De gauche à droite / Debout : Rochdi-Borrego-Mustafa-Gomez-Rojas-Chaouani. Accroupis : Mokamel-Abslimo-Emerito-Uceda-Albiach.
Une grande équipe, une famille, une amitié, un amour de la ville, une passion du football, il y avait un peu de tout dans ce club Association Sportive de la Police de Tanger ASPT parrainé et subventionné par la Sûreté Nationale.
S’il avait continué à exister, il aurait suivi l’exemple des Forces Armées Royales (ASFARà) au championnat professionnel marocain de la Botola Pro I.
Les deux formations étaient bien dirigées par des officiers supérieurs.
L’ASPT faisait la gloire et la joie des Tangérois avec un stade du Marshane qui affichait régulièrement l’étiquette « complet » dans les nombreux guichets.
C’était une fusion Alcazaba-Atlas. Au comité , il y avait des dirigeants compétents Kandjah, Chebakouda, Serghini, Abdessadak, Cheddad, et, bien sûr, l’inoubliable Hassan Sefrioui, l’homme miracle du football de Tanger.
En effet, ce jeune commissaire qui était à la fois président et joueur, avait une seule idée dans la tête : obtenir le billet d’accès chez les grands de la Nationale I pour permettre aux footballeurs nordistes de la ville du détroit d’affronter les meilleurs le WAC, le Raja, le RAC, le KAC,l e MAS, les FAR, le Chabab Mohammedia…
Chose dite, chose faite : l’ASPT écrasait tous ses adversaires pour occuper la première place durant toute la saison 1960-61.
Conformément avec la direction centrale de la Sûreté Nationale, la prime de montée était un emploi de policier pour tous les joueurs.
L’effectif recruté était l’un des riches du championnat de deuxième division avec la photo ci-dessus avec six espagnols (aucune limite du nombre d’étrangers).
Dans les bois, Rochdi rivalisait avec les Labied du MAS, Comas du RAC, Dey du MCO, Ben Omar du MAT, Allal des FAR, Amar du KAC les meilleurs portiers du football marocain.
L’arrière droit était Mustafa et l’arrière gauche Chaouani. L’arrière central Rojas constituait un « mur infranchissable ».
La ligne médiane était occupée par Gomez le spécialiste des tirs des pénalties et Borrego.
L’attaque point fort de l’équipe était constituait par deux ailiers Emerito et Mokamel, deux inter Abslimo et Albiach autour d’un avant centre « goleador » Uceda.
Un système de 3-2-5 dirigé par le maestro entraîneur Allal. Le dernier match de cette formation qui n’avait dans ses rangs que des Tangérois était le choc contre le FUS, champion du groupe sud au stade du Marshane.
Les Nordistes et les Sudistes qui étaient promus pour la première division se disputaient le titre de la seconde division.
Une victoire de 4-2 revenait aux Tangérois qui étaient tristes d’avoir perdu pour la prochaine saison le gardien de but Abdellah Lehlimi fracture du tibia péroné à la suite d’un choc contre le R’bati Moulay Abdallah.
Ce jour-là, l’ASPT changea de nom pour devenir l’UST (Union Sportive de Tanger).
S’il avait continué à exister, il aurait suivi l’exemple des Forces Armées Royales (ASFARà) au championnat professionnel marocain de la Botola Pro I.
Les deux formations étaient bien dirigées par des officiers supérieurs.
L’ASPT faisait la gloire et la joie des Tangérois avec un stade du Marshane qui affichait régulièrement l’étiquette « complet » dans les nombreux guichets.
C’était une fusion Alcazaba-Atlas. Au comité , il y avait des dirigeants compétents Kandjah, Chebakouda, Serghini, Abdessadak, Cheddad, et, bien sûr, l’inoubliable Hassan Sefrioui, l’homme miracle du football de Tanger.
En effet, ce jeune commissaire qui était à la fois président et joueur, avait une seule idée dans la tête : obtenir le billet d’accès chez les grands de la Nationale I pour permettre aux footballeurs nordistes de la ville du détroit d’affronter les meilleurs le WAC, le Raja, le RAC, le KAC,l e MAS, les FAR, le Chabab Mohammedia…
Chose dite, chose faite : l’ASPT écrasait tous ses adversaires pour occuper la première place durant toute la saison 1960-61.
Conformément avec la direction centrale de la Sûreté Nationale, la prime de montée était un emploi de policier pour tous les joueurs.
L’effectif recruté était l’un des riches du championnat de deuxième division avec la photo ci-dessus avec six espagnols (aucune limite du nombre d’étrangers).
Dans les bois, Rochdi rivalisait avec les Labied du MAS, Comas du RAC, Dey du MCO, Ben Omar du MAT, Allal des FAR, Amar du KAC les meilleurs portiers du football marocain.
L’arrière droit était Mustafa et l’arrière gauche Chaouani. L’arrière central Rojas constituait un « mur infranchissable ».
La ligne médiane était occupée par Gomez le spécialiste des tirs des pénalties et Borrego.
L’attaque point fort de l’équipe était constituait par deux ailiers Emerito et Mokamel, deux inter Abslimo et Albiach autour d’un avant centre « goleador » Uceda.
Un système de 3-2-5 dirigé par le maestro entraîneur Allal. Le dernier match de cette formation qui n’avait dans ses rangs que des Tangérois était le choc contre le FUS, champion du groupe sud au stade du Marshane.
Les Nordistes et les Sudistes qui étaient promus pour la première division se disputaient le titre de la seconde division.
Une victoire de 4-2 revenait aux Tangérois qui étaient tristes d’avoir perdu pour la prochaine saison le gardien de but Abdellah Lehlimi fracture du tibia péroné à la suite d’un choc contre le R’bati Moulay Abdallah.
Ce jour-là, l’ASPT changea de nom pour devenir l’UST (Union Sportive de Tanger).