Après la flambée des cours des produits de première nécessité sur les marchés internationaux, le passage vers une nouvelle loi des finances rectificative s’est imposé dans le débat public. Les gens en parlent d’autant plus fréquemment que le conflit en Ukraine laisse présager une hausse supplémentaire des prix du gaz, du pétrole et du blé vu que Kiev et Moscou en sont de grands exportateurs.
La hausse de la facture du gaz est irréversible, a reconnu le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, lors de la conférence hebdomadaire, suivant les travaux du Conseil du gouvernement. Toutefois, le ministre a indiqué, que l’Exécutif n’envisage pas, pour le moment, de recourir à une loi de finance rectificative. “ Le gouvernement ne juge pas nécessaire de rectifier le budget vu qu’il dispose des marges de manœuvre pour faire face à la flambée des matières premières à l’international”, a-t-il argué, rappelant que la conjoncture actuelle n’est nullement comparable à celle du début de la pandémie où le gouvernement précédent a dû faire voter une un loi rectificative. “ Si le gouvernement précédent l’a fait, c’est parce qu'il y avait une chute vertigineuse des recettes fiscales à niveau critique” a expliqué Mustapha Baitas, assurant que l’Exécutif n’a aucune intention de fait une telle extrémité.
La loi des finances 2022 se base sur l’hypothèse de 67 dollars pour le cours du pétrole, ce dernier s’est envolé à plus de 100 dollars. Idem pour le prix du gaz qui a augmenté de 30% sur le marché mondial après le conflit armé en Ukraine. Le gouvernement, rappelons-le, a prévu une moyenne de ‘‘571$/tonne’’ pour le prix du gaz butane.
En effet, le gouvernement compte renforcer le budget de la compensation pour amortir le choc de l’inflation. l’Exécutif compte subventionner davantage des prix du gaz, du blé et du sucre pour que le pouvoir d’achat des gens demeure intact. Cette volonté a été réitérée et les trois partis de la coalition gouvernementale se sont réunis, mardi, au siège du RNI.
Par ailleurs, à l’approche du ramadan, l’inquiétude domine les esprits qui redoutent une forte hausse des prix vu que la demande augmente sur les produits alimentaires dans le mois sacré. Interrogé sur ce point, le ministre a souligné que le plan d’urgence de 10 milliards de dirhams sera déployé pour venir en aide aux agriculteurs afin d’assurer l'approvisionnement du marché. De sorte que les prix des produits restent à l'équilibre.
La hausse de la facture du gaz est irréversible, a reconnu le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, lors de la conférence hebdomadaire, suivant les travaux du Conseil du gouvernement. Toutefois, le ministre a indiqué, que l’Exécutif n’envisage pas, pour le moment, de recourir à une loi de finance rectificative. “ Le gouvernement ne juge pas nécessaire de rectifier le budget vu qu’il dispose des marges de manœuvre pour faire face à la flambée des matières premières à l’international”, a-t-il argué, rappelant que la conjoncture actuelle n’est nullement comparable à celle du début de la pandémie où le gouvernement précédent a dû faire voter une un loi rectificative. “ Si le gouvernement précédent l’a fait, c’est parce qu'il y avait une chute vertigineuse des recettes fiscales à niveau critique” a expliqué Mustapha Baitas, assurant que l’Exécutif n’a aucune intention de fait une telle extrémité.
La loi des finances 2022 se base sur l’hypothèse de 67 dollars pour le cours du pétrole, ce dernier s’est envolé à plus de 100 dollars. Idem pour le prix du gaz qui a augmenté de 30% sur le marché mondial après le conflit armé en Ukraine. Le gouvernement, rappelons-le, a prévu une moyenne de ‘‘571$/tonne’’ pour le prix du gaz butane.
En effet, le gouvernement compte renforcer le budget de la compensation pour amortir le choc de l’inflation. l’Exécutif compte subventionner davantage des prix du gaz, du blé et du sucre pour que le pouvoir d’achat des gens demeure intact. Cette volonté a été réitérée et les trois partis de la coalition gouvernementale se sont réunis, mardi, au siège du RNI.
Par ailleurs, à l’approche du ramadan, l’inquiétude domine les esprits qui redoutent une forte hausse des prix vu que la demande augmente sur les produits alimentaires dans le mois sacré. Interrogé sur ce point, le ministre a souligné que le plan d’urgence de 10 milliards de dirhams sera déployé pour venir en aide aux agriculteurs afin d’assurer l'approvisionnement du marché. De sorte que les prix des produits restent à l'équilibre.