Un match quelconque, un match sans saveur, un match sans football, un match monotone. Ni l’IRT, ni la RSB n’étaient au niveau.
Sans fournir le moindre effort, les deux équipes cherchaient seulement les trois points pour se qualifier à la participation africaine ou à la relégation.
D’ailleurs, à six rencontres de la fin du championnat, la différence entre les clubs de la Botola I professionnelle est minime.
Entre les locaux et les visiteurs, la forme aussi bien physique que technique n’était pas la même.
Les premiers étaient au repos forcé et ne jouaient pas, les seconds étaient en pleine compétition surtout aux éliminatoires de la Coupe de la Confédération.
Voici comment l’IRT et la RSB se sont affrontés.
A ce sujet, Pedro Benali n’était pas content car les nombreux reports que ses joueurs connaissent leur font plus de mal que de bien.
« Pour garder la fraicheur, pour nous préparer, nous avons besoin de la continuité dans la compétition. D’ailleurs, les chocs amicaux ne résolvent rien », ne cessait-il de dire.
Avant le coup d’envoi, il y avait le traditionnel « paseo » d’honneur des footballeurs de l’IRT à tout l’effectif de la RSB vainqueur mérité de la Coupe de la Confédération africaine.
A cette occasion, le capitaine Hamoudane a offert un bouquet de fleurs aux Berkanais qui étaient soutenus par un grand public ayant effectué un long déplacement. Un geste sportif très applaudi.
La rencontre était équilibrée sur tous les plans avec une toute légère domination des ex Nordistes Moussaoui du MAT, Moudden de l’IRT et de leurs coéquipiers 52% contre 48% avec deux seuls tirs au but dans les deux camps et avec quatre corners pour les locaux et un corner pour les visiteurs.
Très mauvaise évolution de la ligne médiane où la surprenante titularisation de Serroukh a fait beaucoup de mal à l’attaque qui était perdue en particulier Benali et Achir.
Hamoudane, tout seul, ne pouvait rien faire. D’un côté comme de l’autre, il n’y avait aucune ambition et les rares occasions de but créées expliquaient bien ce qui se passait sur le terrain.
Pauvres les supporters de la RSB qui ont parcouru 1000 km pour assister à un spectacle peu digne du championnat de la première division d’élite du football marocain.
Pourtant, on attendait beaucoup des nouveaux champions africains qui, malheureusement, étaient fatigués du dernier voyage du Nigeria.
On avait l’impression que les deux équipes jouaient entre « famille » ou entre « amis » évitant le moindre risque d’encaisser un but.
Les défenses étaient intraitables en particulier dans les balles aériennes.
Aux toutes dernières minutes, Akhrif, Achir ou Benali avaient la possibilité de marquer au moins un but mais la précipitation et la maladresse étaient vraiment de leur côté.
Le score 0-0 est un nul équitable et logique entre des formations qui n’ont pas cherché le chemin des filets. L’unique point obtenu a satisfait tout le monde.
Dans l’ensemble, le jeu n’était pas dur et le fair-play sportif a caractérisé toute la partie. Une seule mauvaise action de Camara aurait dû couter le carton rouge au lieu du jaune à la suite de la blessure grave du capitaine de l’IRT Hamoudane évacué sur une civière dans une ambulance en direction de l’hôpital.
A vrai dire, l’IRT a déçu son nombreux public avec un entraineur sans défaite sur le banc de touche (5 points sur 9 !) mais avec un effectif plein de lacunes.
Sans fournir le moindre effort, les deux équipes cherchaient seulement les trois points pour se qualifier à la participation africaine ou à la relégation.
D’ailleurs, à six rencontres de la fin du championnat, la différence entre les clubs de la Botola I professionnelle est minime.
Entre les locaux et les visiteurs, la forme aussi bien physique que technique n’était pas la même.
Les premiers étaient au repos forcé et ne jouaient pas, les seconds étaient en pleine compétition surtout aux éliminatoires de la Coupe de la Confédération.
Voici comment l’IRT et la RSB se sont affrontés.
A ce sujet, Pedro Benali n’était pas content car les nombreux reports que ses joueurs connaissent leur font plus de mal que de bien.
« Pour garder la fraicheur, pour nous préparer, nous avons besoin de la continuité dans la compétition. D’ailleurs, les chocs amicaux ne résolvent rien », ne cessait-il de dire.
Avant le coup d’envoi, il y avait le traditionnel « paseo » d’honneur des footballeurs de l’IRT à tout l’effectif de la RSB vainqueur mérité de la Coupe de la Confédération africaine.
A cette occasion, le capitaine Hamoudane a offert un bouquet de fleurs aux Berkanais qui étaient soutenus par un grand public ayant effectué un long déplacement. Un geste sportif très applaudi.
La rencontre était équilibrée sur tous les plans avec une toute légère domination des ex Nordistes Moussaoui du MAT, Moudden de l’IRT et de leurs coéquipiers 52% contre 48% avec deux seuls tirs au but dans les deux camps et avec quatre corners pour les locaux et un corner pour les visiteurs.
Très mauvaise évolution de la ligne médiane où la surprenante titularisation de Serroukh a fait beaucoup de mal à l’attaque qui était perdue en particulier Benali et Achir.
Hamoudane, tout seul, ne pouvait rien faire. D’un côté comme de l’autre, il n’y avait aucune ambition et les rares occasions de but créées expliquaient bien ce qui se passait sur le terrain.
Pauvres les supporters de la RSB qui ont parcouru 1000 km pour assister à un spectacle peu digne du championnat de la première division d’élite du football marocain.
Pourtant, on attendait beaucoup des nouveaux champions africains qui, malheureusement, étaient fatigués du dernier voyage du Nigeria.
On avait l’impression que les deux équipes jouaient entre « famille » ou entre « amis » évitant le moindre risque d’encaisser un but.
Les défenses étaient intraitables en particulier dans les balles aériennes.
Aux toutes dernières minutes, Akhrif, Achir ou Benali avaient la possibilité de marquer au moins un but mais la précipitation et la maladresse étaient vraiment de leur côté.
Le score 0-0 est un nul équitable et logique entre des formations qui n’ont pas cherché le chemin des filets. L’unique point obtenu a satisfait tout le monde.
Dans l’ensemble, le jeu n’était pas dur et le fair-play sportif a caractérisé toute la partie. Une seule mauvaise action de Camara aurait dû couter le carton rouge au lieu du jaune à la suite de la blessure grave du capitaine de l’IRT Hamoudane évacué sur une civière dans une ambulance en direction de l’hôpital.
A vrai dire, l’IRT a déçu son nombreux public avec un entraineur sans défaite sur le banc de touche (5 points sur 9 !) mais avec un effectif plein de lacunes.