Ladite réunion permettra à l’organisation de mieux comprendre la chronologie des études qui sont en cours et pour déterminer si ce variant, baptisé B.1.1.529, doit être qualifié de « variant d’intérêt » ou de « variant préoccupant », rapporte The Guardian.
A ce sujet, la responsable technique de l’OMS pour le Covid-19, Maria Van Kerkhov, citée par la même source, a déclaré lors d’un point de presse, jeudi, que « nous ne savons pas encore grand-chose à ce sujet ».
« Ce que nous savons, c’est que ce variant a un grand nombre de mutations, et le souci est que lorsque vous avez autant de mutations, cela peut avoir un impact sur le comportement du virus », a-t-elle ajouté, soulignant que les chercheurs se réuniraient pour « comprendre où se trouvent ces mutations et ce que cela peut potentiellement signifier en termes de risque de transmission ».
De son côté, le porte-parole de l’OMS, Christian Lindmeier, a expliqué qu’il faudra « plusieurs semaines » pour comprendre le niveau de transmissibilité et de virulence du nouveau variant.
« Les premières analyses montrent que ce variant présente un grand nombre de mutations qui nécessitent et feront l'objet d'une étude plus approfondie » a-t-il affirmé.
« Il nous faudra quelques semaines pour comprendre l'impact de ce variant. Les chercheurs travaillent pour mieux comprendre les mutations et ce qu'elles pourraient signifier en termes de transmissibilité ou de virulence du variant, et quelles pourraient être les effets sur les outils de diagnostics, les traitements et les vaccins », a-t-fait savoir.
Il a indiqué, par ailleurs, que « l'OMS recommande aux pays de continuer à appliquer une approche scientifique et fondée sur les risques lors de la mise en oeuvre des mesures relatives aux voyages, conformément aux recommandations temporaires du Comité d'urgence ».
« A ce stade, encore une fois, la mise en oeuvre de mesures de restrictions aux voyages est déconseillée », a-t-il souligné.
A rappeler que pour faciliter les débats publics sur les variants, l'OMS nomme les variants à l'aide du nom des lettres de l'alphabet grec (alpha, bêta, gamma, delta...), plus accessible à un public non scientifique et qui permet d'éviter de stigmatiser le pays où ce variant est initialement découvert.
A ce sujet, la responsable technique de l’OMS pour le Covid-19, Maria Van Kerkhov, citée par la même source, a déclaré lors d’un point de presse, jeudi, que « nous ne savons pas encore grand-chose à ce sujet ».
« Ce que nous savons, c’est que ce variant a un grand nombre de mutations, et le souci est que lorsque vous avez autant de mutations, cela peut avoir un impact sur le comportement du virus », a-t-elle ajouté, soulignant que les chercheurs se réuniraient pour « comprendre où se trouvent ces mutations et ce que cela peut potentiellement signifier en termes de risque de transmission ».
De son côté, le porte-parole de l’OMS, Christian Lindmeier, a expliqué qu’il faudra « plusieurs semaines » pour comprendre le niveau de transmissibilité et de virulence du nouveau variant.
« Les premières analyses montrent que ce variant présente un grand nombre de mutations qui nécessitent et feront l'objet d'une étude plus approfondie » a-t-il affirmé.
« Il nous faudra quelques semaines pour comprendre l'impact de ce variant. Les chercheurs travaillent pour mieux comprendre les mutations et ce qu'elles pourraient signifier en termes de transmissibilité ou de virulence du variant, et quelles pourraient être les effets sur les outils de diagnostics, les traitements et les vaccins », a-t-fait savoir.
Il a indiqué, par ailleurs, que « l'OMS recommande aux pays de continuer à appliquer une approche scientifique et fondée sur les risques lors de la mise en oeuvre des mesures relatives aux voyages, conformément aux recommandations temporaires du Comité d'urgence ».
« A ce stade, encore une fois, la mise en oeuvre de mesures de restrictions aux voyages est déconseillée », a-t-il souligné.
A rappeler que pour faciliter les débats publics sur les variants, l'OMS nomme les variants à l'aide du nom des lettres de l'alphabet grec (alpha, bêta, gamma, delta...), plus accessible à un public non scientifique et qui permet d'éviter de stigmatiser le pays où ce variant est initialement découvert.