Dans le cadre du développement de la médecine dentaire, un partenariat tripartite associant les universités Mohammed V de Rabat et Hassan II de Casablanca et l’Ordre National des Médecins Dentistes du Maroc (ONMD) a été signé, mardi 17 février.
Ainsi, une convention-cadre a été signée sous la présidence du ministre de l’Éducation nationale, Saaid Amzazi, accompagné du ministre délégué chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Driss Ouaouicha, entre l’Université Mohammed V de Rabat représentée par son président Mohammed Rhachi, la Faculté de médecine dentaire de Rabat en présence de son doyen, Nawal Bouyahyaoui et l’ONMD représenté par son président Mohammed Hjira.
Il a été également procédé à la signature d’une convention similaire entre l’Université Hassan II de Casablanca représentée par sa présidente Aawatif Hayar, la Faculté de médecine dentaire de Casablanca en présence de son doyen Chouaib Rifki, et l’ONMD représenté par son président, peut-on lire dans un communiqué du département de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, soulignant que les deux accords ont pour vocation de fixer les conditions ainsi que les modes de coopération pour développer la médecine dentaire au Maroc.
« Cinq axes principaux »
Ces conventions portent sur cinq axes principaux, à savoir les formations et stages, la recherche scientifique, la lutte contre l’exercice illégal, le développement du sens de la responsabilité sociétale ainsi que la gouvernance et la communication. En outre, deux conventions spécifiques ont été signées pour promouvoir leur coopération dans le domaine de la formation des étudiants des deux Facultés de médecine dentaire, et ce, conformément au cahier des normes pédagogiques nationales du diplôme de médecine dentaire, à travers l’offre des stages actifs d’initiation et d’immersion professionnelle. Rappelons que le développement de la médecine dentaire est un élément important non seulement parce qu’il s’agit d’une composante importante du système de santé national, mais, également parce qu’il contribue à l’amélioration d’autres secteurs comme le tourisme, et plus précisément le tourisme médical. En effet, le traitement dentaire est l’un des domaines les plus sollicités dans les actes médicaux et il draine de plus en plus de patients touristes au Maroc.
D’ailleurs, l’Institut marocain d’intelligence stratégique (IMIS) a recommandé dans une récente étude, la création d’un office de tourisme médical, dans le but de renforcer à la fois la formation des ressources humaines et l’infrastructure médicale.
Ainsi, une convention-cadre a été signée sous la présidence du ministre de l’Éducation nationale, Saaid Amzazi, accompagné du ministre délégué chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Driss Ouaouicha, entre l’Université Mohammed V de Rabat représentée par son président Mohammed Rhachi, la Faculté de médecine dentaire de Rabat en présence de son doyen, Nawal Bouyahyaoui et l’ONMD représenté par son président Mohammed Hjira.
Il a été également procédé à la signature d’une convention similaire entre l’Université Hassan II de Casablanca représentée par sa présidente Aawatif Hayar, la Faculté de médecine dentaire de Casablanca en présence de son doyen Chouaib Rifki, et l’ONMD représenté par son président, peut-on lire dans un communiqué du département de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, soulignant que les deux accords ont pour vocation de fixer les conditions ainsi que les modes de coopération pour développer la médecine dentaire au Maroc.
« Cinq axes principaux »
Ces conventions portent sur cinq axes principaux, à savoir les formations et stages, la recherche scientifique, la lutte contre l’exercice illégal, le développement du sens de la responsabilité sociétale ainsi que la gouvernance et la communication. En outre, deux conventions spécifiques ont été signées pour promouvoir leur coopération dans le domaine de la formation des étudiants des deux Facultés de médecine dentaire, et ce, conformément au cahier des normes pédagogiques nationales du diplôme de médecine dentaire, à travers l’offre des stages actifs d’initiation et d’immersion professionnelle. Rappelons que le développement de la médecine dentaire est un élément important non seulement parce qu’il s’agit d’une composante importante du système de santé national, mais, également parce qu’il contribue à l’amélioration d’autres secteurs comme le tourisme, et plus précisément le tourisme médical. En effet, le traitement dentaire est l’un des domaines les plus sollicités dans les actes médicaux et il draine de plus en plus de patients touristes au Maroc.
D’ailleurs, l’Institut marocain d’intelligence stratégique (IMIS) a recommandé dans une récente étude, la création d’un office de tourisme médical, dans le but de renforcer à la fois la formation des ressources humaines et l’infrastructure médicale.
S. M.
Impact de la pandémie sur la profession
La pandémie de Covid-19 a eu des conséquences socioéconomiques très graves sur le secteur de médecine dentaire, en témoigne une étude réalisée par la Fédération nationale des syndicats des médecins dentistes du secteur privé du Maroc. Menée à l’aide de deux professeurs universitaires spécialistes de l’économie et des statistiques, l’étude a concerné un échantillon de 1612 médecins dentistes du secteur privé répartis sur tout le territoire national. Elle a ainsi démontré que 99,57% des cabinets ont été impactés négativement par cette crise sanitaire et que 89% des professionnels sont incapables de supporter les pertes dues à la fermeture de leur cabinet pendant la période de confinement. Réalité qui ne les concerne pas uniquement, cependant, ce corps de métier en a particulièrement pâti eu égard à la phobie du virus mortel qui a marqué de grands pans de la société.