Le nombre d'entrées irrégulières dans l'Union européenne a augmenté de 82% entre janvier et mai (86.420) comparé à la même période de l'année dernière. En mai, le nombre d'entrées a augmenté de 75% (23.500), selon un communiqué de Frontex.
L'agence a précisé que les réfugiés ukrainiens entrant dans l'UE par des passages frontaliers n'étaient pas pris en compte dans ces calculs. Selon Frontex, 5,5 millions de citoyens ukrainiens sont entrés dans l'UE depuis l'Ukraine et la Moldavie depuis le début de l'invasion russe en février.
Plus de 40.000 entrées irrégulières, soit trois fois plus que lors de la même période de l'année dernière, ont été enregistrées via la route des Balkans qui a été empruntée principalement par des migrants syriens et afghans.
La route de Méditerranée centrale a été empruntée par plus de 16.000 migrants, principalement d'origine égyptienne, bangladeshi et tunisienne. Le nombre de passage irréguliers en Méditerranée orientale s'est élevé à plus de 13.000, en hausse de 116% par rapport à l'année dernière.
A Chypre, elles ont augmenté de 213% et ont représenté deux passages illégaux sur trois sur cet itinéraire. La plupart des migrants étaient originaires du Nigeria, de Syrie et du Congo.
À la frontière orientale de l'UE, les principales nationalités présentes sur cette route étaient des ressortissants ukrainiens, irakiens et bélarusses. Les passages des deux côtés de la Manche ont augmenté de 122% par rapport à 2021, selon Frontex.
L'agence a précisé que les réfugiés ukrainiens entrant dans l'UE par des passages frontaliers n'étaient pas pris en compte dans ces calculs. Selon Frontex, 5,5 millions de citoyens ukrainiens sont entrés dans l'UE depuis l'Ukraine et la Moldavie depuis le début de l'invasion russe en février.
Plus de 40.000 entrées irrégulières, soit trois fois plus que lors de la même période de l'année dernière, ont été enregistrées via la route des Balkans qui a été empruntée principalement par des migrants syriens et afghans.
La route de Méditerranée centrale a été empruntée par plus de 16.000 migrants, principalement d'origine égyptienne, bangladeshi et tunisienne. Le nombre de passage irréguliers en Méditerranée orientale s'est élevé à plus de 13.000, en hausse de 116% par rapport à l'année dernière.
A Chypre, elles ont augmenté de 213% et ont représenté deux passages illégaux sur trois sur cet itinéraire. La plupart des migrants étaient originaires du Nigeria, de Syrie et du Congo.
À la frontière orientale de l'UE, les principales nationalités présentes sur cette route étaient des ressortissants ukrainiens, irakiens et bélarusses. Les passages des deux côtés de la Manche ont augmenté de 122% par rapport à 2021, selon Frontex.