« Les bonnes pratiques du Maroc en matière migratoire, initiées conformément à la vision humaniste de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, s’inscrivent dans une logique concrète et mesurable », a souligné M. Hilale qui coprésidait une table-ronde tenue dans le cadre du 1er Forum d’examen de la mise en oeuvre du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, adopté à Marrakech en 2018.
Lors de cette réunion consacrée aux objectifs 1, 3, 7, 17 et 23 du Pacte de Marrakech co-présidée avec le Chef du service national des migrations de la République d'Azerbaïdjan Vusal Huseynov, M. Hilale a affirmé que dans cette optique et conformément au 1er objectif du Pacte, le Maroc porte un discours de vérité, sur la base de connaissances, de données, de preuves et de meilleures pratiques pertinentes. Il a également relevé que dans le droit fil du 3ème objectif du Pacte, la « pertinence de notre action ne peut s’acquérir sans un échange serein d’informations fiables ».
« Le Maroc se refuse de sacrifier le nexus-développement migration au profit d’une approche strictement sécuritaire », a-t-il fait remarquer, ajoutant que le Maroc, fidèle à la réalisation de l’objectif 7, adresse les vulnérabilités des migrants, à la fois pour préserver leur intégrité physique, mentale et sociale. “S’attaquer aux facteurs de vulnérabilités liés aux migrations c’est réduire l’exclusion et la discrimination », a-t-il insisté.
L’ambassadeur marocain a, par ailleurs, indiqué que « la forme n’étant que l’expression du fond, un discours équilibré et positif constitue le corollaire des réalisations concrètes sur le terrain », tout en soulignant la détermination de combattre toute instrumentalisation de la question migratoire à des fins politiques, racistes, xénophobes, ou discriminatoire.
Pour se conformer à l’objectif 17, les outils du Maroc sont à la fois d’ordre juridique, politique et économique, a-t-il encore relevé, précisant que l’ensemble de ces actions ne prennent sens que dans un effort de dissémination.
Évoquant l’objectif 23 du Pacte de Marrakech qui consacre une assimilation à tous les niveaux, à la fois national, continental et international, M. Hilale a indiqué que le Maroc, conscient de la dimension structurelle et globale des migrations, a fait de son intégration dans son approche résolument multilatérale, une priorité stratégique. « Ces différentes actions ne sont en aucun cas exhaustives. Elles servent à partager de bonnes pratiques, duplicables et disséminables, dans un esprit de coopération et de partage », a-t-il expliqué.
Un défi collectif à relever
Il a, de même, insisté sur la nécessité d'un engagement collectif pour intégrer des pratiques ambitieuses, conformes au Pacte mondial, dans les politiques de migration. À cet égard, il est essentiel d’accélérer les efforts, à tous les niveaux, afin de renforcer la diffusion d’informations fiables, d'élargir l'accès des migrants aux services, poursuivre l’élimination des discours emprunts de racisme systémique et enfin accroître notre coopération, a enchaîné le diplomate marocain.
L’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU a, en outre, indiqué que la présente table-ronde constitue un « aggiornamento nécessaire » au renforcement des mécanismes, plateformes et cadres déjà en place.
« Nous sommes confrontés à l’injonction de réussir. L’utilisation insuffisante de données empiriques, combinée à des récits migratoires fallacieux, discriminatoires et xénophobes contribuent à des politiques et à des pratiques qui rendent les migrations dangereuses, désordonnées et irrégulières », a-t-il déploré, mettant l’accent sur la responsabilité collective de mettre la migration dans ses proportions réelles et de faire son récit de manière objective et non fantasmée.
Lors de cette réunion consacrée aux objectifs 1, 3, 7, 17 et 23 du Pacte de Marrakech co-présidée avec le Chef du service national des migrations de la République d'Azerbaïdjan Vusal Huseynov, M. Hilale a affirmé que dans cette optique et conformément au 1er objectif du Pacte, le Maroc porte un discours de vérité, sur la base de connaissances, de données, de preuves et de meilleures pratiques pertinentes. Il a également relevé que dans le droit fil du 3ème objectif du Pacte, la « pertinence de notre action ne peut s’acquérir sans un échange serein d’informations fiables ».
« Le Maroc se refuse de sacrifier le nexus-développement migration au profit d’une approche strictement sécuritaire », a-t-il fait remarquer, ajoutant que le Maroc, fidèle à la réalisation de l’objectif 7, adresse les vulnérabilités des migrants, à la fois pour préserver leur intégrité physique, mentale et sociale. “S’attaquer aux facteurs de vulnérabilités liés aux migrations c’est réduire l’exclusion et la discrimination », a-t-il insisté.
L’ambassadeur marocain a, par ailleurs, indiqué que « la forme n’étant que l’expression du fond, un discours équilibré et positif constitue le corollaire des réalisations concrètes sur le terrain », tout en soulignant la détermination de combattre toute instrumentalisation de la question migratoire à des fins politiques, racistes, xénophobes, ou discriminatoire.
Pour se conformer à l’objectif 17, les outils du Maroc sont à la fois d’ordre juridique, politique et économique, a-t-il encore relevé, précisant que l’ensemble de ces actions ne prennent sens que dans un effort de dissémination.
Évoquant l’objectif 23 du Pacte de Marrakech qui consacre une assimilation à tous les niveaux, à la fois national, continental et international, M. Hilale a indiqué que le Maroc, conscient de la dimension structurelle et globale des migrations, a fait de son intégration dans son approche résolument multilatérale, une priorité stratégique. « Ces différentes actions ne sont en aucun cas exhaustives. Elles servent à partager de bonnes pratiques, duplicables et disséminables, dans un esprit de coopération et de partage », a-t-il expliqué.
Un défi collectif à relever
Il a, de même, insisté sur la nécessité d'un engagement collectif pour intégrer des pratiques ambitieuses, conformes au Pacte mondial, dans les politiques de migration. À cet égard, il est essentiel d’accélérer les efforts, à tous les niveaux, afin de renforcer la diffusion d’informations fiables, d'élargir l'accès des migrants aux services, poursuivre l’élimination des discours emprunts de racisme systémique et enfin accroître notre coopération, a enchaîné le diplomate marocain.
L’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU a, en outre, indiqué que la présente table-ronde constitue un « aggiornamento nécessaire » au renforcement des mécanismes, plateformes et cadres déjà en place.
« Nous sommes confrontés à l’injonction de réussir. L’utilisation insuffisante de données empiriques, combinée à des récits migratoires fallacieux, discriminatoires et xénophobes contribuent à des politiques et à des pratiques qui rendent les migrations dangereuses, désordonnées et irrégulières », a-t-il déploré, mettant l’accent sur la responsabilité collective de mettre la migration dans ses proportions réelles et de faire son récit de manière objective et non fantasmée.