Hold up, philanthropie débordante, excès de zèle, la liste des qualificatifs n’est pas exhaustive pour décrire cet écueil stupide des Lionceaux de l’Atlas en finale de la Coupe Arabe des U17, face à une équipe algérienne plus que prenable. En effet, une véritable raclée se profilait à l’horizon tant les lionceaux étaient dominateurs face à un adversaire perdu sur le terrain, maladroit, nerveux et de plus en plus agressif en raison de la cécité du referee égyptien.
Pas moins de trois occasions franches pour plier définitivement le match ont été dilapidées de manière révoltante en seconde période. Pire, l’excès de confiance s’est traduit par un relâchement chez les Marocains qui ont troqué leur sérénité contre l’exhibitionnisme, question de taquiner des gradins hostiles aux Lionceaux depuis leur premier match dans cette coupe comme ce fut le cas pour les U23 aux Jeux Méditerranéens.
Le ridicule atteint son paroxysme quand les encouragements du public trahissent une haine par la voix et le gestuel à l’égard des jeunots, médusés par la sauvagerie. Les lionceaux avaient le moyen de rendre la monnaie d’une manière civilisée, en soulevant les filets mais …
Nonobstant les reproches faits à nos lionceaux, nos gamins doivent bénéficier cependant de circonstances atténuantes, vu les affres vécues. Ils ont évolué sur un champ de patates, un cauchemar qu’on croyait révolu, eux habitués à caresser le cuir sur des tapis de soie dans les stades marocains. Difficile pour les artistes de s’exprimer amplement et donc de ne pas cueillir le fruit de leur labeur et de leur talent.
Ajouter à cela, l’invective et l’injure ou encore les coups de poing comme on l’a vu après les tirs aux buts quand les Marocains ont été sauvagement molestés par des hordes d’envahisseurs sorties de nulle part. Que dire sinon que perdre une finale à l’âge de 17 ans doit être perçue par nos lionceaux comme une bonne expérience et non une contreperformance.
Pas moins de trois occasions franches pour plier définitivement le match ont été dilapidées de manière révoltante en seconde période. Pire, l’excès de confiance s’est traduit par un relâchement chez les Marocains qui ont troqué leur sérénité contre l’exhibitionnisme, question de taquiner des gradins hostiles aux Lionceaux depuis leur premier match dans cette coupe comme ce fut le cas pour les U23 aux Jeux Méditerranéens.
Le ridicule atteint son paroxysme quand les encouragements du public trahissent une haine par la voix et le gestuel à l’égard des jeunots, médusés par la sauvagerie. Les lionceaux avaient le moyen de rendre la monnaie d’une manière civilisée, en soulevant les filets mais …
Nonobstant les reproches faits à nos lionceaux, nos gamins doivent bénéficier cependant de circonstances atténuantes, vu les affres vécues. Ils ont évolué sur un champ de patates, un cauchemar qu’on croyait révolu, eux habitués à caresser le cuir sur des tapis de soie dans les stades marocains. Difficile pour les artistes de s’exprimer amplement et donc de ne pas cueillir le fruit de leur labeur et de leur talent.
Ajouter à cela, l’invective et l’injure ou encore les coups de poing comme on l’a vu après les tirs aux buts quand les Marocains ont été sauvagement molestés par des hordes d’envahisseurs sorties de nulle part. Que dire sinon que perdre une finale à l’âge de 17 ans doit être perçue par nos lionceaux comme une bonne expérience et non une contreperformance.