En 2018 déjà, une proposition de modification de l’actuelle loi de finances en cours d’exécution avait été émise par l’Istiqlal en vue d’éviter au pays la situation de blocage économique et social qu’il est en train de vivre. Cette proposition avait d’abord été snobée par le gouvernement actuel, avant que celui-ci ne décide d’en «piquer» certaines dispositions qu’il a fini par juger pertinentes dans le cadre de l’élaboration du pacte pour le dialogue social.
A l’occasion des dernières assises de la fiscalité organisées en juillet, l’Istiqlal avait récidivé en étant l’une des rares formations politiques à présenter une riche et importante contribution sous la forme d’une longue liste de mesures à entreprendre. Avant cela, pendant le mois d’octobre 2018, ce parti s’était illustré en proposant, en avant-première et sous la forme de six ruptures, sa propre vision du nouveau modèle de développement du Maroc qui fait tellement débat aujourd’hui.
En plus de ces nombreuses participations et contributions, ce parti, par le biais de ses militants, députés, conseillers et cadres, n’a épargné aucun effort durant les dernières années, afin d’apporter sa pierre à l’édifice du nouveau Maroc qui est en train de se construire. Et à moins d’être frappé d’une sévère myopie intellectuelle ou d’être d’une mauvaise foi manifeste, cette façon de faire inédite dans les annales de la politique marocaine, qui implique un travail consciencieux de réflexion, d’implication et d’action, est digne de respect et d’encouragements, tant elle rompt avec les anciennes pratiques de la politique politicienne basées sur l’effet d’annonce sans résultats, les discours pompeux mais creux et les basses manigances de coulisses.
Majd El Atouabi
A l’occasion des dernières assises de la fiscalité organisées en juillet, l’Istiqlal avait récidivé en étant l’une des rares formations politiques à présenter une riche et importante contribution sous la forme d’une longue liste de mesures à entreprendre. Avant cela, pendant le mois d’octobre 2018, ce parti s’était illustré en proposant, en avant-première et sous la forme de six ruptures, sa propre vision du nouveau modèle de développement du Maroc qui fait tellement débat aujourd’hui.
En plus de ces nombreuses participations et contributions, ce parti, par le biais de ses militants, députés, conseillers et cadres, n’a épargné aucun effort durant les dernières années, afin d’apporter sa pierre à l’édifice du nouveau Maroc qui est en train de se construire. Et à moins d’être frappé d’une sévère myopie intellectuelle ou d’être d’une mauvaise foi manifeste, cette façon de faire inédite dans les annales de la politique marocaine, qui implique un travail consciencieux de réflexion, d’implication et d’action, est digne de respect et d’encouragements, tant elle rompt avec les anciennes pratiques de la politique politicienne basées sur l’effet d’annonce sans résultats, les discours pompeux mais creux et les basses manigances de coulisses.
Majd El Atouabi