Ce médicament est l'un des premiers traitements à avoir été utilisés pour lutter contre la maladie provoquée par le nouveau coronavirus.
Cependant, il s’est avéré que le Remdesivir n’a que «peu ou pas d’effet sur les patients hospitalisés pour la Covid-19, si l’on en croit les taux de mortalité, de début de la ventilation ou de durée de l’hospitalisation», a noté l’organisation onusienne dans une étude rendue public jeudi.
L’OMS, via cette étude intitulée «Solidarité», a évalué les effets de traitements potentiels dont le Remdesivir, l'Hydroxychloroquine, Lopinavir et l'Interferon, sur 11.266 patients adultes à travers plus de 30 pays. Cette dernière a commencé depuis début la mi-mars et s’est achevée début octobre.
Cette étude, qui doit encore être examinée par d’autres médecins avant son éventuelle publication dans une revue scientifique, semble contredire les deux dernières grandes études américaines qui ont montré que le Remdesivir pouvait réduire la durée d’hospitalisation.
A noter que Washington a autorisé le 1er mai dernier l'usage de ce médicament, fabriqué par la compagnie pharmaceutique américaine Gilead Sciences et prévu à l'origine comme traitement contre le virus Ebola. L'Union européenne et d'autres pays l'ont ensuite autorisé à leur tour.
Cependant, il s’est avéré que le Remdesivir n’a que «peu ou pas d’effet sur les patients hospitalisés pour la Covid-19, si l’on en croit les taux de mortalité, de début de la ventilation ou de durée de l’hospitalisation», a noté l’organisation onusienne dans une étude rendue public jeudi.
L’OMS, via cette étude intitulée «Solidarité», a évalué les effets de traitements potentiels dont le Remdesivir, l'Hydroxychloroquine, Lopinavir et l'Interferon, sur 11.266 patients adultes à travers plus de 30 pays. Cette dernière a commencé depuis début la mi-mars et s’est achevée début octobre.
Cette étude, qui doit encore être examinée par d’autres médecins avant son éventuelle publication dans une revue scientifique, semble contredire les deux dernières grandes études américaines qui ont montré que le Remdesivir pouvait réduire la durée d’hospitalisation.
A noter que Washington a autorisé le 1er mai dernier l'usage de ce médicament, fabriqué par la compagnie pharmaceutique américaine Gilead Sciences et prévu à l'origine comme traitement contre le virus Ebola. L'Union européenne et d'autres pays l'ont ensuite autorisé à leur tour.