Depuis près d'une semaine, les quartiers de Youssoufia, Yacoub El Mansour et Takadoum à Rabat sont confrontés à une odeur nauséabonde provenant de l'eau du robinet. Suite au scandale de la pollution du barrage Sidi Ben Abdallah par des eaux usées, provenant des prisons d'Arjat 1 et 2, ainsi que de la commune de Sidi Allal Bahraoui, les résidents sont inquiets pour leur santé. Ils ont préféré se tourner vers l'eau minérale pour éviter tout risque sanitaire potentiel.
Pour apaiser les tensions, l’Office a publié un communiqué soulignant que les contrôles de qualité effectués par ses services aux différents points de distribution ont confirmé que l'eau produite par l'Office est conforme aux normes de qualité en vigueur. Malgré les plaintes, l'ONEE assure ainsi que l'eau fournie à Rabat est sûre à la consommation.
L’ONEE affirme, par ailleurs, que la qualité de l'eau produite respecte les normes en vigueur et qu'elle est sans danger pour la santé. La gestion de la qualité de l'eau et le respect du cahier des charges marocain sont parmi les missions essentielles de l'Office, qui met un point d'honneur à fournir une eau potable saine aux consommateurs.
La dégradation de la qualité de l'eau des lacs du barrage exploités par l'ONEE est attribuée à la hausse des températures et aux faibles précipitations, selon la même source. Ces conditions ont favorisé, explique l’ONEE, le phénomène d'eutrophisation, entraînant une croissance excessive des plantes aquatiques et des microalgues dans les eaux de surface. En conséquence, le goût et l'odeur de l'eau ont été négativement impactés, suscitant des inquiétudes parmi les consommateurs.
Afin de contrer ce phénomène, qui touche particulièrement le lac du barrage Sidi Mohamed Ben Abdellah, crucial pour l'alimentation en eau potable de la côte atlantique allant de Salé à Casablanca, l'ONEE a indiqué que ses équipes ont pris des mesures proactives. Le traitement de l'eau a été renforcé par l'utilisation de réactifs tels que le charbon actif et le permanganate de potassium, permettant ainsi de maintenir la conformité de l'eau aux normes nationales de qualité.
Par ailleurs, l’ONEE s'engage à une surveillance continue et régulière de la qualité de l'eau potable distribuée. À cet effet, des analyses microbiologiques et physico-chimiques sont réalisées à différentes étapes du traitement et de la distribution pour garantir la conformité et la sécurité de l'eau fournie aux consommateurs.
Pour apaiser les tensions, l’Office a publié un communiqué soulignant que les contrôles de qualité effectués par ses services aux différents points de distribution ont confirmé que l'eau produite par l'Office est conforme aux normes de qualité en vigueur. Malgré les plaintes, l'ONEE assure ainsi que l'eau fournie à Rabat est sûre à la consommation.
L’ONEE affirme, par ailleurs, que la qualité de l'eau produite respecte les normes en vigueur et qu'elle est sans danger pour la santé. La gestion de la qualité de l'eau et le respect du cahier des charges marocain sont parmi les missions essentielles de l'Office, qui met un point d'honneur à fournir une eau potable saine aux consommateurs.
La dégradation de la qualité de l'eau des lacs du barrage exploités par l'ONEE est attribuée à la hausse des températures et aux faibles précipitations, selon la même source. Ces conditions ont favorisé, explique l’ONEE, le phénomène d'eutrophisation, entraînant une croissance excessive des plantes aquatiques et des microalgues dans les eaux de surface. En conséquence, le goût et l'odeur de l'eau ont été négativement impactés, suscitant des inquiétudes parmi les consommateurs.
Afin de contrer ce phénomène, qui touche particulièrement le lac du barrage Sidi Mohamed Ben Abdellah, crucial pour l'alimentation en eau potable de la côte atlantique allant de Salé à Casablanca, l'ONEE a indiqué que ses équipes ont pris des mesures proactives. Le traitement de l'eau a été renforcé par l'utilisation de réactifs tels que le charbon actif et le permanganate de potassium, permettant ainsi de maintenir la conformité de l'eau aux normes nationales de qualité.
Par ailleurs, l’ONEE s'engage à une surveillance continue et régulière de la qualité de l'eau potable distribuée. À cet effet, des analyses microbiologiques et physico-chimiques sont réalisées à différentes étapes du traitement et de la distribution pour garantir la conformité et la sécurité de l'eau fournie aux consommateurs.
Quand la chaleur altère l'eau !
Les hautes températures peuvent avoir un impact significatif sur l'odeur de l'eau, en particulier dans les sources d'eau douce comme les rivières et les lacs. Ce phénomène est principalement dû à l'augmentation de la vitesse des réactions chimiques dans l'eau au fur et à mesure que la température s'élève. Plus spécifiquement, les microorganismes présents dans l'eau, tels que les bactéries et les algues, se multiplient plus rapidement à des températures plus élevées. Cette prolifération peut, selon les spécialistes, entraîner une augmentation de la production de composés organiques volatils, tels que les aldéhydes et les cétones, qui sont responsables des odeurs désagréables.