Les États-Unis ont exprimé leur prudence face aux déclarations optimistes de l'Iran et de la Russie concernant les pourparlers de Vienne visant à sauver l'accord sur le nucléaire iranien de 2015, après la reprise des pourparlers indirects lundi.
Le département d'Etat a annoncé qu'il était encore trop tôt pour dire si Téhéran avait repris les négociations avec une approche constructive. Le porte-parole, Ned Price, a déclaré que Washington n'avait pas encore remarqué un sentiment d'urgence suffisant de la part de Téhéran, ajoutant que les USA souhaitait que les parties aux pourparlers cherchent à progresser positivement dans les pourparlers et de manière constructive et constante.
Plus tôt mardi, l'Iran et la Russie ont exprimé leur optimisme quant aux pourparlers, bien que les pays occidentaux évoquent une lenteur dans l’avancement des négociations.
Le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian a déclaré qu'un accord était possible si les autres parties faisaient preuve de "bonne foi", tandis que l'émissaire russe Mikhaïl Oulianov a indiqué qu'un groupe de travail faisait "des progrès incontestables" dans le huitième cycle de pourparlers.
"Les pourparlers de Vienne vont dans la bonne direction... Nous pensons que si les autres parties poursuivent le cycle de pourparlers, qui vient de commencer, de bonne foi, il est possible de parvenir à un bon accord pour toutes les parties", a ajouté Abdullahian, dans des déclarations aux journalistes diffusées par les médias iraniens.
Lors d'une conférence téléphonique, Price a déclaré que des progrès avaient été réalisés lors du dernier cycle de pourparlers, mais qu'il était trop tôt pour savoir si, dans le cycle actuel, Téhéran était revenu à la table pour s'appuyer sur ces gains.
Le département d'Etat a annoncé qu'il était encore trop tôt pour dire si Téhéran avait repris les négociations avec une approche constructive. Le porte-parole, Ned Price, a déclaré que Washington n'avait pas encore remarqué un sentiment d'urgence suffisant de la part de Téhéran, ajoutant que les USA souhaitait que les parties aux pourparlers cherchent à progresser positivement dans les pourparlers et de manière constructive et constante.
Plus tôt mardi, l'Iran et la Russie ont exprimé leur optimisme quant aux pourparlers, bien que les pays occidentaux évoquent une lenteur dans l’avancement des négociations.
Le ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian a déclaré qu'un accord était possible si les autres parties faisaient preuve de "bonne foi", tandis que l'émissaire russe Mikhaïl Oulianov a indiqué qu'un groupe de travail faisait "des progrès incontestables" dans le huitième cycle de pourparlers.
"Les pourparlers de Vienne vont dans la bonne direction... Nous pensons que si les autres parties poursuivent le cycle de pourparlers, qui vient de commencer, de bonne foi, il est possible de parvenir à un bon accord pour toutes les parties", a ajouté Abdullahian, dans des déclarations aux journalistes diffusées par les médias iraniens.
Lors d'une conférence téléphonique, Price a déclaré que des progrès avaient été réalisés lors du dernier cycle de pourparlers, mais qu'il était trop tôt pour savoir si, dans le cycle actuel, Téhéran était revenu à la table pour s'appuyer sur ces gains.
