume.
En effet, la région puise son originalité culturelle dans l'existence sur cette partie du territoire national de villes et provinces à forte portée historique et civilisationnelle, à l'instar de la Cité ocre, d'Essaouira, de Safi, ou encore Al Haouz, pour ne citer que quelques-unes parmi les plus emblématiques, avec à leur actif des sites historiques, un legs architectural, culturel et artistique si singulier, outre des traditions ancestrales. Des atouts dont la jonction fait que la culture et le patrimoine forment, désormais, l'ADN de toute cette région.
L'un des exemples éloquents demeure la ville d'Essaouira qui, au-delà d'être un havre de paix, d'ouverture et de coexistence entre civilisations et religions, a misé très tôt sur la culture et les arts en tant que "réacteur" du développement local escompté, en plaçant l'animation culturelle et artistique au cœur des priorités, et en se dotant, à l'initiative de l'Association Essaouira-Mogador, d'une série de festivals parmi les plus prestigieux à travers le monde actuellement, en l'occurrence "le Festival Gnaoua et Musiques du Monde", "Les Andalousies Atlantiques", "Jazz sous l'Arganier" entre autres.
A Marrakech, la même voie est empruntée depuis des années déjà, permettant à la Cité ocre de se doter d'une série de festivals, à l'image du Festival International du Film de Marrakech (FIFM), le Festival National des Arts Populaires, "Marrakech du Rire" et la liste est longue, et ce, sans compter le nombre de rencontres artistiques et littéraires, d'expositions, de Salons...
Toutefois, si la crise pandémique a eu pour effet de marquer du sceau de "la rupture" la scène culturelle et artistique poussant le public à rester à l'écart de cette passion pour les arts et la culture malgré les multiples alternatives offertes par les nouvelles technologies de la communication, un essor culturel et artistique soutenu s'est fait sentir au niveau de la région notamment durant cette période post- Covid-19.
C'est dans ce sens que le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, en coordination avec les autorités locales et les autres intervenants concernés par la question culturelle, n'ont pas lésiné sur les moyens pour un véritable décollage culturel et artistique de la région d'abord, en capitalisant sur les acquis et ensuite, en procédant à l'organisation, selon une programmation profondément réfléchie, d'une série de festivals, de rencontres culturelles et artistiques à l'échelle régionale.
Il convient de rappeler que la ville de Marrakech a abrité du 1er au 5 juillet dernier la 51è édition du Festival National des Arts Populaires (FNAP), outre la ville d' Imintanout qui a vibré du 26 au 29 août dernier aux rythmes de la 12è édition du Festival national de l'art, de la créativité et du patrimoine, suivi de la ville de Chichaoua qui a abrité du 1er au 4 septembre dernier, la 14è édition de son Festival, ou encore la ville de Safi qui a été au rendez-vous du 9 au 11 septembre avec la 21è édition du Festival national de l'Art d'El Aita.
Dans le sillage de cette effervescence culturelle, la ville d'El Kelaâ des Sraghna a eu le privilège aussi d'accueillir du 30 septembre au 02 octobre courant la première édition de son festival régional des arts populaires locaux, outre la ville d'Essaouira qui abrite du 17 au 23 courant la première édition du Salon provincial du livre et de l'édition.
En effet, la région puise son originalité culturelle dans l'existence sur cette partie du territoire national de villes et provinces à forte portée historique et civilisationnelle, à l'instar de la Cité ocre, d'Essaouira, de Safi, ou encore Al Haouz, pour ne citer que quelques-unes parmi les plus emblématiques, avec à leur actif des sites historiques, un legs architectural, culturel et artistique si singulier, outre des traditions ancestrales. Des atouts dont la jonction fait que la culture et le patrimoine forment, désormais, l'ADN de toute cette région.
L'un des exemples éloquents demeure la ville d'Essaouira qui, au-delà d'être un havre de paix, d'ouverture et de coexistence entre civilisations et religions, a misé très tôt sur la culture et les arts en tant que "réacteur" du développement local escompté, en plaçant l'animation culturelle et artistique au cœur des priorités, et en se dotant, à l'initiative de l'Association Essaouira-Mogador, d'une série de festivals parmi les plus prestigieux à travers le monde actuellement, en l'occurrence "le Festival Gnaoua et Musiques du Monde", "Les Andalousies Atlantiques", "Jazz sous l'Arganier" entre autres.
A Marrakech, la même voie est empruntée depuis des années déjà, permettant à la Cité ocre de se doter d'une série de festivals, à l'image du Festival International du Film de Marrakech (FIFM), le Festival National des Arts Populaires, "Marrakech du Rire" et la liste est longue, et ce, sans compter le nombre de rencontres artistiques et littéraires, d'expositions, de Salons...
Toutefois, si la crise pandémique a eu pour effet de marquer du sceau de "la rupture" la scène culturelle et artistique poussant le public à rester à l'écart de cette passion pour les arts et la culture malgré les multiples alternatives offertes par les nouvelles technologies de la communication, un essor culturel et artistique soutenu s'est fait sentir au niveau de la région notamment durant cette période post- Covid-19.
C'est dans ce sens que le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, en coordination avec les autorités locales et les autres intervenants concernés par la question culturelle, n'ont pas lésiné sur les moyens pour un véritable décollage culturel et artistique de la région d'abord, en capitalisant sur les acquis et ensuite, en procédant à l'organisation, selon une programmation profondément réfléchie, d'une série de festivals, de rencontres culturelles et artistiques à l'échelle régionale.
Il convient de rappeler que la ville de Marrakech a abrité du 1er au 5 juillet dernier la 51è édition du Festival National des Arts Populaires (FNAP), outre la ville d' Imintanout qui a vibré du 26 au 29 août dernier aux rythmes de la 12è édition du Festival national de l'art, de la créativité et du patrimoine, suivi de la ville de Chichaoua qui a abrité du 1er au 4 septembre dernier, la 14è édition de son Festival, ou encore la ville de Safi qui a été au rendez-vous du 9 au 11 septembre avec la 21è édition du Festival national de l'Art d'El Aita.
Dans le sillage de cette effervescence culturelle, la ville d'El Kelaâ des Sraghna a eu le privilège aussi d'accueillir du 30 septembre au 02 octobre courant la première édition de son festival régional des arts populaires locaux, outre la ville d'Essaouira qui abrite du 17 au 23 courant la première édition du Salon provincial du livre et de l'édition.