Le Maroc est le premier pays arabe et africain à prendre part au Denkmal, pour partager son savoir-faire notamment dans le domaine de la construction en terre lors de cet événement, qui se tient depuis trente ans à la Leipziger Messe, un haut lieu du patrimoine architectural.
Dans une interview accordée à la MAP, M. Geisenberger a mis l'accent sur l’adéquation de l’art de bâtir à la marocaine avec l’esprit du Salon Denkmal, qui consiste à promouvoir des techniques durables, respectueuses de l'environnement et répondant aux besoins de sécurité et de confort des populations en matière de logement.
"Ce qui se fait au Maroc est d'un très haut niveau. Avec ses kasbahs magnifiques, ainsi que ses autres monuments, qui nécessitent d’être préservés, il est essentiel que nous apprenions de nouvelles techniques les uns des autres", a-t-il affirmé devant la kasbah érigée, en guise de pavillon marocain, au cœur des 15.000 m2 réservés au Salon Denkmal.
Et d’ajouter que la participation marocaine a été "très bien perçue" par les 500 exposants, tous européens, provenant de 26 pays. "Le pavillon marocain a suscité un vif intérêt et se distingue clairement des autres représentations en raison de son style traditionnel, ce qui constitue une excellente manière d’attirer les visiteurs", s’est félicité M. Geisenberger.
"Nous aimerions poursuivre ce partenariat dans les années à venir et espérons revoir le Maroc en 2026", a souligné M. Geisenberger, exprimant le souhait d’une représentation encore plus exhaustive lors des prochaines éditions de l’ensemble des techniques, méthodes et savoir-faire marocains, afin de partager de manière plus approfondie avec les participants européens le concept de la conservation au Maroc.
Le Maroc a été représenté au Denkmal, tenu sous le thème de la durabilité, par une importante délégation d’architectes, d'experts, de bureaux d’études et de contrôle, ainsi que de professeurs universitaires. Pour son pavillon singulier, sous forme de kasbah grandeur nature, et la qualité de ses travaux, qui ont essentiellement porté sur la préservation du patrimoine, la reconstruction post-séisme d'Al Haouz, la valorisation des matériaux locaux, l'innovation et l'adaptation aux risques sismiques, le Maroc s’est vu décerner une médaille d’or à la clôture du Denkmal.
Dans une interview accordée à la MAP, M. Geisenberger a mis l'accent sur l’adéquation de l’art de bâtir à la marocaine avec l’esprit du Salon Denkmal, qui consiste à promouvoir des techniques durables, respectueuses de l'environnement et répondant aux besoins de sécurité et de confort des populations en matière de logement.
"Ce qui se fait au Maroc est d'un très haut niveau. Avec ses kasbahs magnifiques, ainsi que ses autres monuments, qui nécessitent d’être préservés, il est essentiel que nous apprenions de nouvelles techniques les uns des autres", a-t-il affirmé devant la kasbah érigée, en guise de pavillon marocain, au cœur des 15.000 m2 réservés au Salon Denkmal.
Et d’ajouter que la participation marocaine a été "très bien perçue" par les 500 exposants, tous européens, provenant de 26 pays. "Le pavillon marocain a suscité un vif intérêt et se distingue clairement des autres représentations en raison de son style traditionnel, ce qui constitue une excellente manière d’attirer les visiteurs", s’est félicité M. Geisenberger.
"Nous aimerions poursuivre ce partenariat dans les années à venir et espérons revoir le Maroc en 2026", a souligné M. Geisenberger, exprimant le souhait d’une représentation encore plus exhaustive lors des prochaines éditions de l’ensemble des techniques, méthodes et savoir-faire marocains, afin de partager de manière plus approfondie avec les participants européens le concept de la conservation au Maroc.
Le Maroc a été représenté au Denkmal, tenu sous le thème de la durabilité, par une importante délégation d’architectes, d'experts, de bureaux d’études et de contrôle, ainsi que de professeurs universitaires. Pour son pavillon singulier, sous forme de kasbah grandeur nature, et la qualité de ses travaux, qui ont essentiellement porté sur la préservation du patrimoine, la reconstruction post-séisme d'Al Haouz, la valorisation des matériaux locaux, l'innovation et l'adaptation aux risques sismiques, le Maroc s’est vu décerner une médaille d’or à la clôture du Denkmal.