Le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a averti, lundi, que les inégalités en matière d'accès à l'éducation et de qualité de l'enseignement dans le monde entier prennent de plus en plus d'ampleur.
Dans les pays les plus pauvres, près de 70% des enfants de 10 ans ne sont pas en mesure de lire des textes de base et, dans les pays développés, "les systèmes éducatifs contribuent souvent à creuser les inégalités plutôt qu'à les réduire, les perpétuant d'une génération à l'autre", a déclaré le Secrétaire général de l'ONU lors d'un sommet sur l'éducation au siège de l'Organisation à New York.
"Les riches ont accès aux meilleures ressources, écoles et universités, menant aux meilleurs emplois, tandis que les pauvres, en particulier les filles, se heurtent à de considérables difficultés lorsqu'il s'agit d'obtenir les qualifications qui pourraient changer leur vie", a-t-il déclaré.
Guterres a relevé notamment que "trop souvent, les programmes scolaires sont dépassés et limités, les systèmes éducatifs tiennent peu compte de la formation continue, et les enseignants sont insuffisamment formés, dévalorisés et sous-payés".
Selon Guterres, la crise ne trouvera pas de solution dans le maintien du statu quo, appelant à la réforme des systèmes éducatifs à travers le monde, et exhortant les dirigeants mondiaux réunis pour la 77e session de l'Assemblée générale des Nations Unies à tenir compte de cette mise en garde.
Dans les pays les plus pauvres, près de 70% des enfants de 10 ans ne sont pas en mesure de lire des textes de base et, dans les pays développés, "les systèmes éducatifs contribuent souvent à creuser les inégalités plutôt qu'à les réduire, les perpétuant d'une génération à l'autre", a déclaré le Secrétaire général de l'ONU lors d'un sommet sur l'éducation au siège de l'Organisation à New York.
"Les riches ont accès aux meilleures ressources, écoles et universités, menant aux meilleurs emplois, tandis que les pauvres, en particulier les filles, se heurtent à de considérables difficultés lorsqu'il s'agit d'obtenir les qualifications qui pourraient changer leur vie", a-t-il déclaré.
Guterres a relevé notamment que "trop souvent, les programmes scolaires sont dépassés et limités, les systèmes éducatifs tiennent peu compte de la formation continue, et les enseignants sont insuffisamment formés, dévalorisés et sous-payés".
Selon Guterres, la crise ne trouvera pas de solution dans le maintien du statu quo, appelant à la réforme des systèmes éducatifs à travers le monde, et exhortant les dirigeants mondiaux réunis pour la 77e session de l'Assemblée générale des Nations Unies à tenir compte de cette mise en garde.