Pas la peine de chercher qui se cache derrière le projet « MoulZeri3a.com ». « Nous sommes complètement anonymes (rires). Les gens cherchent à résoudre ce mystère. Ça nous plaît », c’est ainsi que l’un des fondateurs du projet de friandises se présente. En tout cas, ce qui est sûr, c’est qu’il y a trois partenaires, issus d’une même famille, à avoir lancé la plateforme « MoulZeri3a.com ».
L’idée est née durant la période de confinement, où les services de livraison ont explosé. « Avant tout, c’est parti de la volonté de faire de l’entrepreneuriat. Nous (les trois fondateurs du projet, ndlr) nous retrouvons le soir pour essayer d’avoir la bonne idée de projet », raconte notre interlocuteur.
Jusqu’au jour où ils se sont retrouvés autour d’un café, alors qu’ils cherchaient quelque chose à grignoter. « On se demandait s’il y avait un certain “Moul Zeri3a” (vendeur de pépites et de fruits secs, ndlr) à côté. Nous en avons, mais la qualité des produits laisse à désirer. On devait se déplacer pour en trouver. De là, on s’est dit que ça pourrait être une idée de business à créer », nous confie-t-il.
Depuis le début de leur aventure entrepreneuriale, les trois fondateurs ont un défi simple de faire de « Moul Zeri3a » la marque référence des encas, tout en gardant les mêmes caractéristiques du vendeur traditionnel des pépites et des fruits secs.
« Au-delà de digitaliser un service qui est existant et traditionnel, on voulait préserver l’identité de Moul zeri3a et le plaisir qu’il nous procure à travers les senteurs et les goûts. Moul Zeri3a a une connotation culturelle tellement forte et reconnaissable par tous les Marocains que c’est une opportunité de marque », précise notre interlocuteur.
Contrairement à des plateformes similaires, les fondateurs ont gardé le même jargon de « Moul Zeri3a ». Les fruits secs sont appelés par leurs noms en Darija et les commandes sont faites en dirhams et non en grammes.
Le service se fait exclusivement en ligne, avec deux points de distribution, l’un à Casablanca et l’autre à Rabat. C’est là où les commandes sont préparées, les stocks sont gérés, la cuisson des produits est faite quotidiennement à la manière de « Moul Zeri3a ». La gamme a su trouver son public.
Pendant Achoura, les ventes ont explosé. « Jusqu’à présent, la période de Achoura est la meilleure en termes de ventes. C’est une période où il y a une consommation très forte. C’est aussi la période où les gens ont tenté de commander chez nous », nous relate-t-il.
La start-up est aujourd’hui dans une phase de développement. Elle vise à moyen terme à s’étendre sur l’ensemble du territoire, voire à l’international, pour faire profiter les gens du vrai goût des pépites et des fruits secs et pérenniser un métier traditionnel.
L’idée est née durant la période de confinement, où les services de livraison ont explosé. « Avant tout, c’est parti de la volonté de faire de l’entrepreneuriat. Nous (les trois fondateurs du projet, ndlr) nous retrouvons le soir pour essayer d’avoir la bonne idée de projet », raconte notre interlocuteur.
Jusqu’au jour où ils se sont retrouvés autour d’un café, alors qu’ils cherchaient quelque chose à grignoter. « On se demandait s’il y avait un certain “Moul Zeri3a” (vendeur de pépites et de fruits secs, ndlr) à côté. Nous en avons, mais la qualité des produits laisse à désirer. On devait se déplacer pour en trouver. De là, on s’est dit que ça pourrait être une idée de business à créer », nous confie-t-il.
Depuis le début de leur aventure entrepreneuriale, les trois fondateurs ont un défi simple de faire de « Moul Zeri3a » la marque référence des encas, tout en gardant les mêmes caractéristiques du vendeur traditionnel des pépites et des fruits secs.
« Au-delà de digitaliser un service qui est existant et traditionnel, on voulait préserver l’identité de Moul zeri3a et le plaisir qu’il nous procure à travers les senteurs et les goûts. Moul Zeri3a a une connotation culturelle tellement forte et reconnaissable par tous les Marocains que c’est une opportunité de marque », précise notre interlocuteur.
Contrairement à des plateformes similaires, les fondateurs ont gardé le même jargon de « Moul Zeri3a ». Les fruits secs sont appelés par leurs noms en Darija et les commandes sont faites en dirhams et non en grammes.
Le service se fait exclusivement en ligne, avec deux points de distribution, l’un à Casablanca et l’autre à Rabat. C’est là où les commandes sont préparées, les stocks sont gérés, la cuisson des produits est faite quotidiennement à la manière de « Moul Zeri3a ». La gamme a su trouver son public.
Pendant Achoura, les ventes ont explosé. « Jusqu’à présent, la période de Achoura est la meilleure en termes de ventes. C’est une période où il y a une consommation très forte. C’est aussi la période où les gens ont tenté de commander chez nous », nous relate-t-il.
La start-up est aujourd’hui dans une phase de développement. Elle vise à moyen terme à s’étendre sur l’ensemble du territoire, voire à l’international, pour faire profiter les gens du vrai goût des pépites et des fruits secs et pérenniser un métier traditionnel.
Safaa KSAANI