Les intervenants ont fait remarquer qu’à cause de cette pandémie, le secteur culturel a été durement affecté dans son potentiel de production. Et de relever que cette situation a conduit à une prise de conscience chez les responsables et des décideurs de l’importance de la culture en tant que secteur productif, et du rôle qu’elle joue à plusieurs niveaux (animation sociale, création d’emplois, maintien du lien social,…).
La situation liée à la Covid-19 a montré aussi la capacité de créativité, d’invention et de résilience de la culture à travers l’organisation de grandes rencontres culturelles où le digital remplace la magie du live, ont-ils encore ajouté.
Pour certains participants, cette crise a permis ainsi de se rendre compte que le cinéma avait occupé une très grande place dans le développement du champ culturel, affirmant à cet égard que le cinéma est un indicateur de la démocratie dans un pays, de la liberté de créer et de s’exprimer, et du degré d’ouverture d’une société. Estimant que le cinéma a une omniprésence dans le champ culturel et le vécu des gens, ils ont mis l’accent sur l’impact et les conséquences néfastes du coronavirus sur le septième art et son industrie. L’accent a été mis aussi sur le développement des infrastructures culturelles et du secteur du cinéma dans le Maghreb, plus particulièrement au Maroc, et un appel a été lancé à cette occasion pour le renforcement de la coopération dans ce domaine entre les pays du Maghreb et les autres pays du continent africain.
De l’avis des intervenants, la reprise du cinéma après Covid-19 ne sera pas facile, arguant que suite à un entracte forcé et un arrêt de la production cinématographique, il faudra déployer beaucoup d’efforts non seulement en terme de production mais aussi au niveau de la mise en exploitation.
Dans cette veine, ils ont évoqué le besoin d’un véritable projet culturel qui pourrait être une vraie base pour pouvoir relancer la culture et l’art dans les pays du Maghreb, mettant en avant l’impératif de l’implication du secteur privé et des acteurs associatifs.
S’agissant des perspectives, les intervenants se sont montrés confiants quant à l’avenir du cinéma après cette pandémie qui a révélé les vrais problèmes du secteur cinématographique.
Ce webinaire a connu la participation de Mohammed Mbarki, directeur général de l’Agence de développement de l’Oriental, Amer Chergui, réalisateur et critique de cinéma (Maroc), Lamia Belkaied Guiga, universitaire (Tunisie), Pierre Mateo, directeur de l’Institut français d’Oujda, Kamal Kamal, réalisateur-producteur et scénariste (Maroc), Khalil Damoun, critique de cinéma (Maroc), Mehamdi Djamel, auteur et critique de cinéma (Algérie) et Khalid Zaïri, producteur (Maroc).
La situation liée à la Covid-19 a montré aussi la capacité de créativité, d’invention et de résilience de la culture à travers l’organisation de grandes rencontres culturelles où le digital remplace la magie du live, ont-ils encore ajouté.
Pour certains participants, cette crise a permis ainsi de se rendre compte que le cinéma avait occupé une très grande place dans le développement du champ culturel, affirmant à cet égard que le cinéma est un indicateur de la démocratie dans un pays, de la liberté de créer et de s’exprimer, et du degré d’ouverture d’une société. Estimant que le cinéma a une omniprésence dans le champ culturel et le vécu des gens, ils ont mis l’accent sur l’impact et les conséquences néfastes du coronavirus sur le septième art et son industrie. L’accent a été mis aussi sur le développement des infrastructures culturelles et du secteur du cinéma dans le Maghreb, plus particulièrement au Maroc, et un appel a été lancé à cette occasion pour le renforcement de la coopération dans ce domaine entre les pays du Maghreb et les autres pays du continent africain.
De l’avis des intervenants, la reprise du cinéma après Covid-19 ne sera pas facile, arguant que suite à un entracte forcé et un arrêt de la production cinématographique, il faudra déployer beaucoup d’efforts non seulement en terme de production mais aussi au niveau de la mise en exploitation.
Dans cette veine, ils ont évoqué le besoin d’un véritable projet culturel qui pourrait être une vraie base pour pouvoir relancer la culture et l’art dans les pays du Maghreb, mettant en avant l’impératif de l’implication du secteur privé et des acteurs associatifs.
S’agissant des perspectives, les intervenants se sont montrés confiants quant à l’avenir du cinéma après cette pandémie qui a révélé les vrais problèmes du secteur cinématographique.
Ce webinaire a connu la participation de Mohammed Mbarki, directeur général de l’Agence de développement de l’Oriental, Amer Chergui, réalisateur et critique de cinéma (Maroc), Lamia Belkaied Guiga, universitaire (Tunisie), Pierre Mateo, directeur de l’Institut français d’Oujda, Kamal Kamal, réalisateur-producteur et scénariste (Maroc), Khalil Damoun, critique de cinéma (Maroc), Mehamdi Djamel, auteur et critique de cinéma (Algérie) et Khalid Zaïri, producteur (Maroc).