Ainsi, après énièmes assemblées générales ordinaires ou extraordinaires, toutes avortées sur fond de violences verbales, propos diffamatoires, escarmouches poussées au stade de grossièretés et d’accusations abjectes, on décida enfin de l’organisation d’une assemblée générale ordinaire élective que tout le monde croyait être la décisive et donc la Der et qui se tint ce 27 août 2022 sous la supervision du nouvel élu à la tête de la Ligue Nationale de Football Professionnel M. Abdeslam Belkchour et des autorités locales.
Cette assemblée devait donc statuer sur l’élection d’un nouveau bureau du comité directeur qui devrait mette fin à toute cette situation de confusion et de suspicion qui n’a que trop sévi au sein de l’Olympique Club de Khouribga, un club qui fêterait bientôt son centenaire.
A travers toute l’Histoire du club phosphatier de football, jamais de telles voies de faits n’avaient été enregistrées au cours de ces énièmes assemblées générales.
Comment donc augurer un avenir meilleur à l’OCK devant de tels agissements. Or et devant cette situation de tension et de chaos qui sévissait au sein des rouages entre trois clans ou légalement parlant 3 listes candidates à l’élection d’un nouveau comité directeur, des réunions informelles eurent lieu dans le but d’asseoir des compromis, mais rien n’en fut.
On s’accorda donc à se fier aux instances de la FRMF pour trouver quelques options d’entente et tolérer ou refuser le droit de voter pour les nouveaux adhérents dont la grande majorité venait à peine de payer son droit d’adhésion. Les éléments de l’opposition récusent carrément que les nouveaux adhérents aient le droit de voter durant toutes ces assemblées en étayant leur refus à la base des textes des statuts et règlements de la FRMF.
Ainsi, après l’adoption des rapports moral et financier malgré tout ce qu’a sorti comme graves accusations de chèques et de détournements. Et l’on assista alors pendant plus de 8 heures de heurts, de controverses et d’échanges d’accusations qui dépassèrent souvent le seuil du tolérable sur fond du silence du président de la LNFP, silence qui n’ a pas manqué d’inquiéter l’assistance.
Le vice-président Abdelkrim Fassini ne céda pas et persista dans sa demande de retour à l’ordre et ne manqua pas de pousser son obstination à aller jusqu’au bout dont réussir à converger les positions à la base d’un consensus conformément aux lois en vigueur. Il en résulta encore une fois que l’assemblée générale vira vers l’impasse.
Croyant que, cette fois-là, on allait vraiment passer les commandes à un nouveau bureau, on constitua 3 listes de 15 membres adhérents dont celle de Knouzi, un homme d’affaires, Haj Sellak, un cadre OCP retraité et ancien dirigeant de l’OCK, et celle de Jajili, journaliste.
Or, cette assemblée que l’on voulait le terminus après toutes ces dernières mascarades, tomba aussi dans cette interrogation qui s’avéra désormais périlleuse : les nouveaux adhérents ont-ils le droit de voter ?
Aucun consensus ou compromis ne sortit à l’horizon et on aboutit enfin à un véritable blocus ou plus précisément à un arrêtoir inextricable : M. Belkchour fut indexé pour trancher à la base d’un texte régissant ce cas, le président de la LNFP évita de trancher et on se mit d’accord sur le report de cette assemblée élective pour la date du 11 septembre (une date de mauvais augure… !) pour deux options : soit sortir une liste consensuelle sinon se référer aux instances compétentes de la FRMF.
Devant toutes ces tergiversations jugées compromettantes pour l’avenir de l’OCK, les supporters appellent toutes les instances concernées à agir pour sauver le club phosphatier de ces dérapages qui risquent de coûter cher à son avenir…
Cette assemblée devait donc statuer sur l’élection d’un nouveau bureau du comité directeur qui devrait mette fin à toute cette situation de confusion et de suspicion qui n’a que trop sévi au sein de l’Olympique Club de Khouribga, un club qui fêterait bientôt son centenaire.
A travers toute l’Histoire du club phosphatier de football, jamais de telles voies de faits n’avaient été enregistrées au cours de ces énièmes assemblées générales.
Comment donc augurer un avenir meilleur à l’OCK devant de tels agissements. Or et devant cette situation de tension et de chaos qui sévissait au sein des rouages entre trois clans ou légalement parlant 3 listes candidates à l’élection d’un nouveau comité directeur, des réunions informelles eurent lieu dans le but d’asseoir des compromis, mais rien n’en fut.
On s’accorda donc à se fier aux instances de la FRMF pour trouver quelques options d’entente et tolérer ou refuser le droit de voter pour les nouveaux adhérents dont la grande majorité venait à peine de payer son droit d’adhésion. Les éléments de l’opposition récusent carrément que les nouveaux adhérents aient le droit de voter durant toutes ces assemblées en étayant leur refus à la base des textes des statuts et règlements de la FRMF.
Ainsi, après l’adoption des rapports moral et financier malgré tout ce qu’a sorti comme graves accusations de chèques et de détournements. Et l’on assista alors pendant plus de 8 heures de heurts, de controverses et d’échanges d’accusations qui dépassèrent souvent le seuil du tolérable sur fond du silence du président de la LNFP, silence qui n’ a pas manqué d’inquiéter l’assistance.
Le vice-président Abdelkrim Fassini ne céda pas et persista dans sa demande de retour à l’ordre et ne manqua pas de pousser son obstination à aller jusqu’au bout dont réussir à converger les positions à la base d’un consensus conformément aux lois en vigueur. Il en résulta encore une fois que l’assemblée générale vira vers l’impasse.
Croyant que, cette fois-là, on allait vraiment passer les commandes à un nouveau bureau, on constitua 3 listes de 15 membres adhérents dont celle de Knouzi, un homme d’affaires, Haj Sellak, un cadre OCP retraité et ancien dirigeant de l’OCK, et celle de Jajili, journaliste.
Or, cette assemblée que l’on voulait le terminus après toutes ces dernières mascarades, tomba aussi dans cette interrogation qui s’avéra désormais périlleuse : les nouveaux adhérents ont-ils le droit de voter ?
Aucun consensus ou compromis ne sortit à l’horizon et on aboutit enfin à un véritable blocus ou plus précisément à un arrêtoir inextricable : M. Belkchour fut indexé pour trancher à la base d’un texte régissant ce cas, le président de la LNFP évita de trancher et on se mit d’accord sur le report de cette assemblée élective pour la date du 11 septembre (une date de mauvais augure… !) pour deux options : soit sortir une liste consensuelle sinon se référer aux instances compétentes de la FRMF.
Devant toutes ces tergiversations jugées compromettantes pour l’avenir de l’OCK, les supporters appellent toutes les instances concernées à agir pour sauver le club phosphatier de ces dérapages qui risquent de coûter cher à son avenir…