En réponse aux questions orales à la Chambre des représentants, le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l'Innovation, Abdellatif Miraoui, a rappelé que ce nouveau système a été adopté en phase expérimentale pendant l’année universitaire 2021-2022 avant sa suppression. Toutefois, une généralisation, dans le futur, de ce nouveau système est envisageable, selon les dires du ministre.
A cette occasion, Miraoui n’a pas manqué de rappeler que le Conseil supérieur de l'éducation, de la formation et de la recherche scientifique a mis en cause la pertinence du système Bachelor en formulant un ensemble d’observations et de recommandations, allant jusqu’à mettre en cause sa pertinence et sa finalité.
Compte tenu de ces observations et de l’absence de textes législatifs encadrant le Bachelor, il a été décidé d’opter pour la suppression de ce système en arguant qu’il manque de fondement légal et que son application s’est faite sans se baser sur le cahier des normes pédagogiques et sans l’adoption du projet de décret le régissant, a-t-il relevé.
A cette occasion, Miraoui n’a pas manqué de rappeler que le Conseil supérieur de l'éducation, de la formation et de la recherche scientifique a mis en cause la pertinence du système Bachelor en formulant un ensemble d’observations et de recommandations, allant jusqu’à mettre en cause sa pertinence et sa finalité.
Compte tenu de ces observations et de l’absence de textes législatifs encadrant le Bachelor, il a été décidé d’opter pour la suppression de ce système en arguant qu’il manque de fondement légal et que son application s’est faite sans se baser sur le cahier des normes pédagogiques et sans l’adoption du projet de décret le régissant, a-t-il relevé.