Prévue pour mars, Artemis 1 marquera le vol inaugural d’une fusée de nouvelle génération de la NASA : le Space Launch System, ou SLS, un engin que Boeing développe depuis dix ans. Le SLS lancera une capsule d’équipage Orion autour de la Lune pour un vol de plusieurs semaines, c’est la première fois que les deux véhicules iront ensemble dans l’espace. Il s’agit d’un lancement d’essai critique, ce qui explique pourquoi aucune personne ne volera à l’intérieur d’Orion, à l’exception d’un mannequin.
Cependant, le faux passager aura quelques compagnons (non humain) de voyage. Le SLS est conçu pour lancer des personnes et des cargaisons dans l’espace lointain, les passagers voyageant sur le toit du véhicule dans une nouvelle capsule d’équipage appelée Orion, développée par Lockheed Martin.
Tout cela fait partie d’une collaboration entre Amazon, Cisco et Lockheed Martin, qui a construit la capsule Orion pour le géant spatial américain. Il y a environ trois ans Lockheed a approché les deux autres entreprises dans l’idée de développer un assistant virtuel, ont déclaré les entreprises. Ces dernières paieront le coût total de l’inclusion de l’assistant virtuel dans la mission lunaire.
À un moment donné au cours de la mission, des astronautes et scientifiques restés au sol testeront le boîtier, comme s’ils interagissaient avec le haut-parleur et l’écran à bord d’Orion. Lockheed Martin, Amazon et Cisco veulent voir si une telle interface serait bénéfique pour les futurs voyages dans le cosmos. Le système, baptisé Callisto en référence à un compagnon de la déesse Artemis dans la mythologie grecque, vise à faciliter le travail des astronautes.
Par exemple, ils pourraient utiliser Alexa pour régler l’éclairage de la cabine tout en effectuant d’autres tâches, ou, de manière générale, rendre plus agréables les longs et pénibles voyages dans l’espace en étant en mesure de se connecter avec leurs proches sur Terre.
« Nous envisageons un avenir dans lequel les astronautes pourraient se tourner vers une intelligence artificielle embarquée, pour obtenir des informations, de l’aide et finalement de la compagnie », a déclaré Aaron Rubenson, vice-président du programme Alexa d’Amazon. Jusqu’à présent, la NASA n’a approuvé l’utilisation de Callisto que sur Artemis 1 et non pour les futures missions Artemis avec équipage.
La mission permettra aussi à Amazon un placement de produit stratégique. Depuis plus de dix ans, la NASA a fait de l’utilisation commerciale de l’espace l’un de ses principaux objectifs.
Cependant, le faux passager aura quelques compagnons (non humain) de voyage. Le SLS est conçu pour lancer des personnes et des cargaisons dans l’espace lointain, les passagers voyageant sur le toit du véhicule dans une nouvelle capsule d’équipage appelée Orion, développée par Lockheed Martin.
Tout cela fait partie d’une collaboration entre Amazon, Cisco et Lockheed Martin, qui a construit la capsule Orion pour le géant spatial américain. Il y a environ trois ans Lockheed a approché les deux autres entreprises dans l’idée de développer un assistant virtuel, ont déclaré les entreprises. Ces dernières paieront le coût total de l’inclusion de l’assistant virtuel dans la mission lunaire.
À un moment donné au cours de la mission, des astronautes et scientifiques restés au sol testeront le boîtier, comme s’ils interagissaient avec le haut-parleur et l’écran à bord d’Orion. Lockheed Martin, Amazon et Cisco veulent voir si une telle interface serait bénéfique pour les futurs voyages dans le cosmos. Le système, baptisé Callisto en référence à un compagnon de la déesse Artemis dans la mythologie grecque, vise à faciliter le travail des astronautes.
Par exemple, ils pourraient utiliser Alexa pour régler l’éclairage de la cabine tout en effectuant d’autres tâches, ou, de manière générale, rendre plus agréables les longs et pénibles voyages dans l’espace en étant en mesure de se connecter avec leurs proches sur Terre.
« Nous envisageons un avenir dans lequel les astronautes pourraient se tourner vers une intelligence artificielle embarquée, pour obtenir des informations, de l’aide et finalement de la compagnie », a déclaré Aaron Rubenson, vice-président du programme Alexa d’Amazon. Jusqu’à présent, la NASA n’a approuvé l’utilisation de Callisto que sur Artemis 1 et non pour les futures missions Artemis avec équipage.
La mission permettra aussi à Amazon un placement de produit stratégique. Depuis plus de dix ans, la NASA a fait de l’utilisation commerciale de l’espace l’un de ses principaux objectifs.
M. BENKIRANE