Anticiper tous les points de blocages susceptibles d’entraver l’accélération de la réhabilitation de la zone industrielle de Sidi Ghalem, quartier Ménara, tel fut l’objet de la réunion tenue récemment entre la mairie de Marrakech, l’association des entrepreneurs du quartier industriel de Sidi Ghalem, le CRI et la direction régionale de l’environnement.
La rencontre a également permis de dresser un diagnostic sérieux et responsable de la situation de la zone industrielle concernant la qualité et le nombre d’activités industrielles qui s’y sont développées. Ainsi, suivant les recommandations de l’étude réalisée précédemment par le ministère de l’Industrie et du Commerce, il a été convenu d’une solution juridique en l’absence de documents de remise définitive pour ce quartier, à travers l’élaboration et la cristallisation d’un document entre la société Al Omrane et le Conseil de la ville de Marrakech.
Outre la réhabilitation des infrastructures de la zone industrielle, plusieurs priorités ont été identifiées, à savoir la réfection et le renforcement des routes, la réglementation de la circulation, le soutien aux réseaux d’eau, d’électricité et de téléphone, ainsi que la création d’un centre de gestion industrielle.
La nécessité d’assurer un appui à l’installation et à l’utilisation de l’énergie solaire et des énergies propres pour réduire le coût de consommation des entreprises a également été soulevée. Afin de mettre en oeuvre l’ensemble des mesures identifiées, dans les meilleures conditions, toutes les parties prenantes ont confirmé, selon le maire de Marrakech, l’importance de la signature d’un accord commun.
La rencontre a également permis de dresser un diagnostic sérieux et responsable de la situation de la zone industrielle concernant la qualité et le nombre d’activités industrielles qui s’y sont développées. Ainsi, suivant les recommandations de l’étude réalisée précédemment par le ministère de l’Industrie et du Commerce, il a été convenu d’une solution juridique en l’absence de documents de remise définitive pour ce quartier, à travers l’élaboration et la cristallisation d’un document entre la société Al Omrane et le Conseil de la ville de Marrakech.
Outre la réhabilitation des infrastructures de la zone industrielle, plusieurs priorités ont été identifiées, à savoir la réfection et le renforcement des routes, la réglementation de la circulation, le soutien aux réseaux d’eau, d’électricité et de téléphone, ainsi que la création d’un centre de gestion industrielle.
La nécessité d’assurer un appui à l’installation et à l’utilisation de l’énergie solaire et des énergies propres pour réduire le coût de consommation des entreprises a également été soulevée. Afin de mettre en oeuvre l’ensemble des mesures identifiées, dans les meilleures conditions, toutes les parties prenantes ont confirmé, selon le maire de Marrakech, l’importance de la signature d’un accord commun.
Mohamed LOKHNATI