Pour Julien Dray, politicien et membre du bureau national du Parti Socialiste, invité dans une émission sur la chaîne française C-NEWS, le Maroc mérite plus de considération et de respect. « Je suis un peu étonné que dans le monde médiatique français actuel, ce qui est arrivé aux élections au Maroc, n’a pas été pris en considération. » déclare le député français. Se prononçant sur les élections du 8 septembre, Dray a félicité le Maroc de l’organisation exceptionnelle qui a mené à une défaite historique du PJD. « A la tête du gouvernement marocain depuis 2011, le parti islamiste a subi une lourde défaite lors des élections législatives, passant de 125 sièges dans l’assemblée sortante à 12 » affirme-t-il. Dray a noté également que le taux de participation a sensiblement augmenté entre les deux élections législatives, passant de 43 % en 2016 à 50,35% en 2021, d’après le ministre de l’Intérieur. « On a tort de ne pas aider ces pays, de ne pas les mettre en avant » déplore le politicien.
Maroc-Algérie : « deux poids deux mesures »
Gilles-William Goldnadel, Avocat, a pointé quant à lui un traitement médiatique « « deux poids deux mesures » quand ça concerne le Maroc et l’Algérie. « Curieusement, dans les médias conformes français on ne traite pas le Maroc comme l’Algérie. » se demande-t-il.
« L’Algérie est une république, le Maroc une monarchie pourtant le Maroc est plus démocratique. On parle du conflit sur le Sahara marocain mais il n y’a pas moyen de parler des Kabyles. L’Algérie s’est reconstruit sur le ressentiment contre la France, le Maroc regarde l’avenir. Ça ne plait pas aux médias conforme, je le dis honnêtement. » soupir Goldnadel.
Maroc-Algérie : « deux poids deux mesures »
Gilles-William Goldnadel, Avocat, a pointé quant à lui un traitement médiatique « « deux poids deux mesures » quand ça concerne le Maroc et l’Algérie. « Curieusement, dans les médias conformes français on ne traite pas le Maroc comme l’Algérie. » se demande-t-il.
« L’Algérie est une république, le Maroc une monarchie pourtant le Maroc est plus démocratique. On parle du conflit sur le Sahara marocain mais il n y’a pas moyen de parler des Kabyles. L’Algérie s’est reconstruit sur le ressentiment contre la France, le Maroc regarde l’avenir. Ça ne plait pas aux médias conforme, je le dis honnêtement. » soupir Goldnadel.