Lors de sa participation au Symposium de l’eau, organisé mercredi à Casablanca, le ministre de l'Equipement et de l'Eau, Nizar Baraka a indiqué que l’efficacité et la sécurité hydriques constituent une problématique sérieuse ce qui nécessite la mise en place d'une stratégie à long terme.
S’exprimant sur le caractère urgent de la problématique liée à la pénurie d’eau, Nizar Baraka a rappelé l’engagement du ministère de tutelle vis-à-vis de la préservation et la gestion de cette ressource vitale. « Nous agissons à plusieurs niveaux en vue de faire face au stress hydrique, de protéger les ressources en eau et de protéger les citoyens de la soif et des inondations, à travers le lancement de 129 petits et moyens barrages, outre 16 grands barrages en cours de construction d'une capacité de 24 milliards de m3 », a-t-il fait savoir.
Dans le même sens, le ministre a également relevé que la région de Casablanca-Settat est fortement touchée par le stress hydrique, notant que « nous allons démarrer très prochainement le projet d'envergure qui s'inscrit dans le programme 2020-2027 qui consiste en le dessalement de 300 millions m3 d'eau, outre le transfert de l'eau du barrage de garde au niveau du bassin de Sebou vers le bassin de Bouregreg au niveau du barrage de Sidi Mohamed Ben Abdellah ».
D’autres mesures sont en cours, selon le ministre de tutelle, dont notamment le dessalement de l’eau à Safi et El Jadida et ce afin de réduire la demande pour le barrage d’Al Massira répondra aux besoins de la ville de Casablanca et de Marrakech.
Pour rappel, le Symposium de l'eau à Casablanca a été organisé à l'initiative de Finances News Hebdo, en partenariat avec le ministère de l'Equipement et de l'Eau et le ministère de l'Industrie et du Commerce. En plus du ministre de l'Equipement et de l'Eau, l'événement a connu la participation du ministre de l'Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, et le président de la Région de Casablanca-Settat, Abdellatif Maâzouz, outre des acteurs de l'écosystème.
Lors de cet événement, les différents intervenants ont mis l'accent sur la nécessité d'un fort engagement vis-à-vis de la préservation et la gestion de cette ressource vitale, à travers le rassemblement des industries polluantes dans des zones industrielles particulières en vue d'éviter le déversement dans les nappes phréatiques.
S’exprimant sur le caractère urgent de la problématique liée à la pénurie d’eau, Nizar Baraka a rappelé l’engagement du ministère de tutelle vis-à-vis de la préservation et la gestion de cette ressource vitale. « Nous agissons à plusieurs niveaux en vue de faire face au stress hydrique, de protéger les ressources en eau et de protéger les citoyens de la soif et des inondations, à travers le lancement de 129 petits et moyens barrages, outre 16 grands barrages en cours de construction d'une capacité de 24 milliards de m3 », a-t-il fait savoir.
Dans le même sens, le ministre a également relevé que la région de Casablanca-Settat est fortement touchée par le stress hydrique, notant que « nous allons démarrer très prochainement le projet d'envergure qui s'inscrit dans le programme 2020-2027 qui consiste en le dessalement de 300 millions m3 d'eau, outre le transfert de l'eau du barrage de garde au niveau du bassin de Sebou vers le bassin de Bouregreg au niveau du barrage de Sidi Mohamed Ben Abdellah ».
D’autres mesures sont en cours, selon le ministre de tutelle, dont notamment le dessalement de l’eau à Safi et El Jadida et ce afin de réduire la demande pour le barrage d’Al Massira répondra aux besoins de la ville de Casablanca et de Marrakech.
Pour rappel, le Symposium de l'eau à Casablanca a été organisé à l'initiative de Finances News Hebdo, en partenariat avec le ministère de l'Equipement et de l'Eau et le ministère de l'Industrie et du Commerce. En plus du ministre de l'Equipement et de l'Eau, l'événement a connu la participation du ministre de l'Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, et le président de la Région de Casablanca-Settat, Abdellatif Maâzouz, outre des acteurs de l'écosystème.
Lors de cet événement, les différents intervenants ont mis l'accent sur la nécessité d'un fort engagement vis-à-vis de la préservation et la gestion de cette ressource vitale, à travers le rassemblement des industries polluantes dans des zones industrielles particulières en vue d'éviter le déversement dans les nappes phréatiques.
