Selon un rapport du journal espagnol « La Vanguarida », en mars 2020, lorsque la COVID-19 a commencé à se répandre, les chiffres étaient de 590 mineurs non accompagnés à cause de certains changements appliqués au point d’accès de Tarajal.
Les données fournies par Europa Press indiquent qu'à l'heure actuelle, 75 adolescents marocains seulement sont hébergés dans le centre de relogement temporaire de « La Esperanza » et pris en charge par l'administration locale.
Les médias locaux ont rapporté qu'au cours des deux premiers mois de cette année, seuls 35 mineurs étrangers non accompagnés ont été orientés vers les bureaux du service de protection de l'enfance de l'administration locale.
La diminution significative des entrées irrégulières de personnes de moins de 18 ans est principalement attribuée aux conditions météorologiques actuelles qui rendent les voyages par voie maritime plus compliquée, mais aussi aux nouveaux changements appliqués à la frontière de Tarajal.
Le nombre de personnes mineures enregistrées dans la ville occupée dépasse encore la capacité maximale d'assistance qui avait été assignée l'été dernier à Sebta, par la Commission sectorielle de l'enfance et de l'adolescence. À l'époque, il avait été convenu de quantifier le nombre de places disponibles dans des conditions ordinaires à 88, quitte à opérer une augmentation maximale pour les situations d'urgence à 133, soit 50 % de plus.
Les données fournies par Europa Press indiquent qu'à l'heure actuelle, 75 adolescents marocains seulement sont hébergés dans le centre de relogement temporaire de « La Esperanza » et pris en charge par l'administration locale.
Les médias locaux ont rapporté qu'au cours des deux premiers mois de cette année, seuls 35 mineurs étrangers non accompagnés ont été orientés vers les bureaux du service de protection de l'enfance de l'administration locale.
La diminution significative des entrées irrégulières de personnes de moins de 18 ans est principalement attribuée aux conditions météorologiques actuelles qui rendent les voyages par voie maritime plus compliquée, mais aussi aux nouveaux changements appliqués à la frontière de Tarajal.
Le nombre de personnes mineures enregistrées dans la ville occupée dépasse encore la capacité maximale d'assistance qui avait été assignée l'été dernier à Sebta, par la Commission sectorielle de l'enfance et de l'adolescence. À l'époque, il avait été convenu de quantifier le nombre de places disponibles dans des conditions ordinaires à 88, quitte à opérer une augmentation maximale pour les situations d'urgence à 133, soit 50 % de plus.