Le Grand stade de Tanger, bondé à l’occasion de l’ouverture du Mondialito qui met en compétition les sept clubs de football auréolés de titres continentaux, a vécu une soirée mémorable au gré d’une prestation cérémoniale d’ouverture haute en couleurs et en valeurs.
De fait, la cérémonie d’ouverture a donné au public, et aussi aux téléspectateurs friands de pareils rendez-vous, le loisir d’apprécier la richesse du patrimoine culturel et historique marocain, dont la mise en bouche a été agrémentée par un clin d’œil judicieux au grand explorateur tanjaoui, Ibn Batouta. Suivirent alors des fresques chorégraphiques marocaines d’un style très relevé, déclinant un art consommé de la mise en scène et donnant la mesure de la grande richesse et de l’authenticité ancestrale des arts folkloriques nationaux : de la Taktouka Jabalia à la Dakka Marrakchia, en passant par les chants et rythmes Gnaoui, Gharbaoui, Reggada ou encore des Houara et des Abidat R’Ma. Un vrai régal pour l’assistance, aux premiers rangs de laquelle les délégations participantes et le gotha des observateurs et journalistes ayant afflué de par le monde pour ce rendez-vous footballistique. L’occasion a été idoine pour le Royaume de faire la démonstration de ses grandes capacités organisationnelles, dont il a d’ailleurs déjà fait les preuves dans de précédents rassemblements.
N’en déplaise aux grincheux, ceux qui n’ont d’yeux et de langue que pour le dénigrement et la minoration des hauts faits d’autrui - à défaut de pouvoir les faire complètement passer sous silence comme cela s’est passé pour les exploits retentissants de nos «Lions de l’Atlas» en Coupe du Monde du Qatar-, le spectacle féérique de mercredi soir à Tanger a été on ne peut plus resplendissant, de quoi exacerber encore plus la hargne des envieux.
En effet, c’est en droite ligne de ses traditions d’hospitalité légendaire, alliées à la minutie et à la prévenance dans le réglage des moindres détails des péripéties de cette fête footballistique, que la ville de Tanger, portail du Maroc sur le monde, a ouvert ses bras à ses visiteurs, fans de football, qui déjà n’en reviennent pas au vu de la qualité de l’accueil, ce qui n’est guère étonnant de la part d’un pays pétri de traditions, d’ouverture, de diversité et de multiculturalisme, tant il a brassé et assimilé dans l’harmonie, durant son Histoire millénaire, divers apports civilisationnels, qui sont aujourd’hui la marque de son identité plurielle : arabe, amazighe et islamique.
De fait, la cérémonie d’ouverture a donné au public, et aussi aux téléspectateurs friands de pareils rendez-vous, le loisir d’apprécier la richesse du patrimoine culturel et historique marocain, dont la mise en bouche a été agrémentée par un clin d’œil judicieux au grand explorateur tanjaoui, Ibn Batouta. Suivirent alors des fresques chorégraphiques marocaines d’un style très relevé, déclinant un art consommé de la mise en scène et donnant la mesure de la grande richesse et de l’authenticité ancestrale des arts folkloriques nationaux : de la Taktouka Jabalia à la Dakka Marrakchia, en passant par les chants et rythmes Gnaoui, Gharbaoui, Reggada ou encore des Houara et des Abidat R’Ma. Un vrai régal pour l’assistance, aux premiers rangs de laquelle les délégations participantes et le gotha des observateurs et journalistes ayant afflué de par le monde pour ce rendez-vous footballistique. L’occasion a été idoine pour le Royaume de faire la démonstration de ses grandes capacités organisationnelles, dont il a d’ailleurs déjà fait les preuves dans de précédents rassemblements.
N’en déplaise aux grincheux, ceux qui n’ont d’yeux et de langue que pour le dénigrement et la minoration des hauts faits d’autrui - à défaut de pouvoir les faire complètement passer sous silence comme cela s’est passé pour les exploits retentissants de nos «Lions de l’Atlas» en Coupe du Monde du Qatar-, le spectacle féérique de mercredi soir à Tanger a été on ne peut plus resplendissant, de quoi exacerber encore plus la hargne des envieux.
En effet, c’est en droite ligne de ses traditions d’hospitalité légendaire, alliées à la minutie et à la prévenance dans le réglage des moindres détails des péripéties de cette fête footballistique, que la ville de Tanger, portail du Maroc sur le monde, a ouvert ses bras à ses visiteurs, fans de football, qui déjà n’en reviennent pas au vu de la qualité de l’accueil, ce qui n’est guère étonnant de la part d’un pays pétri de traditions, d’ouverture, de diversité et de multiculturalisme, tant il a brassé et assimilé dans l’harmonie, durant son Histoire millénaire, divers apports civilisationnels, qui sont aujourd’hui la marque de son identité plurielle : arabe, amazighe et islamique.