Lycée André Malraux, Rabat
Le doute et l'expectative qui couvaient depuis l'annonce, en avril, par les autorités françaises de leur décision de rompre le confinement à compter du 11 mai, avait atteint son paroxysme après l'annonce par Saïd Amzazi, mardi au Parlement, de la sage décision de non reprise de la scolarité, même en cas de non renouvellement du confinement, le 20 mai prochain.
Entre mardi et mercredi, la tension a atteint son comble parmi les parents des enfants scolarisés à la mission française au Maroc. Une tension qui est venue s'ajouter à celle générée par le bras de fer avec les responsables de l'AEFE et de l'OSUI concernant la révision en baisse des frais prohibitifs de scolarité en cette période de crise économique liée au coronavirus et marquée par un dispositif d'enseignement à distance qui est loin de susciter l'adhésion de tous.
Il a donc fallu attendre un communiqué officiel de l'ambassade de France à Rabat pour évacuer le premier volet de cette tension liée à la date de reprise de la scolarité dans les établissements de la mission. Signé par Hélène Le Gal, l'ambassadrice française au Maroc, ledit communiqué révèle que conformément à la décision du Ministre de l'Education Nationale, Saïd Amzazi "les établissements du réseau d'enseignement français au Maroc resteront fermés jusqu'à la rentrée de septembre. La continuité scolaire sera assurée jusqu'aux vacances scolaires".
Le même communiqué informe que les candidats au Baccalauréat français et au Diplôme National du Brevet seront évalués sur la base du contrôle continu, selon le modèle retenu pour ces examens en France". Hélène Le Gal termine son communiqué en précisant que les épreuves anticipatives du bac de français se tiendront selon le calendrier prévu en juin puisqu'il s'agit d"épreuves orales individuelles qui pourront être organisées dans le strict respect des consignes sanitaires définies par les autorités marocaines.
En revanche, l'ambassadrice de France ne dit rien sur les concours d'admission organisés chaque année, en mai, pour sélectionner les nouveaux admis au système d'enseignement français. Des concours qui tiennent en haleine des milliers de parents soucieux d'offrir à leurs enfants ce qu'ils considèrent comme le nec plus ultra de l'enseignement au Maroc.
Ce ne sont pas moins de 44 établissements scolaires du réseau d'enseignement français qui sont installés au Maroc, dont l’effectif compte plus de 40.000 élèves.
Entre mardi et mercredi, la tension a atteint son comble parmi les parents des enfants scolarisés à la mission française au Maroc. Une tension qui est venue s'ajouter à celle générée par le bras de fer avec les responsables de l'AEFE et de l'OSUI concernant la révision en baisse des frais prohibitifs de scolarité en cette période de crise économique liée au coronavirus et marquée par un dispositif d'enseignement à distance qui est loin de susciter l'adhésion de tous.
Il a donc fallu attendre un communiqué officiel de l'ambassade de France à Rabat pour évacuer le premier volet de cette tension liée à la date de reprise de la scolarité dans les établissements de la mission. Signé par Hélène Le Gal, l'ambassadrice française au Maroc, ledit communiqué révèle que conformément à la décision du Ministre de l'Education Nationale, Saïd Amzazi "les établissements du réseau d'enseignement français au Maroc resteront fermés jusqu'à la rentrée de septembre. La continuité scolaire sera assurée jusqu'aux vacances scolaires".
Le même communiqué informe que les candidats au Baccalauréat français et au Diplôme National du Brevet seront évalués sur la base du contrôle continu, selon le modèle retenu pour ces examens en France". Hélène Le Gal termine son communiqué en précisant que les épreuves anticipatives du bac de français se tiendront selon le calendrier prévu en juin puisqu'il s'agit d"épreuves orales individuelles qui pourront être organisées dans le strict respect des consignes sanitaires définies par les autorités marocaines.
En revanche, l'ambassadrice de France ne dit rien sur les concours d'admission organisés chaque année, en mai, pour sélectionner les nouveaux admis au système d'enseignement français. Des concours qui tiennent en haleine des milliers de parents soucieux d'offrir à leurs enfants ce qu'ils considèrent comme le nec plus ultra de l'enseignement au Maroc.
Ce ne sont pas moins de 44 établissements scolaires du réseau d'enseignement français qui sont installés au Maroc, dont l’effectif compte plus de 40.000 élèves.